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Montpellier : frappée au visage avec un tesson de bouteille pour une simple remarque

 

L’agresseur de 26 ans est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.
ILLUSTRATION / SAMUEL DUPLAIX
 
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Mardi 20 février vers 20 h, sur la promenade du Peyrou, un homme en état d'ivresse aborde un groupe de jeunes gens pour quémander une cigarette...

Devant leur refus, l'individu brise une bouteille en verre sur le sol. Une jeune fille lui fait une remarque. Il la prend mal. Elle est frappée avec le tesson de bouteille à la tête et au visage. Le mis en cause est rapidement interpellé et placé en cellule de dégrisement.

  

Trois jours d'ITT

Les enquêteurs découvrent que l'agresseur de 26 ans, déjà interpellé le 7 février, est expulsable sous le coup d'une obligation de quitter le territoire. Mais sans délai précis, il avait été relâché. La gravité des blessures de la victime, âgée de 28 ans, a été évaluée à trois jours d'ITT. Son agresseur a été déféré devant le parquet de Montpellier.

Le Midi Libre

Commentaires

  • "obligation de quitter le territoire ", sans délai précis , c,est à dire selon le désir du clando, dans 20 ans peut-être , il est pas beau ce pays ??
    salutations.

  • "Une obligation de quitter le territoire"...sans date précise ! Mais comment une telle incompétence administrative et judiciaire est-elle possible? Quand on donne un ordre, et cela fait partie de l'injonction, on fixe un délai et on s'y tient ! La seule explication est que ces "obligations..." sont du pipeau et un moyen supplémentaire d'accueillir des "migrants" en mentant à la population.
    Et voilà le résultat, qui incombe totalement à Macron et à son gouvernement !

  • Le loup, ouou..., est entré dans Paris !

    Il y a plus d'un siècle les loups sortaient encore des bois et des forêts pour attaquer les bergeries. Le lieutenant de louveterie organisait alors des battues. Ainsi disparut le loup, ainsi que la peur du loup.

    Plus tard le écolos se désolèrent de cette disparition du loup. Il n'y avait plus de meutes à courir la campagne, ni de cris du loup à la lune. On importa donc quelques spécimens pris dans l'Est de l'Europe. Ils furent lâchés dans nos montagnes et eurent des louveteaux. Et la peur alors revint. Le loup avait faim. La forêt était peu giboyeuse. Les blancs moutons étaient la meilleure des proies. Le berger comptait ses bêtes égorgées, dévorées. L'administration avait oublié qu'un loup se nourrit principalement de chair saignante.

    Avec la méme légèreté nous avons ouvert nos frontières à une immigration folle. Des milliers de miséreux, des milliers de migrants, des milliers de réfugiés se sont alors installés dans nos rues, dans nos villes. Et rien n'avait été prévu pour tous les loger, les nourrir, les vêtir. Ils sont devenus des errants, la faim au ventre, le froid sur la peau. Ils se groupent par affinités, constituent des meutes. Et la peur s'installe. Celui qui est seul se sent en danger. A la nuit tombée, il presse le pas, soucieux de se mettre à l'abri... auprès des siens..

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