C'est toujours un plaisir de revoir et d'écouter Boris Le Lay. Il n'y a rien à ajouter au portrait qu'il dresse du guignol de l'Elysée - et encore, Guignol nous faisait rire sainement, ce qui n'est pas son cas. On croyait avoir tout vu avec Sarko et ses hymnes au métissage, puis avec Hollande...On croyait même avoir touché le fond avec ce dernier. Quelle erreur ! Macron en rajoute une couche en transformant l'Elysée en palais privé de ses plaisirs et en cloaque pour une bande de nèg...pardon, d'Africains immigrés, pédés (sic) et hystériques.
Pour ce pervers narcissique et mégalo, le mal absolu, c'est le mâle blanc hétérosexuel coupable de tous les crimes et qu'il faut faire disparaître physiquement dans le métissage de masse et moralement dans la pourriture qu'il représente si bien et de manière si ostentatoire avec ses amis.