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  • Grèce : les 11 passagers d'un véhicule transportant des migrants meurent brûlés vifs

     

    Grèce : les 11 passagers d'un véhicule transportant des migrants meurent brûlés vifs
    La carcasse carbonisée d'un camion dans lequel ont péri 11 migrants présumés le 13 octobre 2018 dans le nord de la Grèce.

     13 octobre 2018 à 20h12

     

    Les onze passagers d'un véhicule soupçonné de transporter clandestinement des migrants sont morts brûlés vifs à la suite d'une collision frontale avec un camion, samedi dans le nord de la Grèce, a annoncé la police.

     

     

    Le chauffeur du camion, qui se dirigeait vers Kavala, une ville de la côte nord-est, s'en est en revanche sorti indemne. Le camion a entièrement brûlé.

     

     

    Les pompiers ont extrait onze corps du véhicule à bord duquel se trouvaient très probablement des migrants et qui faisait route vers Thessalonique, une agglomération également située dans la partie septentrionale de la Mer Egée.

     

     

    La police grecque a souligné dans son communiqué que ce véhicule avait par le passé été utilisé pour le passage illégal de migrants et que son conducteur n'avait pas obtempéré, plus tôt dans la journée de samedi, aux injonctions des policiers qui voulaient procéder à un contrôle.

     

     

    En juin dernier, une camionnette utilisée par des passeurs transportant 16 personnes, pour l'essentiel originaires de Syrie et d'Iran, avait eu un accident près de Kavala qui avait fait six morts, dont trois enfants. 

     

     

    "Nous sommes profondément attristés par ces informations catastrophiques venant d'une zone où des milliers de réfugiés ont risqué leur vie et sont entrés en Grèce par des voies clandestines", a commenté dans un communiqué le représentant dans le pays de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Philippe Leclerc. 

     

     

    Plus de 12.700 réfugiés et migrants sont entrés dans le nord-est de la Grèce depuis le début de l'année, soit plus du double de 2017, selon les chiffres compilés par le HCR.

     

     

    Au moins 40 morts ont été enregistrées dans la région en 2018, dont près de la moitié pour des cas de noyades dans les eaux rapides du fleuve Evros.  

     

     

    "Ces morts épouvantables sont une partie des dangers plus larges auxquels font face ces personnes, qui se trouvent à la merci de trafiquants qui exploitent leur vulnérabilité", a ajouté le HCR dans son communiqué, appelant à trouver des "alternatives à ces trajets dangereux pour des personnes nécessitant une protection internationale"

  • Vérone, la nouvelle ville pro-vie italienne

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    12/10/2018 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Quarante ans après l’adoption de la loi sur l’avortement en Italie, la ville de Vérone, cité emblématique de Roméo et Juliette vient d’approuver une motion soutenant les associations catholiques anti-IVG.

    Un texte, qui fait écho aux réclamations de nombreux parlementaires, demande l’ouverture d’un débat pour abroger cette loi de 1978 sur l’IVG. A Vérone en tout cas, le texte prévoit plusieurs actions de marketing coup de poing avec l’argent public des caisses communales, un réel soutien financier aux associations pro-vies implantées et l’accès facilité aux centres des plannings familiaux.

    Les associations pro-avortement se désolent du taux de plus en plus élevé de gynécologues et paramédicaux objecteurs de conscience et atteignant les 90% dans certaines régions. L’impact de Vérone est tel que les régions avoisinantes sont également en train de basculer du coté des militants pro-vies.

  • Est-ce-que-marks-spencer-vend-vraiment-des-hijabs-pour-petites filles?

    https://www.liberation.fr/checknews/2018/10/12/est-ce-que-marks-spencer-vend-vraiment-des-hijabs-pour-enfants_1684833

     

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  • Grèce : une grande croix chrétienne détruite pour ne pas « offenser les migrants », la population locale en colère (MàJ)

     

    21h30

    Grèce – Une grande croix chrétienne en ciment, construite sur le rivage rocheux d’Apelli, sous le château de Mytilène sur l’île de Lesbos, érigée en l’honneur des gens qui sont morts en mer, a été détruite après qu’une ONG ait indiqué à la municipalité qu’elle était « offensante pour les migrants ».

    « C’était un acte de haine ! Cette croix a été faite en béton armé, ils ont utilisé des outils lourds pour niveler la croix au sol… Nous ne voulons pas d’ennuis mais nous n’accepterons pas ce comportement… C’est inacceptable ! »

    Le placement de la croix, début septembre, a provoqué des réactions négatives de la part des organisations d’aide aux migrants et une lettre a été envoyée au capitaine du port de Lesbos et au maire de la ville, indiquant que la croix avait été placée à cet endroit pour empêcher les migrants de se baigner.

    « Il y a quelques jours, ils ont placé une grande croix, afin d’empêcher les migrants de venir nager. Cet acte est illégal, inesthétique mais surtout offensant pour le christianisme, une religion d’amour et de sacrifice, et non de racisme et d’intolérance. (…) S’il vous plaît, nous vous demandons de vous débarrasser de ce symbole religieux inapproprié (…) » dit l’ONG pro-migrants.

    Quelques jours plus tard, la croix a été enlevée pendant la nuit.

    L’annonce de cette affaire a provoqué de vives réactions de la population locale qui estime que cette destruction va à l’encontre des croyances religieuses de la majorité des habitants de l’île. Certains ont promis de reconstruire la croix.

    Greek City Times / Naftemporiki.gr