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  • Roubaix (59) : un réfugié condamné pour atteinte sexuelle sur une mineure de 12 ans alors qu’il avait été recueilli dans une famille

     

    11h29

    Depuis lundi, un homme réfugié en France depuis 2013 était jugé devant la cour d’Assises du Nord pour des faits de « viol » et de « tentative d’agression sexuelle » à l’encontre d’une très jeune fille. Les faits ont été requalifiés en « atteinte sexuelle ».

    Depuis lundi, un habitant de Roubaix, âgé de 29 ans, était jugé devant la cour d’Assises du Nord, à Douai, pour une « tentative d’agression sexuelle imposée à un mineur de 15 ans » et pour « viol sur un mineur de 15 ans ». En raison de l’âge de la victime, qui avait douze ans au moment des faits, le procès s’est déroulé à huis-clos.

    L’homme, de nationalité étrangère, est réfugié en France depuis 2013 après avoir été "persécuté" dans son pays. En 2015, il bénéficiait d’un titre de séjour. Il était accusé d’avoir agressé une mineure alors qu’il avait été recueilli dans une famille de Roubaix.

    Après trois jours d’audience, le mis en cause a été acquitté des faits pour lesquels il était poursuivi. Il a finalement été condamné à 5 ans de prison dont un avec sursis et mise à l’épreuve de dix-huit mois pour des « atteintes sexuelles ». La Cour d’Assises a estimé qu’en raison de l’âge de la jeune fille, celle-ci n’était pas en mesure de consentir « en pleine conscience » à des relations sexuelles avec un adulte.

    (…) Nord Eclair

    (Merci à Prosperpine)

    NdB: Nous sommes arrivés dans le règne de la délinquantocratie 

  • Allemagne : Un migrant a tenté de tuer un enfant en le jetant sous un train. Depuis, le garçon traumatisé « crie » lorsqu’il aperçoit « des gens de couleur ».

     

    18h50

    Allemagne – Il a attrapé un enfant qu’il ne connaissant pas et qu’il a brusquement arraché à sa mère, puis s’est jeté avec lui sous un train qui arrivait en gare.

    Depuis mardi, l’homme, un migrant indien qui vivait à Gelsenkirchen, est jugé pour tentative de meurtre et blessures corporelles dangereuses.

    L’assaillant a sauté devant un train en marche avec un enfant dans les bras. Devant les yeux de la famille de la petite victime. L’homme s’est couché sur les rails, en tenant l’enfant.

    Selon le ministère public, ce n’est que grâce à une coïncidence heureuse et à la rapidité d’action du conducteur que le garçon n’a subi que des blessures mineures à la tête. Si le train était allé un peu plus loin, le choc aurait été fatal.

    L’Indien de 23 ans a tenté « insidieusement de tuer un être humain », déclare le bureau du procureur de la République.

    Le père, Christian V. (34 ans) a déclaré au tribunal : « Mon fils m’a confié plus tard que l’agresseur lui avait dit qu’il voulait l’emmener à la mort ». Après l’arrêt du train, le père a sauté sur les rails et a récupéré son fils.

    Le tribunal de district examine le placement permanent de l’accusé, Jagdeep S., dans un service psychiatrique fermé.

    Sandro, la victime âgée de 5 ans, souffre encore aujourd’hui de l’agression qu’il a subie. Son père déclaré : « Quand des gens s’approchent rapidement de lui ou ont la peau foncée, il crie, s’accroche à nous. On ne peut plus prendre le train. Il en a peur. »

    Sa mère Daniela V. (24 ans) est toujours très choquée. En larmes, elle a dû interrompre son témoignage devant le tribunal et s’est évanouie dans le hall.

    BILD

     
  • Dans une semaine, la Nouvelle-Calédonie choisit la France ou l’indépendance

     

    12h04

     

    Nouméa – « Voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté et devienne indépendante ? »: c’est la question à laquelle vont répondre dans une semaine une partie des habitants du Caillou dans un référendum historique qui les divise.

  • Les droits de l'inhumain

    La Cour européenne condamne l’Italie pour le viol des droits humains de Bernardo Provenzano, un chef mafieux responsable de dizaines de meurtres

    11h13

    La Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg a statué que l’Italie a violé les droits de feu  « patron des patrons » Bernardo Provenzano en maintenant des conditions de détention strictes anti-mafia durant ses derniers mois de vie.

    Le tribunal a jugé jeudi que l’Italie n’avait pas à  prolonger les conditions de détention strictes quelques mois seulement avant la mort de Provenzano en raison de son « déclin cognitif critique ».

    Provenzano, qui aurait dirigé le puissant clan Corleone de la mafia, mourut en juin 2016 à 83 ans après une décennie de prison, les trois dernières années au lit à cause de la maladie. Les avocats de Provenzano ont plaidé en vain pour que son état de santé s’améliore en raison de la santé fragile de leur client.

    La décision de jeudi a été immédiatement critiquée par le vice-premier ministre italien Luigi Di Maio, qui a déclaré que « les comportements inhumains étaient ceux de Provenzano ».

    NY Times