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Business France : Muriel Pénicaud, ministre du Travail, convoquée chez le juge le 22 mai

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avril 2018
 

Le cabinet de la ministre du Travail a fait savoir que cette dernière était convoquée chez le juge le 22 mai comme témoin assisté dans l'affaire Business France. L'information avait dans un premier temps été révélée par le Canard enchaîné.

Muriel Pénicaud, ministre du Travail, sera convoquée comme témoin assisté par les juges le 22 mai pour l'affaire Business France, selon son cabinet, confirmant une information du Canard enchaîné. L'entourage de la ministre n'a pas fait d'autre commentaire. Ce dossier, devenu politique, est lié à l’organisation, en janvier 2016, d’une soirée de promotion de la France à Las Vegas autour d’Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie.

Malgré son coût élevé – près de 290 000 euros après renégociation – l'organisation de l'événement avait été confiée à l’agence de communication Havas sans appel d’offres spécifique par Business France (BF), organisme public dépendant de Bercy, chargé de faire la promotion des entreprises françaises à l'étranger et dirigé à l'époque par Muriel Pénicaud.

Le 21 septembre, une ancienne collaboratrice de Muriel Pénicaud chez Business France avait été placée sous le statut de témoin assisté par les juges d'instruction qui enquêtent sur le déplacement controversé en 2016 d'Emmanuel Macron à Las Vegas. Une semaine avant sur LCI, la ministre du Travail s'était dite «très sereine» dans cette affaire, tout en rappelant qu'elle démissionnerait du gouvernement si elle-même était mise en examen.

Lire aussi : Sanctions contre les chômeurs : le gouvernement annonce ses projets

RT

Commentaires

  • La belle blonde de "Buzyness France" qui a pas mal pataugé dans le yaourt s'en sortira car elle est "en marche" ;o)

  • ils et elles sont toujours "sereins " dans ce genre d,affaire , ils et elles n,ont peut-être tort , contrairement aux sans -dents et sans-rien, ces braves élus (es) , ne se retrouveront jamais à la rue à mendier . . .!!
    salutations.

  • Encore un ministre devant la justice. On ne compte plus le nombre ministres auxquels la justice s'intéresse ! Pourtant Macrotte avait promis, juré, qu'il renverrait tout ministre convoqué par un juge: PROMESSE de campagne ! Seulement, voilà, c'est tout le gouvernement qui devrait démissionner : cela ferait désordre!

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