Le couple Courjeault
Les avocats de Véronique Courjault, soupçonnée de trois infanticides, et de son mari demandent l'introduction, dans le Code pénal, d'"une infraction spécifique d'infanticide" afin de différencier "les mères qui tuent à la naissance des mères qui tuent un enfant".
Les avocats souhaitent que soit réintroduite l'"infraction spécifique d'infanticide ou plutôt de néonaticide", qui a été supprimée du Code pénal en 1994. "Depuis, les mères qui tuent à la naissance tombent dans le droit commun", a indiqué Me Marc Morin, l'avocat de Jean-Louis Courjault, interrogé par l'AFP.
"A chaque fois, elles sont donc mises en examen pour assassinat, en partant du principe que se sachant enceinte, il y a préméditation. Elles encourent la perpétuité. Jusqu'en 1994, elles bénéficiaient d'une minoration de peine", a-t-il poursuivi.
Pour Me Morin et Me Hélène Delhommais, l'avocate de Mme Courjault, "l'idée est de poser le problème d'ordre général après les affaires survenues récemment". "Nous ne demandons pas de traitement particulier pour notre affaire", ont-il ajouté, à la suite de la mise en examen vendredi d'une femme de 34 ans pour "homicide volontaire sur mineurs" après avoir avoué avoir tué six de ses nouveau-nés entre 2000 et 2007 à Valognes (Manche).
Les deux avocats souhaitent "la création d'une infraction de néonaticide* qui différencie bien les mères qui tuent leur enfant à la naissance des mères qui tuent un enfant". "La démarche est totalement différente. Les psychologues expliquent qu'on peut être enceinte physiquement et dans sa tête ne pas se considérer comme étant enceinte", explique Me Morin.
Véronique Courjault a été mise en examen le 12 octobre 2006 pour "assassinats" après avoir avoué trois infanticides: ceux de deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 alors que le couple habitait Séoul, et celui d'un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en France.
Son mari Jean-Louis, qui avait découvert les corps des deux bébés congelés à Séoul, a été mis en examen pour "complicité d'assassinat" et laissé en liberté.
Les avocats souhaitent que soit réintroduite l'"infraction spécifique d'infanticide ou plutôt de néonaticide", qui a été supprimée du Code pénal en 1994. "Depuis, les mères qui tuent à la naissance tombent dans le droit commun", a indiqué Me Marc Morin, l'avocat de Jean-Louis Courjault, interrogé par l'AFP.
"A chaque fois, elles sont donc mises en examen pour assassinat, en partant du principe que se sachant enceinte, il y a préméditation. Elles encourent la perpétuité. Jusqu'en 1994, elles bénéficiaient d'une minoration de peine", a-t-il poursuivi.
Pour Me Morin et Me Hélène Delhommais, l'avocate de Mme Courjault, "l'idée est de poser le problème d'ordre général après les affaires survenues récemment". "Nous ne demandons pas de traitement particulier pour notre affaire", ont-il ajouté, à la suite de la mise en examen vendredi d'une femme de 34 ans pour "homicide volontaire sur mineurs" après avoir avoué avoir tué six de ses nouveau-nés entre 2000 et 2007 à Valognes (Manche).
Les deux avocats souhaitent "la création d'une infraction de néonaticide* qui différencie bien les mères qui tuent leur enfant à la naissance des mères qui tuent un enfant". "La démarche est totalement différente. Les psychologues expliquent qu'on peut être enceinte physiquement et dans sa tête ne pas se considérer comme étant enceinte", explique Me Morin.
Véronique Courjault a été mise en examen le 12 octobre 2006 pour "assassinats" après avoir avoué trois infanticides: ceux de deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 alors que le couple habitait Séoul, et celui d'un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en France.
Son mari Jean-Louis, qui avait découvert les corps des deux bébés congelés à Séoul, a été mis en examen pour "complicité d'assassinat" et laissé en liberté.
Commentaires
de l'avortement au néonaticide il n'y a qu'un pas en effet. On ne va pas s'arrêter à ce détail de la naissance d'un enfant viable.
Lucifer reviens ils sont fins prêts !
Ces avocats ont bien raison ! Car j’aimerais bien qu’on explique quelle différence cela fait entre avorter à trois mois (autorisé et remboursé par la SS) et avorter à neuf mois !
Chers Gaëlle et Paul-Emic, c’est affreux, on assiste petit à petit au triomphe de cette culture de mort que les mondialistes veulent nous imposer.
Amicalement.