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  • Matteo Salvini prêt à travailler avec Steve Bannon pour « sauver l’Europe »

     

    18h26

     

    Le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini, le chef du Parti populaire belge et l’ex-conseiller de Donald Trump veulent créer ensemble un grand mouvement populiste en Europe.

    Matteo Salvini, le patron de l’extrême droite italienne devenu ministre de l’Intérieur et homme fort du gouvernement, a reçu l’ex-conseiller du président américain Trump Steve Bannon dans l’optique de faire de sa mouvance « le premier parti parlementaire européen » et de « sauver l’Europe ».

    « Il est avec nous ! », a tweeté vendredi le Belge Mischaël Modrikamen, chef du Parti populaire, un micro-parti wallon d’extrême droite, qui accompagne Steve Bannon dans ses efforts pour rassembler les populistes et eurosceptiques au sein d’un « Mouvement » paneuropéen. Le message était accompagné d’une photo des trois hommes, tout sourire à l’issue d’une rencontre vendredi matin au ministère de l’Intérieur à Rome.

    « La dernière occasion de sauver l’Europe ». Interrogé sur ce ralliement samedi en marge du forum de Cernobbio, qui réunit des dirigeants politiques et économiques, Matteo Salvini a expliqué que les élections européennes du printemps 2019 représentaient « une occasion de changement historique et la dernière occasion de sauver l’Europe ». « L’Europe, ils sont en train de la saborder. L’esprit européen, l’esprit d’une communauté rénovée, nous voulons le sauver, nous. Nous travaillons pour être le premier groupe parlementaire européen et oublier la triste parabole socialiste qui a porté chômage et insécurité », a-t-il ajouté.

    Rallier tous les populistes européens. Dans une interview au New York Times, Steve Bannon a assuré que les européennes seraient « l’occasion pour les populistes de prendre la main », tout en précisant qu’il visait avant tout à envoyer suffisamment d’élus populistes au Parlement pour bloquer l’agenda des forces traditionnelles. Le député antimigrants néerlandais Geert Wilders, présent à Cernobbio, s’est dit intéressé par le projet. « L’élite actuelle ne s’attaque pas au problème de l’immigration de masse et de l’islamisation comme elle le devrait, les gens sont en colère, le terrorisme persiste et même augmente, les chances pour des partis comme le nôtre et une force unie seront historiques et plus fortes dans les prochaines années en Europe », a-t-il déclaré.

  • Matteo Salvini prêt à travailler avec Steve Bannon pour « sauver l’Europe »

     

    18h26

     

    Le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini, le chef du Parti populaire belge et l’ex-conseiller de Donald Trump veulent créer ensemble un grand mouvement populiste en Europe.

    Matteo Salvini, le patron de l’extrême droite italienne devenu ministre de l’Intérieur et homme fort du gouvernement, a reçu l’ex-conseiller du président américain Trump Steve Bannon dans l’optique de faire de sa mouvance « le premier parti parlementaire européen » et de « sauver l’Europe ».

    « Il est avec nous ! », a tweeté vendredi le Belge Mischaël Modrikamen, chef du Parti populaire, un micro-parti wallon d’extrême droite, qui accompagne Steve Bannon dans ses efforts pour rassembler les populistes et eurosceptiques au sein d’un « Mouvement » paneuropéen. Le message était accompagné d’une photo des trois hommes, tout sourire à l’issue d’une rencontre vendredi matin au ministère de l’Intérieur à Rome.

    « La dernière occasion de sauver l’Europe ». Interrogé sur ce ralliement samedi en marge du forum de Cernobbio, qui réunit des dirigeants politiques et économiques, Matteo Salvini a expliqué que les élections européennes du printemps 2019 représentaient « une occasion de changement historique et la dernière occasion de sauver l’Europe ». « L’Europe, ils sont en train de la saborder. L’esprit européen, l’esprit d’une communauté rénovée, nous voulons le sauver, nous. Nous travaillons pour être le premier groupe parlementaire européen et oublier la triste parabole socialiste qui a porté chômage et insécurité », a-t-il ajouté.

    Rallier tous les populistes européens. Dans une interview au New York Times, Steve Bannon a assuré que les européennes seraient « l’occasion pour les populistes de prendre la main », tout en précisant qu’il visait avant tout à envoyer suffisamment d’élus populistes au Parlement pour bloquer l’agenda des forces traditionnelles. Le député antimigrants néerlandais Geert Wilders, présent à Cernobbio, s’est dit intéressé par le projet. « L’élite actuelle ne s’attaque pas au problème de l’immigration de masse et de l’islamisation comme elle le devrait, les gens sont en colère, le terrorisme persiste et même augmente, les chances pour des partis comme le nôtre et une force unie seront historiques et plus fortes dans les prochaines années en Europe », a-t-il déclaré.

  • L’AfD devance pour la première fois la CDU de Merkel dans l’est de l’Allemagne

     

    11h46

    […]

    Pour la première fois, l’AfD passe devant la CDU dans les Länder de l’est selon le Deutschlandtrend [sondage mensuel de la chaîne ARD et de divers quotidiens]. […] l’AfD arrive à 27 pourcent dans cette région. Les chrétiens-démocrates sont quatre points derrière à 23 pourcent.

    Die Linke [La Gauche] est la troisième force en Allemagne de l’Est avec 18 pourcent, suivie du SPD (15 pourcent). […]

     

    Au niveau fédéral, l’AfD perd un point et descend à 16 pourcent. L’Union [chrétienne-démocrate] et le SPD sont inchangés à respectivement 29 et 18 pourcent. […]

    (Traduction Fdesouche)