Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

luis aragonès

  • C'est l'Espagne 1 à 0! - Luis Aragonès, sélectionneur

    Luis Aragones.jpg
    Luis Aragonès, 70 ans, né à Madrid le 28 juillet 1938

    Les Espagnols l'ont emporté 1 à 0 face à l'Allemagne à Vienne. Depuis 1964, l'Espagne n'avait plus conquis ce titre.

    L'Espagne a remporté le Championnat d'Europe des nations de football pour la deuxième fois de son histoire, quarante-quatre ans après son premier titre, en battant l'Allemagne (1-0) en finale de la XIIIe édition, dimanche au stade Ernst-Happel de Vienne.

    L'Espagne décroche ainsi son premier titre majeur depuis 44 ans et la victoire lors de l'Euro-1964 face à l'URSS en finale. Les Espagnols ont inscrit l'unique but du match grâce à l'attaquant Fernando Torres, servi dans la profondeur par Xavi Hernandez, profitant au passage de la lourdeur de la défense allemande et d'une sortie hasardeuse du gardien Jens Lehmann (33).



    Rarement mis en danger, les Espagnols se sont créé quelques occasions en seconde période, notamment par Iniesta, dont la reprise fut repoussée sur sa ligne par Frings (63). Puis sur une remise de la tête de Güiza vers Senna, trop court (81).

    Les Allemands, qui avaient finalement pu aligner leur capitaine Michael Ballack, ménagé vendredi et samedi, en raison d'un problème musculaire au mollet droit, ont souvent été dépassé par le rythme de leurs adversaires.

    Luis Aragonès dirige d'une main de fer l'équipe espagnole

    Il est sélectionneur de l'équipe d'Espagne de football depuis 2004. Il déclencha une importante polémique lorsque, lors d'un entraînement, il qualifia le footballeur français Thierry Henry de "negro de mierda" (ce qui se passe de traduction). Pour ces propos, il a été sanctionné de 3 000 euros d'amende par la Fédération espagnole de football.

    Tout le monde se souvient du "noir de merde" balancé en 2004 à propos de Thierry Henry. Remarque sussurée à l’oreille d’un José Antonio Reyes, coéquipier de Titi à Arsenal, qu’il s’agissait de "motiver". Luis a bien expliqué qu’il a plein d’amis noirs, que Reyes lui-même n’est qu’un "gitan", la tirade est mal passée… Tirant les pieds, la fédération espagnole a fini par lui infliger une amende de 3000 euros. La belle affaire.

    Le 21 juin, dans une interview au quotidien sportif As, le "Sage d’Hortaleza" (son quartier natal à Madrid), glisse, bonhomme, à propos des Coréens : "Ils sont tous pareils. Ils pourraient mettre 11 joueurs sur le terrain en première mi-temps et les changer tous en seconde, personne ne s’en apercevrait."