
Marseille : le proxénétisme, le nouveau filon des voyous de cités

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Le polémiste Éric Zemmour a été condamné le 3 mai 2018 par la cour d'appel de Paris à 5 000 euros d'amende pour provocation à la haine religieuse pour des propos à l'égard des musulmans tenus en 2016 dans l'émission «C à vous».
Lors de l'émission diffusée le 6 septembre 2016 sur France 5, Eric Zemmour avait estimé qu'il fallait donner aux musulmans «le choix entre l'islam et la France», affirmant par ailleurs que la France vivait «depuis trente ans une invasion».
Il déplorait alors «que dans les innombrables banlieues françaises où de nombreuses jeunes filles sont voilées» se jouait une «lutte pour islamiser un territoire [...] un djihad».
La cour d'appel a estimé que ces deux passages «visaient les musulmans dans leur globalité et constituaient une exhortation implicite à la discrimination».
La cour n'a cependant pas retenu trois autres passages de l'émission, pour lesquels Éric Zemmour avait été condamné en première instance. Le polémiste soutenait notamment que «tous les musulmans, qu'ils le disent ou qu'ils ne le disent pas», considéraient les djihadistes comme de «bons musulmans».
La cour d'appel a estimé que ces passages ne comportaient «pas d'exhortation, même implicite, à la provocation à la haine, telle que la nouvelle jurisprudence» l'impose.
RT
Avocat obstiné d’une centralisation autoritaire de l’Union européenne sur fond de libéralisme économique frénétique, le président luxembourgeois de la Commission européenne Jean-Claude Juncker va assister à la célébration du 200e anniversaire de la naissance de Karl Marx à Trèves, dans le Palatinat, le 5 mai. Jean-Claude Juncker, déjà citoyen honoraire de Trèves, participera à la cérémonie en compagnie de la ministre-présidente sociale-démocrate de Rhénanie-Palatinat, Malu Dreyer. Cette nouvelle illustration de la vieille complicité entre libéralisme et communisme révolte Marion Smith, directrice de la Fondation du mémorial des victimes du communisme. « La philosophie de Karl Marx, une fois appliquée, a engendré parmi les pires épisodes de souffrances dans l’histoire de l’humanité », a-t-elle écrit dans une adresse cinglante à Jean-Claude Juncker.
Jean-Claude Juncker, dont les travers autoritaires sont connus de tous, doit prononcer un discours lors du dévoilement d’une statue de Karl Marx à Trèves offerte par le régime de Chine communiste, un comble. La présence du président de la Commission européenne donnera un lustre particulier, quoique sinistre, à l’événement, qu’on aurait plutôt imaginé dans la vieille RDA d’Ulbricht et Honecker, qui abattait ses propres citoyens d’une balle dans le dos lorsqu’ils voulaient fuir leur paradis socialiste. M. Juncker illustrera ainsi une fois de plus la convergence du molosse européen avec les fantômes marxistes de l’URSS.
Marion Smith rappelle que « les Etats marxistes tels que l’Union soviétique ou la Chine communiste sont directement responsables de plus de cent millions de morts, résultats de leur volonté délirante de mettre en pratique les idées utopiques de Marx ». Karl Marx, né en 1818, avait été recruté en 1840, à l’âge de 22 ans, par une secte révolutionnaire, maçonnique, intitulé « la Ligue des Justes », pour rédiger la plateforme du parti communiste qu’elle voulait lancer. Cette Ligue à la composante occultiste avérée, était composée d’une ribambelle d’extrémistes de la subversion, visant à mettre en œuvre les idées des sociétés secrètes telles les Jacobins (grotesquement autoproclamés « Amis de la liberté »), les Illuminatis d’Adam Weishaupt et autres loges maçonniques qui concoctèrent, entre autres, la sanglante révolution française. Marx et son complice Friedrich Engels rédigèrent donc le Manifeste communiste, racine du mouvement communiste qui entraîna les assassinats de masse et les désastres que l’on sait. Il est plaisant de savoir que le supposément chrétien Jean-Claude Juncker va venir célébrer la mémoire d’un des pires rejetons de « l’occulto-socialisme » si bien décrit dans son entreprise nihilisme, gnostique, luciférienne et antichrétienne par le regretté Philippe Muray.
Car Jean-Claude Juncker, 64 ans aux poires, porte l’étiquette de chrétien-social luxembourgeois, ce qui en dit long sur l’infiltration du philosophisme nihiliste dans le christianisme post-conciliaire. Vieil avocat d’un jacobinisme européen, il fut l’un des architectes du Traité de Maastricht et des contraintes imposées aux Etats pour intégrer l’Union économique et monétaire et adopter l’euro. En 1995 au Luxembourg, son parti populaire chrétien-social forma une coalition avec le parti ouvrier socialiste, permettant à Juncker d’accéder au poste de Premier ministre de ce pays petit par sa taille (602.000 habitants) mais richissime par son rôle-pivot de la finance mondiale, avec le troisième PIB par habitant au monde (109.192 dollars en 2017 selon le FMI). En 2005, Jean-Claude Juncker prit la présidence de l’Eurogroupe, réunion des ministres des Finances de la zone euro, puis en 2014 celle de la Commission européenne, soviet suprême du cyclope européen, malgré les abstentions du Britannique David Cameron et du Hongrois Viktor Orban. Jean-Claude Juncker est celui qui a dit que « les frontières sont les pires inventions créées par les politiciens ». Il fut un ardent avocat de la politique des portes ouvertes à l’immigration menée par Angela Merkel, l’ancien membre des Jeunesses communistes.
L’ancien secrétaire général du PCUS en personne, Mikhaïl Gorbatchev, avait dit sa surprise devant le glissement à gauche de l’Union européenne : « L’événement politique le plus déconcertant de la dernière décennie est l’apparente détermination des dirigeants ouest-européens à recréer une Union soviétique ».
Pour Paul Nuttall, élu britannique de l’UKIP au Parlement européen, « Marx et son idéologie perverse ne devraient pas être commémorées mais jetées aux poubelles de l’Histoire ». La Commission européenne a répondu aux critiques émises contre Jean-Claude Juncker que « refuser de parler de (Marx) reviendrait à occulter le passé » et que « personne ne peut nier que Karl Marx soit une figure qui a façonné l’histoire d’une façon ou d’une autre ». Réplique de Steve Byas, sur Thenewamerican.com : « On n’imagine pas que Juncker puisse aller à Linz pour commémorer la naissance d’Adolf Hitler (cela fera 130 ans le 20 avril 2019, NDLR), autre personnage qui a “façonné” l’histoire ».
Daniel Kawczynski, élus conservateur britannique aux Communes qui a fui la Pologne communiste à l’âge de sept ans, est révolté par la décision de Juncker : « C’est de très mauvais goût. Il faut se souvenir que le marxisme prône de dépouiller les personnes de toutes leurs initiatives et décisions au bénéfice de l’Etat. Le marxisme a conduit au meurtre de millions de personnes (…) par une petite bande de fanatiques. » Marx ne doit certainement pas être oublié, pas plus que Lénine, Mao, Hitler et autres tyrans ou théoriciens totalitaires et leur cohorte de crimes. Mais il y a un pas entre la mémoire et la célébration d’une naissance (avec statue offerte par Pékin !). Par son choix, Jean-Claude Juncker signe un acte odieux qui confirme la vraie nature de la dictature européenne.
REINFORMAION TV
L’annonce du ministre-président de Bavière d’installer des crucifix dans les bâtiments du Land n’en finit pas de susciter des remous, dans un contexte électoral tendu. Plusieurs responsables chrétiens ont élevé la voix contre ce qu’ils considèrent comme une « récupération », voire « une profanation ».
Le débat se poursuit en Allemagne après la décision du Land de Bavière, mardi 24 avril, d’imposer des crucifix dans les halls d’entrée de ses bâtiments publics en signe de « reconnaissance de son identité ». Installer des crucifix, ce n’est pas promouvoir « un signe religieux », c’est « reconnaître une identité » et « l’expression d’une empreinte historique et culturelle », a justifié le ministre-président de Bavière, Markus Söder, membre de la CSU (la branche bavaroise de la CDU, le parti chrétien-démocrate allemand).
Sa décision intervient dans un contexte politique tendu : dominateur en Bavière depuis plusieurs décennies, il va affronter une élection régionale délicate le 14 octobre prochain face à une extrême droite en plein essor.
« Je serais surpris que l’affaire ne finisse pas devant le tribunal », a commenté le constitutionnaliste Horst Dreier, dans les colonnes du journal Main-Post. Pour lui, une plainte constitutionnelle contre la décision du gouvernement bavarois est probable. Sur le plan historique, les Églises chrétiennes se sont ralliées « seulement après la seconde guerre mondiale » aux idées constitutionnelles de démocratie et des droits de l’homme, rappelle-t-il aussi. « Pas durant les 1900 ans précédents. » Mais la contestation vient aussi et surtout des responsables chrétiens eux-mêmes.
Le cardinal Reinhard Marx, président de la Conférence épiscopale allemande et archevêque de Munich et Freising (Bavière), a critiqué lundi cette décision dans un entretien au quotidien allemand Süddeutsche Zeitung. « Si la croix n’est considérée que comme un symbole culturel, elle n’est pas comprise, assure-t-il. La croix serait alors expropriée au nom de l’État. »
Il ajoute que la croix est « un signe d’opposition à la violence, à l’injustice, au péché et à la mort, mais pas aux autres hommes ». « La croix n’appartient pas à la CSU », renchérit Felix Neumann, rédacteur pour le site d’information de la Conférence des évêques allemands, qui n’hésite pas à dénoncer sur ce site une « profanation blasphématoire ».
La neutralité « religieuse et philosophique » n’est pas inscrite dans la loi fondamentale allemande. Elle figure en revanche dans la jurisprudence de la Haute cour constitutionnelle, qui la fait découler de la mention de « l’État comme patrie de tous les citoyens ».
Merci à Proserpine