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Le FN ménage le chou et la chèvre dans l'affaire de la réforme du statut des cheminots. Je n'approuve pas de sa part ce refus obstiné de l'ouverture à la concurrence et même à la privatisation. Bardella oublie dans le prix du billet en France le coût de la dette de la Sncf de 14 milliards.... Sans nationalisation, point de salut, c'est la religion française reprise en choeur même par le FN. Il n'est pas admissible qu 'un peuple soit martyrisé par une grève en raison de l'existence d'un monopole.
le problème étant que les usagers sont toujours les dindons de la farce.
salutations.
Bien malin qui peut trancher dans cette situation où les arguments des pour et des contre la réforme de la SNCF se bousculent...sachant que dans tous les pays européens, les chemins de fer sont largement subventionnés par les Etats (GB, Allemagne, Italie, France...)
La seule certitude que j'ai, c'est que des syndicalistes qui prennent tout le pays en otage se foutent de la gueule du monde lorsqu'ils parlent de "service public" avec des trémolos dans la voix ! Nous sommes en plein dans un "non service"... contre le public !
La France détient le record d'Europe des journées de grève dans la Fonction Publique. Le droit de grève devrait être interdit dans la Fonction Publique en général et à la SNCF en particulier, sous peine de licenciement. Ceci en compensation d'un statut intangible solidement garanti, incluant néanmoins des rémunérations différenciées en fonction d'évaluations qualité annuelles de chaque agent. Voici qui constituerait immédiatement une amélioration du Service Public...à coût zéro !
L'appel à la concurrence, qui n'est pas la privatisation, serait un aiguillon pour améliorer les performances de la SNCF. Ce sont les Régions qui devraient avoir la main sur les appels d'offres, elles sont les mieux placées pour connaître les besoins de la population.
Enfin, quid du transport du fret ? Quid du ferroroutage ?
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Le FN ménage le chou et la chèvre dans l'affaire de la réforme du statut des cheminots. Je n'approuve pas de sa part ce refus obstiné de l'ouverture à la concurrence et même à la privatisation. Bardella oublie dans le prix du billet en France le coût de la dette de la Sncf de 14 milliards.... Sans nationalisation, point de salut, c'est la religion française reprise en choeur même par le FN. Il n'est pas admissible qu 'un peuple soit martyrisé par une grève en raison de l'existence d'un monopole.
le problème étant que les usagers sont toujours les dindons de la farce.
salutations.
Bien malin qui peut trancher dans cette situation où les arguments des pour et des contre la réforme de la SNCF se bousculent...sachant que dans tous les pays européens, les chemins de fer sont largement subventionnés par les Etats (GB, Allemagne, Italie, France...)
La seule certitude que j'ai, c'est que des syndicalistes qui prennent tout le pays en otage se foutent de la gueule du monde lorsqu'ils parlent de "service public" avec des trémolos dans la voix ! Nous sommes en plein dans un "non service"... contre le public !
La France détient le record d'Europe des journées de grève dans la Fonction Publique. Le droit de grève devrait être interdit dans la Fonction Publique en général et à la SNCF en particulier, sous peine de licenciement. Ceci en compensation d'un statut intangible solidement garanti, incluant néanmoins des rémunérations différenciées en fonction d'évaluations qualité annuelles de chaque agent. Voici qui constituerait immédiatement une amélioration du Service Public...à coût zéro !
L'appel à la concurrence, qui n'est pas la privatisation, serait un aiguillon pour améliorer les performances de la SNCF. Ce sont les Régions qui devraient avoir la main sur les appels d'offres, elles sont les mieux placées pour connaître les besoins de la population.
Enfin, quid du transport du fret ? Quid du ferroroutage ?