C'est le film "Quatre mois, trois semaines et deux jours" du roumain Cristian Mungiu, 39 ans, qui a remporté la Palme d'Or au Festival de Cannes. Il raconte l'histoire, misérabiliste à souhait, d'une étudiante paumée, Gabila, qui veut se faire avorter: or, l'avortement est interdit sous le régime finissant de Ceaucescu. Ottila, sa copine dévouée corps et âme, fait appel à un "faiseur d'anges", Monsieur Bébé, pour interrompre la grossesse de son amie. Le tout se passe dans la chambre d'hôtel miteuse d'une petite ville roumaine. L'avorteur clandestin se fera payer en nature... D'un bout à l'autre du film, on baigne dans le sordide.
Le Jury de Cannes s'est dit bouleversé, voire traumatisé, par la violence des scènes et par leur "extrême tension". Quant au lauréat, chaudement félicité par les "bobos " du Festival, il vit cette récompense comme "un conte de fées". Il est vrai que sa mère avait choisi de le laisser vivre.
La propagande pro-IVG bat son plein dans ce film politico-militant, emblématique de la "culture de mort" qui fascine l'Occident dans son déclin. Cristian Mungiu a même reçu un Prix du ministère de l'Education nationale pour "l'intérêt pédagogique" de son oeuvre: on ne voit pas bien lequel...
(Remise du trophée et photo tirée du film)
Commentaires
Ils les cumulent , après indigeste, le film financé par les CON-tribuables français et se revendiquant algérien , "joué"par des (sagouins) djeuns "anciens"??! délinquants , qui accumulent contre vérités historiques , et propagande mensongère sans compter le racisme latent contre le pays "cochon payeur!"
Ici rebelotte avec un film plaisant aux destructeurs , aux faux démocrates ...
Les valeurs forte reviendront c'est inévitable , il n'y a qu'a regarder la radicalisation des dogmes monothéistes ...la patience est une vertu certes mais là faut que ça bouge il y a urgence!!!
@vampire. Entièrement de ton avis, sur tout! - Je comprends parfaitement la détresse d'une jeune femme enceinte, abandonnée de tous, et qui sait que son enfant ira dans un orphelinat... Mais ce film veut faire passer un message de mort, un principe de mort, la légalisation de l'avortement . Or, avorter,même "légalement", un enfant demeure toujours un échec, et un crime. Ceci en dehors de toute considération religieuse! - L'avortement légalisé est une régression, et non un progrès ( sinon pour les meilleures conditions d'aseptie), ou encore une victoire du "féminisme". C'est mettre les femmes bien bas! Tuer son enfant... Il faut voir le film américain "Le cri silencieux", je vais chercher le lien avec le blog où on peut le visionner. Alors, que ce film sordide soit récompensé à Cannes en dit long sur la décadence morale de l'Europe... Film sale...
Amitiés