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  • JT TVL 30 MARS 2018

  • L’héroïsme d’Arnaud Beltrame suscite des vocations dans la Gendarmerie

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    30/03/2018 – FRANCE (NOVOpress)
    Depuis quelques jours, le centre d’appel de la réserve de la Gendarmerie est submergé d’appels de français souhaitant s’engager dans la réserve, quand d’ordinaire il n’y a que 3 ou 4 appels par jour.

    Après les déclarations de communes souhaitant rebaptiser l’une de leur rue du nom du Gendarme, l’engouement autour de ce héros, martyr de sa foi, ne semble pas s’arrêter là.

    On parle de 20 à 30 appels par jour pour une réserve qui se compose à la fois de civils reconnus aptes au métier, d’anciens militaires volontaires, ou de militaires en fin de carrière qui se rendent disponibles pendant 5 ans après leur service.

  • Alsace : retour des familles de djihadistes payé par le contribuable ! Une dizaine de cas pour le Bas-Rhin

     

    16h41

    La question du retour des  en France pose question : quid de l’insécurité que feront naître ces combattants fanatiques sur le territoire ? Mais une nouvelle vient ajouter à la confusion : des familles de djihadistes ayant la nationalité française seront rapatriées au frais du contribuable ! C’est ce que nous apprend un document publié par Virginie Joron, présidente du groupe FN à la région Grand Est. (…)

    En clair, des enfants nés sur la zone (Syrie, Irak) ont la nationalité française automatiquement, si les parents l’avaient. Ceux-ci représentent, pour le Bas-Rhin, une dizaine de cas à prendre en charge. « Des mineurs isolés » peuvent aussi être pris en charge, ce qui rajouterait quelques personnes. Selon Virginie Joron, c’est « une prise en charge à nos frais et qui rentre dans un protocole de prévention de risques contre la radicalisation. »


    Ce retour en France sous haute surveillance sera donc effectué par les services français, payés avec… de l’argent public. Le contribuable va donc devoir payer pour le retour en France de familles de djihadistes. Une information qui pourrait bien avoir du mal à passer, quelques jours après l’attentat islamiste de Trèbes, qui a coûté la vie à 4 personnes. (…)

    Source : AlsaceActu

    NdB: Comment se foutre mieux des Français ?

  • Le chemin de croix de Trèbes, par Caroline Parmentier

     

     
     
     
     
    Dans toutes les églises de France, lors de ces fêtes de Pâques, chacun aura présent à l’esprit le sacrifice héroïque du colonel Beltrame qui l’a configuré au Christ. 

    Après l’hommage national rendu à Arnaud Beltrame (Présent du 30 mars), jeudi à Trèbes étaient célébrées les obsèques des trois victimes civiles du tueur islamiste : Jean Mazières, 61 ans, Christian Medves, 50 ans et Hervé Sosna, 65 ans. Devant Edouard Philippe, accompagné des ministres de l’Intérieur Gérard Collomb et de la Justice Nicole Belloubet, le maire de Trèbes a débuté, étranglé par le chagrin, l’hommage solennel sur la place des armes de la ville où avaient été alignés les trois cercueils. Entourant les familles bouleversées dont le jeune fils de Jean Mazières, viticulteur, les filles et l’épouse de Christian Medves, boucher du Super U, ainsi que les proches d’Hervé Sosna, maçon à la retraite, le village tout entier et ses alentours se sont rassemblés avant de les accompagner pour la messe des funérailles.

    « Soyons prêts au sacrifice de nos vies »

    Le même jour dans une cathédrale Saint-Michel archicomble, à Carcassonne, une foule recueillie et très émue a assisté aux obsèques du colonel Beltrame, célébrées par le père Jean-Baptiste de l’Abbaye Sainte-Marie de Lagrasse (Aude), qui préparait Arnaud et sa femme à leur mariage religieux et lui a donné les derniers sacrements :

    « Le colonel Beltrame était convaincu qu’on ne peut pas lutter contre une idéologie uniquement avec des armes et des ordinateurs. On ne peut la vaincre durablement qu’avec des convictions spirituelles. La foi catholique qu’il a redécouverte, les merveilles chrétiennes de l’histoire de France qui le passionnaient, sont le meilleur bouclier contre la folie des convictions assassines qui tuent et veulent tuer encore. Alors, avec Arnaud et comme lui, soyons prêts au sacrifice de nos vies pour l’amour de nos frères ! »

    Dans sa très belle homélie, le père Jean-Baptiste a rappelé quel homme et quel chrétien était Arnaud Beltrame :

    « Sa déclaration d’intention pour le mariage catholique que je devais célébrer le 9 juin prochain près de Vannes est admirable. Marielle ne souhaite pas que soit rendue publique cette lettre ultime. Sachez que ce texte écrit seulement quatre jours avant sa mort héroïque prouve son adhésion inconditionnelle et fervente à toute la foi catholique et à sa tradition, qu’il y prie en particulier Notre-Dame avec gratitude, qu’il demande l’aide de saint Michel et prend saint Joseph pour modèle. En bénissant sa maison le 16 décembre dernier, j’avais été frappé de la décoration manifestant sa foi et sa passion pour l’histoire et la gendarmerie. Mais plus encore, par le fait qu’il avait réservé une pièce pour en faire un oratoire. Nous y avons prié tous les trois. Imitez-le ! Faisons une place dans nos vies à la prière ! Je crois qu’il a offert sa vie pour que s’arrête la mort. Cette tragédie, comme le Vendredi saint que nous allons célébrer demain, n’est pas le fin mot de cette histoire cruelle. Elle se pare déjà des couleurs de l’aube pour conduire Arnaud à la gloire de Pâques, à l’espérance radieuse de la résurrection. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 30 mars 2018

  • NON, M. WAUQUIEZ, LA RÉPUBLIQUE N’EST PAS LA FRANCE !

     

     
     

    Ce n’est pas contre la république que les terroristes agissent, c’est contre la France ! Et la nation française n’a pas attendu 1789 pour exister.

    Écrivain, journaliste
     
     
     
     
     

     

    Laurent Wauquiez, président des Républicains, semble confondre, en dépit de sa formation universitaire de très haut niveau, la nation France avec la république (sans majuscule), qui est une forme, parmi d’autres, de régime politique, ou avec la République (avec une majuscule), qui est l’État de droit qui gère cette république.

    Il a, en effet, proposé, le 27 mars 2018, lors d’un entretien accordé au journal Le Parisien, à la suite de l’attentat islamiste de Trèbes, « de créer un délit d’incitation à la haine de la République » en précisant:

    « On a trop d’individus étrangers radicalisés sur notre territoire. Tous les gens qui nourrissent les réseaux intégristes doivent pouvoir être expulsés. »

    ​‌”

    Mais, M. Wauquiez, ce n’est pas contre la république que les terroristes agissent, c’est contre la France ! Et la nation française n’a pas attendu 1789 pour exister. Les frontières de la Gaule telles qu’elles ont été définies par Strabon, géographe et historien grec (64 av. J.-C., 23 ap. J.-C.), ressemblaient aux frontières de la France actuelle.

    La naissance d’une nation, chez les Celtes (dont les Gaulois constituaient la branche la plus importante), s’apparentait à celle d’un être humain. Elle était donc pourvue d’un corps : le pays, l’espace géographique contenu à l’intérieur de frontières. Pour la Gaule, leurs délimitations étaient faciles : selon l’historien Ernest Desjardins, « c’est le pays renfermé entre le Rhin, les Alpes, les Pyrénées et la mer ».
    Elle était aussi animée par une âme : le peuple. Et, même, elle était dotée d’un signe zodiacal, puisque les Celtes s’en référaient à la disposition des étoiles au moment de s’approprier un territoire ou de fonder une ville. La France n’a donc pas commencé sa vie à la Révolution mais bien avant, lorsqu’elle fut reconnue pour la première fois en tant que nation, paradoxalement, par son envahisseur : Rome.

    La vie d’une nation est son histoire, avec son caractère, ses égarements, ses moments de grâce, ses périodes sombres ou lumineuses, comme tout un chacun. Les événements les plus terribles, pour une nation, sont ceux où le peuple se déchire en deux ou plusieurs factions, ce qu’on appelle guerres civiles comme les guerres de religion, la Deuxième Guerre mondiale, la guerre d’Algérie. Mais la période la plus atroce de l’Histoire de France fut celle qu’engendra la Révolution française, qui fit naître la Première République.

    Le changement de régime a vu, en effet, se perpétrer toutes les horreurs possibles qu’on croyait l’exclusivité d’une Histoire plus tardive :

     

    – Le génocide vendéen : massacres en masse (des dizaines de milliers d’hommes, d’enfants, de femmes découpés en morceaux, jetés vivants dans des fours à pain, noyés par bateaux entiers…), camps de concentration (sur treize mille prisonniers, il en meurt onze mille), tannages de peaux humaines… L’un des génocidaires, Turreau, dira : « Il faut exterminer tous les hommes qui ont pris les armes, et frapper avec eux leurs pères, leurs femmes, leurs sœurs et leurs enfants. La Vendée doit n’être qu’un grand cimetière. »

    – La Terreur : faut-il parler de la systématisation des massacres perpétrés sous la Terreur par la guillotine ? Le mot même de « terrorisme » trouve son origine dans cette période. La décapitation n’a pas été inventée par les islamistes, même s’ils la pratiquent d’une manière moins « policée ».

    – Le modèle : faut-il rappeler que toutes les utopies révolutionnaires sanglantes qui ont suivi la Révolution française ont pris exemple sur elle, causant des millions de morts ?

    L’Histoire de France n’a pas vécu là ses plus beaux jours. Pourquoi les revendiquer ?Tomberons-nous sous le coup de la loi proposée par M. Wauquiez en dénonçant ces horreurs ?

    Bien sûr, il y eut des périodes de bonheur et de gloire au cours des cinq Républiques qui virent naître des personnages admirables, mais beaucoup d’entre eux n’étaient-ils pas français avant d’être républicains ?

    BV

    NdB: Il faut plutôt créer un délit d’incitation à la haine de la France !

  • ABOMINABLE !

    https://www.christianophobie.fr/document/abominable-legorgement-dun-officier-chretien-libanais-par-les-animaux-de-letat-islamique

    VIDEO

  • Nordahl Lelandais, le meurtrier de la petite Maëlys, avoue avoir tué le caporal Arthur Noyer

     

    Nordahl Lelandais./ AFP
     

    Nordahl Lelandais, le meurtrier de la petite Maëlys, entendu jeudi sur la disparition du caporal Arthur Noyer, qui avait disparu le 12 avril 2017 à Chambéry, en Savoie, a reconnu qu'il avait tué le jeune militaire de 24 ans.

     

    Extrait de l’unité hospitalière de la prison de Lyon-Corbas où il est actuellement détenu, Nordahl Lelandais était auditionné depuis le début de la matinée par les juges  d’instruction de Chambéry. Vers 15 heures, il  a été transporté avec les magistrats au col de Marocaz, dans la commune de Cruet, toujours en Savoie. C'est là qu'un promeneur avait retrouvé les restes du crâne du caporal Noyer en septembre, qui avaient été identifiés par la suite. D'autres ossements ont depuis été déterrés sur les lieux, en janvier dernier.

    C'est leur identification qui a conduit à la mise en examen du suspect le 20 décembre 2017 dans ce dossier. Le 5 février, lors d’une précédente audition, Nordahl Lelandais avait reconnu avoir pris en stop le jeune militaire à la sortie d’une discothèque de Chambéry, la nuit où ce dernier avait disparu, mais avait nié une quelconque responsabilité dans sa mort. L'enquête avait cependant démontré que la nuit de la disparition d'Arthur Noyer, les téléphones des deux hommes avaient borné aux mêmes endroits. 

    L'ancien militaire de 35 ans est déjà mis en examen pour le meurtre de la petite Maëlys, disparue dans la nuit du samedi 26 au dimanche 27 août à Pont-de-Beauvoisin, en Isère, lors d'un mariage : un meurtre qu’il a avoué le 14 février dernier. Une expertise avait permis d'identifier une minuscule trace de sang de la fillette au fond du coffre de sa voiture. Nordahl Lelandais, qui niait le meurtre depuis sa mise en examen et son incarcération en septembre, avait alors conduit les enquêteurs à l'endroit où il avait abandonné le corps de la fillette sur les pentes du mont Grêle, à Attignat-Oncin en Savoie et avait expliqué l'avoir tuée accidentellement

     
     
     

    Après ses aveux dans l'affaire Maëlys, les parents du caporal Arthur Noyer avaient lancé le 22 février un appel déchirant à Nordahl Lelandais afin de lui réclamer la vérité sur la mort de leur fils.

    Le meurtrier présumé de Maëlys et d'Arthur Noyer est également suspecté dans une dizaine d'autres affaires de disparitions dont les dossiers ont été relancés récemment. 


    Les autres affaires dans lesquelles Nordahl Lelandais est suspecté

    Adrien Mourialmé, disparu le 5 juillet 2017 
    Ce jeune cuisinier belge de 24 ans a été vu pour la dernière fois dans la région du lac d’Annecy. Les enquêteurs tentent de vérifier l’emploi du temps de Nordahl Lelandais ce jour-là.

    Antoine Zoia, disparu le 1er mars 2016 
    L’adolescent de 16 ans a disparu alors qu’il se rendait dans un bureau de Tabac à Clarensac, dans le Gard. Les enquêteurs cherchent à savoir si Nordahl Lelandais, qui a de la famille dans le département, aurait pu être sur les lieux lors de la disparition du jeune homme.

     

    Florent Bonnet, disparu le 18 janvier 2014 
    La moto et le casque de cet homme de 37 ans ont été retrouvés à l’entrée d’un tunnel à Siaix, en Savoie.

    Ahmed Hamadou, disparu le 8 septembre 2012 
    Âgé de 45 ans et originaire de Chambéry, il a rejoint le fort de Tamié avec un ami, Yan Kersuzan, pour un festival de musique électronique. Les deux hommes n’ont pas pu accéder au festival et Ahmed Hamadou a tenté de rejoindre Chambéry en stop. Mais il n’est jamais arrivé.

    Stéphane Chemin, disparu le 24 septembre 2012 
    L’homme de 33 ans, souffrant de schizophrénie, n’a pas donné signe de vie depuis sa disparition en 2012 en Isère.

    Malik Boutvillain, disparu le 6 mai 2012 
    Malik Boutvillain, 32 ans, a disparu du domicile familial, d’Echirolles en Isère, sans laisser de traces. L’enquête était classée avant d’être rouverte pour explorer la piste Lelandais.

    Jean-Christophe Morin, disparu le 10 septembre 2011
    Un an avant Hahmed Hamadou, ce jeune homme de 22 ans originaire de l’Essonne n’a plus donné signe de vie après avoir tenté de faire du stop pour rentrer du festival de musique au fort de Tamié, en Savoie. Les recherches engagées par les gendarmes n’ont permis de retrouver que son sac à dos.

    Adrien Fiorello, disparu le 6 octobre 2010
    Originaire de la Loire, le jeune homme de 22 ans a disparu dans la Loire. Son portable a été tracé à Chambéry. Lelandais y avait alors un élevage canin.

     

    Nicolas Suppo, disparu le 15 septembre 2010
    L’ouvrier spécialisé de 33 ans et habitant d’Echirolles en Isère, a disparu pendant sa pause déjeuner au travail.

    Coralie Moussu, disparue le 6 novembre 2009
    Cette Gardoise de 32 ans a disparu à Vénéjan dans le Gard en 2009. Son corps avait été retrouvé dans le Rhône un an plus tard.

    La tuerie de Chevaline en 2012
    Le 5 septembre 2012, les corps de quatre personnes sont retrouvés criblés de balles. L’arme utilisée, un Luger P06 de calibre 7,65, est utilisée par l’armée suisse. Les enquêteurs estiment que le coupable pourrait être un ancien militaire. Mais selon des sources proches du dossier, Nordahl Lelandais, qui officiait dans la brigade cynophile n’était pas connu pour être un excellent tireur et la méthode de l’assassinat ne lui ressemble pas. Parmi les 10.000 portables bornés dans les environs après la découverte des corps, il n’y a a pas de traces de celui de Lelandais.

    Les cas où la piste Lelandais n’a pas été retenue


    Estelle Mouzin, disparue le 9 janvier 2003 en Seine-et-Marne
    La piste a été « vérifiée et la porte a été refermée » dans la disparition de cette petite fille. Lelandais se trouvait en Guyane au moment des faits.

    Lucas Tronche, disparu le 18 mars 2015 dans le Gard
    Les résultats des vérifications téléphoniques sont indiscutables : Nordahl Lelandais n'était pas dans le Gard, le 18 mars 2015, le jour où Lucas Tronche, cet adolescent de 16 ans, a mystérieusement disparu.

    La Dépêche

     

  • JT TVL 29 MARS 2018

  • 100% des terroristes ayant frappé la France sont musulmans

     

     
     
     

    Selon une étude inédite de l’IFRI portant sur 137 terroristes ayant frappé la France :


     100% sont musulmans (74% de naissance, 26% convertis)


     69% sont Français mais 59% des parents originaires du Maghreb


     40% ont été déjà condamnés, 12% signalés, 48% ont un casier judiciaire vierge


     Âge moyen : 26 ans


     58% au chômage


     40% sont issus de quartiers défavorisés

     

    NDF

     

  • Burgwedel (All.) : Vivianne K., 24 ans, poignardée par un migrant Syrien de 17 ans en pleine rue (MàJ : la jeune femme est sortie du coma, « tout le monde doit voir ce qui lui est arrivé » déclarent ses parents)

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    19h53
     

    (29/03/18)

    Elle a été brutalement poignardée devant un supermarché par un migrant syrien de 17 ans et placée dans un coma artificiel pendant des jours. La jeune Vivianne K. s’est réveillée – et ses parents veulent attirer l’attention sur cette terrible agression.

    Les parents de Vivianne ont diffusé une photo montrant la jeune femme dans son lit à l’unité de soins intensifs, car bien qu’elle ait survécu à l’attaque, elle a encore un long chemin à parcourir avant de pouvoir se remettre complètement.

    Les parents ont commenté la photo : «Nous ne voulons rien de plus que le rétablissement de notre fille. Mais tout le monde devrait aussi voir ce qui lui est arrivé.»

    TZ.de

    Ce sont les parents de Vivianne qui ont raison !