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  • Aquarius : SOS Méditerranée va porter plainte pour diffamation, apologie de la violence et propos racistes et haineux

     

    J-1

    Après l’attaque du siège de l’association, le 5 octobre à Marseille, 22 assaillants ont déjà été mis en examen pour « violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences, enregistrement et diffusion d’images violentes ».

    SOS Méditerranée va se constituer partie civile dans le cadre de l’information judiciaire en cours contre les personnes qui ont attaqué son siège à Marseille le 5 octobre dernier, annonce l’association dans un communiqué diffusé mercredi 17 octobre. Elle annonce également poursuivre ceux qui ont tenu des propos diffamatoires ou haineux pendant cette attaque, ainsi que ceux qui les ont relayés.

    SOS Méditerranée et ses salariés demanderont la réparation de l’ensemble des préjudices, physiques, matériels, moraux, psychologiques subis.
    SOS Méditerranée dans un communiqué

    L’avocat de l’association, Maître Sébastien Mabile, a notamment évoqué, dans ce communiqué, des propos accusant SOS Méditerranée d’être « complice des réseaux de passeurs ou de trafic d’êtres humains ».

    Ces allégations « tombent sous le coup de la loi pénale dès lors qu’elles portent atteinte à l’honneur et à la considération de SOS Méditerranée », a-t-il précisé. « Des poursuites seront intentées contre toute personne ayant fait l’apologie de cette attaque et/ou ayant repris les messages diffamatoires », a ajouté Sébastien Mabile.

    22 assaillants ont déjà été mis en examen pour « violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences, enregistrement et diffusion d’images violentes ».

    francetvinfo.fr

     
  • Locaux de SOS Méditerranée envahis : 56 personnalités demandent l’abandon des poursuites contre Génération Identitaire

     

    11h10

    Le 7 octobre, des membres de Génération identitaire ont brièvement envahi les locaux de l’association d’aide aux migrants SOS Méditerranée, déployant une banderole dénonçant l’aide aux clandestins apportée par l’ONG. Une opération qui a valu à 22 d’entre eux d’être immédiatement arrêtés par les forces de l’ordre et d’être mis en examen pour « violences en réunion », « séquestration », « participation à un groupement en vue de commettre des violences » et « enregistrement et diffusion d’images violentes ». Aujourd’hui, 56 personnalités, parmi lesquelles l’ex-ministre Thierry Mariani, le maire de Béziers Robert Ménard ou encore l’élu de Paris Charles Beigbeder, cosignent un appel à abandonner les poursuites contre les membres de Génération identitaire.

    Tribune signée par : Louis Aliot, Député RN des Pyrénées-Orientales ; Marie-Christine Arnautu, Députée Européen du RN ; Viktor Auber, Président Académia Christiana ; Wilfried Baron, Responsable départemental des Jeunes LR de la Nièvre ; Charles Beigbeder, Entrepreneur et élu de Paris, Président de la fondation « Le Pont Neuf » ; Guillaume Bernard, Historien de droit, Politologue ; Stéphanie Bignon, Présidente de Terre et Famille ; Jacques Bompard, Maire d’Orange (Ligue du Sud) ; Marie-Claude Bompard, Maire de Bollène (Ligue du Sud) ; Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; François Bousquet , Rédacteur en chef de la revue Eléments, Gérant de « La nouvelle librairie » ; Christine Boutin, Ancienne ministre, membre honoraire du Parlement ; Claude Chollet, Président de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique ; Thibaud Collin, Philosophe et essayiste ; Paul-MarieCouteaux, Haut fonctionnaire, essayiste et homme politique français ; Alain de Benoist, Philosophe et essayiste ; Jacques de Guillebon, Essayiste, directeur de la rédaction de L’incorrect ; Florent de Kersauson, Président fondateur de Nestadio Capital ; Quentin de Lacoste, Porte Parole de Racines d’Avenir (LR) ; Guillaume de Thieulloy, Politologue ; François de Voyer, Président de « Audace » ; Charles de Williencourt, Responsable Jeunes de l’Avant Garde ; Thierry Devige, Secrétaire général de « Audace » ; Aymeric du Chambon, Responsable jeunes de la Vienne du parti Chrétien-Démocrate ; Cédric Dudieuzère, Adjoint à la mairie du 7ème secteur de Marseille, RN ; Xavier Fruleux, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Marie-Thérèse Galmard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Emmanuelle Gave, Directrice de l’Institut des Libertés, candidate aux Européennes 2019 sur la liste des Amoureux de la France ; Charles Gave, Economiste, financier, écrivain et entrepreneur français ; Vivien Hoch, Docteur en philosophie et entrepreneur ; Sébastien Jallamion, Président de l’association « Andèle », écrivain ; Michel Janva, Rédacteur en chef du site « Le salon beige » ; Patrick Jardin, Père de Nathalie Jardin, tuée par des terroristes islamistes au Bataclan ; Baptiste Laroche, Porte-parole des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Christelle Lechevalier, Députée Européen du RN ; Rémi Ledoux, Délégué Jeunes LR 8e circonscription du Pas-de-Calais ; Quentin Limongi, Président de la « Cocarde Étudiante » ; Marie-France Lorho, Députée (Ligue du sud) ; Thierry Mariani, Ancien ministre, Membre honoraire du Parlement (LR) ; Barbara Mazières, Présidente du cercle Anjou conférence ; Emmanuelle Ménard, Députée de l’Hérault ; Robert Ménard, Maire de Béziers ; Jean Messiha, Haut-fonctionnaire ; Charles Millon, Ancien ministre de la Défense, Président de « L’Avant-Garde » ; Paul Nafilyan, Avocat au Barreau de Paris ; Frédéric Pichon, Avocat au Barreau de Paris ; Joseph Poidevin, Secrétaire général des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti Chrétien-Démocrate ; Stéphane Ravier, Sénateur RN ; Julien Rochedy, Ancien président du FNJ, entrepreneur ; Jean Servin, Président des jeunes du Parti Chrétien-Démocrate ; Erik Tegner, Président de Racine D’avenir (LR) ; Mylène Troszczynski, Députée Européen (RN) ; Christian Vanneste, Député honoraire du Nord, Président du RPF et de La Droite Libre.

  • Wargon, Mélenchon, Castaner, Benalla, Antilles : Macron en fuite

     

    Wargon Mélenchon Castaner Benalla Antilles Macron Fuite
     
    Rien ne sourit à Macron depuis l’affaire Benalla. Deux de ses nouveaux ministres, Wargon et Castaner sont déjà contestés. Son braqueur chouchou des Antilles est condamné. Mélenchon fait son cirque. C’est une vraie fuite médiatique en avant vers la catastrophe.
     
    Attention Emmanuel, piège à éléphants droit devant ! Attention, râteau qui traine ! Attention, escadrille de tartes à la crème à dix heures ! Le président Macron ressemble à un héros de jeu vidéo qui doit coordonner ses mouvement avec ceux d’obstacles monstrueux placés sur son chemin et qui soudain les prendrait tous en pleine tête, à un pneu de vélo qui ramasserait tous les clous de la route. Pas le temps de boucher une fuite d’une rustine qu’une autre fuite vous met à plat. Le Jupiter qui survolait le monde voilà un an finit en comique de dessin animé.
     

    Enfants chéris de la République, Benalla, doigt d’honneur et trafic de drogue

     
    Ça a commencé cet été avec Benalla. Un voyou de la république comme l’adolescent Macron, grandi dans les bons sentiments et l’humanitaire appliqué à la personne, les aime. On a lu Dickens et Gilbert Cesbron et ça vous retombe sur les doigts. Macron a voulu accompagner un destin atypique, il se le remange en ragoût tous les soirs dans la cuisine de l’Elysée. Cette affaire de rien montée par la presse qui l’a porté au pouvoir, le Monde en tête, exaspère Macron mais il ne peut rien pour l’arrêter, elle ruisselle, selon sa théorie (ce garçon a trop rêvé de Formule 1 et d’anniversaires de stars) : un champagne catastrophique ruisselle de coupe en coupe. Avant hier, c’étaient ses rappeurs trans en résille le soir de la fête de la musique. Hier, ses copains des Antilles, enfants chéris de la république, lui ont causé bien du souci. L’un avec un doigt d’honneur, l’autre vient de se faire condamner comme récidiviste pour « détention de drogue ». 24 « pochons de cannabis », c’est une jolie consommation personnelle, même pour un gros fumeur.
     

    Mélenchon, bad Boy de la Macronie en fait trop

     
    Même chose pour Mélenchon. Le parquet, c’est-à-dire la chancellerie, c’est-à-dire le garde des sceaux, c’est-à-dire le pouvoir exécutif, c’est-à-dire Macron lui-même, lance une enquête préliminaire sur lui. Sur des faits qu’il conviendrait d’étayer. Il ordonne une perquisition à cet effet. Parfait. A son poste de préfet du mondialisme en France, Macron participe à la mise au pas de l’échelon politique par les juges. Il utilise contre un parlementaire une procédure conçue pour des voyous. C’est-à-dire qu’en dépit de la présomption d’innocence il instille dans l’esprit public l’idée que le perquisitionné n’est peut-être pas positivement coupable de tout ce dont on l’accuse, mais qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Jusqu’ici ça va. Mélenchon, lui, joue nickel sa grande scène de l’indignation démocratique. Très bien, ça le regonfle pour les Européennes, c’est ce que Macron visait aussi. Hélas, le bad buzz est si fort que les pontifes des médias finissent par se demander si la procédure est bien démocratique, s’il est si bon que ça que les juges mettent leur nez partout, policiers, donneurs de leçons et dictateurs. Le tour finit mal. Comme si la colombe lançait son guano sur la tête du prestidigitateur.
     

    Castaner, le grand frère noceur de Macron, choque le sénat

     
    Quant à ses ministres. Macron a mis deux semaines à les trouver. Ils sentent le fond de tiroir et le service commandé par l’ambition. Au résultat, ce n’est pas le premier prix de beauté ! Castaner, avec sa tête de grand gentil mou retour de noce, premier flic de France copain d’un caïd de la pègre qui ne mourut pas dans son lit, se fait rembarrer faut voir comme par le Sénat : tout le groupe républicain quitte la salle pour protester contre une de ses réponses. Du jamais vu. Le Luxembourg n’est pas le palais Bourbon : pour les faire se lever, les pères conscrits, il faut qu’il y ait du bon à la buvette, ou qu’ils se sentent aussi profondément blessés dans leur dignité républicaine que Mélenchon. 
     

    Un Wargon d’huile de Palme et de Danone : à quand le retour de Cahuzac ?

     
    Reste la petite Emmanuelle Wargon, au ministère de l’Ecologie. Elle est gentille, c’est la fille de Lionel Stoleru, sous ministre sous Giscard, elle a la même bouille étonnée que son papa. Bon chien chasse de race, elle ne se prive pas pour être intempestive. Pas plus tard qu’en juillet, elle tressait des louanges de l’huile de palme « la meilleure pour le lait des bébés ». Je n’ai sur la question aucune opinion, mais, pour un ministre vert, ça fait tache, un peu comme si elle proposait d’augmenter l’émission de CO2 de 30 % d’ici à 2025. 
     
    En plus, elle vient d’être lobbyiste chef chez Danone. Après Castaner, c’est une autre Vidocq. Elle vient de passer des années à influencer l’Etat au profit d’un géant agro-alimentaire, elle est passée de l’autre côté, elle va profiter de son habitude du cambriolage pour pincer les monte-en-l’air en fuite ou en opération. 
     
    On se demandait comment Macron a sélectionné ses ministres, on a trouvé. Il n’a qu’à mettre un failli à l’économie, un objecteur de conscience à la Défense, un Cahuzac à la fraude fiscale, une Taubira à la justice et ainsi de suite. Mon pauvre Macron, je ne sais pas quand tu comptes arrêter ta séquence catastrophe, mais celle de la France n’est pas près de finir.
     

    Pauline Mille

    REINFORMATION TV

  • JT TVLlibertés 18 octobre 2018