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  • JT TVL 6 AVRIL 2018

  • République tchèque : une Irlandaise de 35 ans violée collectivement par six touristes algériens dans un hôtel à Prague

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    21h34

    Jeudi après-midi, la police a diffusé une vidéo de l’arrestation de six hommes originaires d’Algérie qui sont accusés d’avoir violé une femme de trente-cinq ans dans un hôtel de Prague

     

    L’acte criminel a eu lieu lundi matin dernier. Une touriste d’Irlande, une professeure, était à Prague tard dans la nuit avec ses amis. Après avoir séjourné dans un hôtel du centre-ville, ils se sont dirigés vers une boîte de nuit à proximité.

    Là, Irka a rencontré deux jeunes Algériens, ils ont parlé puis sont partis vers 5h30 vraisemblablement en état d’ébriété.

    Un Algérien de 22 ans l’a invité dans sa chambre, dans une suite d’un grand hôtel. La femme a accepté l’invitation. Ensuite, la situation a dégénéré.

    « La femme ne voulait pas continuer, le suspect a alors commencé à être brutal, agressif », affirment les policiers de Prague.

    « Il a commencé à être très violent », a-t-elle dit aux enquêteurs. Il a quitté la chambre puis y est retourné avec des amis. « Ils ont commencé à me violer » dit-elle.

    Le jeune homme a amené ses cinq amis avec lesquels il a voyagé à travers plusieurs pays européens. Ils sont arrivés à Prague en bus d’Amsterdam le 31 mars.

    Cinq d’entre eux sont des étudiants de familles algériennes bien placées, seul le principal suspect, l’homme qui a ramené l’Irlandaise dans sa suite, travaille dans un aéroport à Paris.

    Les six violeurs présumés, âgés entre 19 et 23 ans, encourent jusqu’à 10 ans de prison.

    (…)

    Novinky.cz

    Merci à kozsj

  • Ivre, Jean-Vincent Placé en garde à vue pour insultes racistes, sexistes et outrage à agent

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    Jean-Vincent Placé le 24 janvier 2017 dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale. (image d'illustration)
     

    Ex-sénateur de l'Essonne et membre du dernier gouvernement Valls, Jean-Vincent Placé a été interpellé par la BAC à Paris dans la nuit du 4 au 5 avril. Il a été mis en garde à vue pour injures raciales, outrage à agent et violences en état d'ivresse.

    L'ancien secrétaire d'Etat à la Réforme de l'Etat et à la Simplification et ex-sénateur de l'Essonne Jean-Vincent Placé a été interpellé dans la nuit du 4 au 5 avril en état d’ébriété, selon une information de BFM Paris. Il a dû être conduit au poste en raison d'injures raciales, outrage à agent et violences en état d'ivresse.

    RT France
     
    @RTenfrancais
     
     

    Violemment agressé pour sa montre à 7 000 euros, Jean-Vincent Placé pense à arrêter la politiquehttps://francais.rt.com/france/42846-violemment-agresse-pour-montre-7-000-euros-jean-vincent-place-songe-arreter-politique 

     

    Aux alentours de 2h, dans le Quartier latin à Paris, il aurait d'abord importuné une femme d'une vingtaine d'années dans un bar rue Princesse en la saisissant par le bras et en l'insultant de «sale pute qui ne mérite que ça», après avoir refusé sa proposition de danser contre rémunération.

    «On n'est pas au Maghreb ici. Je vais te renvoyer en Afrique moi. Tu vas voir !»

    Le portier du bar, qui a prévenu la police, a alors dû faire sortir de la salle Jean-Vincent Placé. L'ex-membre du gouvernement de Manuel Valls, alors «fortement alcoolisé et avec un équilibre précaire», aurait copieusement insulté le videur : «On n'est pas au Maghreb ici. Je vais te renvoyer en Afrique moi. Tu vas voir!»

    Au cours de son interpellation par la Brigade anti-criminalité (BAC) arrivée sur place, Jean-Vincent Placé les aurait insultés, les traitant de «connards» et de «tocards». L'outrage à agent a été retenu contre lui et il a été placé en garde à vue au commissariat du Ve arrondissement de Paris où il a passé la nuit. Son taux d'alcoolémie s'élevait à 1,16 mg/L d'air. Jean-Vincent Placé a affirmé avoir été agressé par «un individu d'extrême droite» qui lui aurait porté un coup au visage après avoir tenté de l'étrangler. Les policiers n'ont cependant relevé aucune trace sur son visage ou sur sa gorge.

    Le 5 avril au matin, il était toujours dans les locaux du commissariat.

    Lire aussi : «Le président chinois» : quand Nabilla publie une photo d’elle avec… Jean-Vincent Placé

    RT

  • Éric Zemmour : « Il n’y a ni droit d’asile ni migrant économique ; il n’y a qu’une invasion des peuples du sud vers le nord qui utilise tous les canaux possibles »

     

    22h14

    CHRONIQUE – Un sociologue est devenu juré à la Cour nationale du droit d’asile. Il raconte et témoigne.

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    (…) Dans les vingt années qui ont suivi la signature de la convention de Genève sur le droit d’asile, en 1951, la France a reçu trois cents demandes d’asile par an. Qu’elle acceptait pratiquement toutes. Il s’agissait soit de Sud-Américains fuyant des dictatures militaires, soit d’Européens de l’Est échappant à la tyrannie communiste. Des militants de gauche et des anticommunistes. «De race blanche, de religion chrétienne et de culture gréco-romaine», pour parodier la célèbre formule du général de Gaulle sur le peuple français. Tout change à partir des années 1970. En qualité et en quantité. Les demandes explosent ; on passe à 20.000 à la fin des années 1970, à 60.000 dans les années 1990. En 2016, le chiffre a dépassé le plafond des 100.000! Ils viennent désormais d’Afrique et du Moyen-Orient ; aux familles d’autrefois a succédé un flot dominant d’hommes seuls, pour la plupart musulmans.

    (…) Ce ne sont pas des individus qui leur (nous) demandent l’asile, ce sont des peuples entiers. Ils ne nous demandent rien d’ailleurs, ils exigent. Ils ont le langage des victimes parce qu’aujourd’hui le langage de la victime est devenu celui du maître. Notre sociologue se moque avec raison de la tentative des politiques de distinguer entre vrai droit d’asile et migrant économique. Il n’y a ni droit d’asile ni migrant économique ; il n’y a qu’une invasion des peuples du sud vers le nord qui utilise tous les canaux possibles. Smaïn Laacher reconnaît lui-même que ces demandeurs d’asile «ne sont pas arrivés dans leur nouveau pays mais dans un nouveau pays». N’importe lequel.

    Les immigrés d’aujourd’hui ne rejoignent plus un pays mais une diaspora ; ils ne veulent plus vivre comme et avec le peuple qu’ils rejoignent mais avec et comme celui qu’ils ont quitté. Ceux qui sont déjà installés – et l’attitude de notre sociologue le prouve à son corps défendant – ne leur ferment plus la porte, de peur qu’ils ne remettent en cause le fragile équilibre de leur propre assimilation – comme le faisaient volontiers leurs lointains prédécesseurs – mais leur ouvrent la porte à deux battants pour qu’ils viennent renforcer la puissance de leur communauté au sein d’une société multiculturelle qui n’a plus de France que le nom.

    (…) Smaïn Laacher ne connaît que des individus étrangers menacés qu’il faut protéger ; mais son empathie ne s’étend pas au peuple français, qui aurait pourtant besoin plus que tout autre d’être protégé. Son rêve est de faire de l’Europe une nouvelle Amérique ; mais il ne nous dit pas quels seront les Indiens de ce projet grandiose.

    Suivant le discours habituel, notre auteur prétend que notre régime de droit d’asile, que le reste du monde se garde bien d’adopter, est la grandeur des démocraties occidentales. C’est en vérité une plaie béante. Lorsque les conquistadors de Cortés débarquèrent sur leurs superbes chevaux, les Aztèques crurent voir s’accomplir une de leurs légendes prophétisant que leur sauveur arriverait par la mer sur une monture céleste. Cette légende empêcha les Aztèques de se défendre contre leurs envahisseurs. Ils furent vaincus et colonisés. Notre droit d’asile, et plus généralement notre religion des droits de l’homme, c’est notre légende des Aztèques.

    Le Figaro

    Merci à valdorf