En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Ambition, réussite : le niveau zéro de l’enseignement des écoles françaises ! Et encore, il leur faut des « enseignants » supplémentaires. On remarque qu’ils confondent la grammaire et le vocabulaire. Il n’y a pas si longtemps, dès le cours élémentaire 2ème année, les élèves savaient distinguer la grammaire du vocabulaire, et ceux là sont, paraît-il, en 5ème ! Le français nouveau est arrivé ! Pauvre France, piétinée, bafouée, déshonorée !
Cher abad, c'est effrayant... et ça va empirer, forcément...
Ces instits sont au-desssous de tout: le mal vient d'eux... Je suis sûre que ces enfants aimeraient les méthodes normales, mais elles veulent "faire moderne", innover... - je ne sais pas, je peux me tromper... bien sûr!
Amitiés!
Chère Gaëlle,
Les premiers responsables de cette dégradation de notre enseignement ce sont les inspecteurs généraux qui imposent ces « méthodes » et les programmes très souvent bidons. Notre grand mathématicien Laurent Lafforgue a essayé de s’y opposer ; il les a comparés aux « khmers rouges ». Mais c’est lui qui s’est fait viré avec pertes et fracas. Les instituteurs sont formés dans les IUFM qui sont de véritables entreprises de bourrage de crâne et malheur à l’enseignant qui se rebelle ! Evidemment les grands coupables sont les politiques qui ont laissé s’instaurer ces méthodes et cet état d’esprit. Par facilité, après mai 68, ils ont nommés des médiocres à la tête de l’enseignement car ils se sont imposés par la violence. Qui pouvait enseigner à l’université dans les années 1970 ? Combien de professeurs qui voulaient faire honnêtement leurs cours se font fait interdire l’accès à leur amphis ? Combien de professeurs ont été obligés, sous la menace et la persécution, d’accorder les diplômes ? Et le premier coupable c’est Pompidou qui ne s’est jamais intéressé à l’enseignement et l’a complètement abandonné. Allègre a bien tenté de faire quelque chose : c’était bien tard et on a vu comment cela s’est terminé !
Amitié.
Pardonnez-moi, Gaëlle, dans ma liste des grands coupables de la médiocrité de l’enseignement, j’ai oublié les syndicats, mais cela tout le monde le sait…
Commentaires
Ambition, réussite : le niveau zéro de l’enseignement des écoles françaises ! Et encore, il leur faut des « enseignants » supplémentaires. On remarque qu’ils confondent la grammaire et le vocabulaire. Il n’y a pas si longtemps, dès le cours élémentaire 2ème année, les élèves savaient distinguer la grammaire du vocabulaire, et ceux là sont, paraît-il, en 5ème ! Le français nouveau est arrivé ! Pauvre France, piétinée, bafouée, déshonorée !
Cher abad, c'est effrayant... et ça va empirer, forcément...
Ces instits sont au-desssous de tout: le mal vient d'eux... Je suis sûre que ces enfants aimeraient les méthodes normales, mais elles veulent "faire moderne", innover... - je ne sais pas, je peux me tromper... bien sûr!
Amitiés!
Chère Gaëlle,
Les premiers responsables de cette dégradation de notre enseignement ce sont les inspecteurs généraux qui imposent ces « méthodes » et les programmes très souvent bidons. Notre grand mathématicien Laurent Lafforgue a essayé de s’y opposer ; il les a comparés aux « khmers rouges ». Mais c’est lui qui s’est fait viré avec pertes et fracas. Les instituteurs sont formés dans les IUFM qui sont de véritables entreprises de bourrage de crâne et malheur à l’enseignant qui se rebelle ! Evidemment les grands coupables sont les politiques qui ont laissé s’instaurer ces méthodes et cet état d’esprit. Par facilité, après mai 68, ils ont nommés des médiocres à la tête de l’enseignement car ils se sont imposés par la violence. Qui pouvait enseigner à l’université dans les années 1970 ? Combien de professeurs qui voulaient faire honnêtement leurs cours se font fait interdire l’accès à leur amphis ? Combien de professeurs ont été obligés, sous la menace et la persécution, d’accorder les diplômes ? Et le premier coupable c’est Pompidou qui ne s’est jamais intéressé à l’enseignement et l’a complètement abandonné. Allègre a bien tenté de faire quelque chose : c’était bien tard et on a vu comment cela s’est terminé !
Amitié.
Pardonnez-moi, Gaëlle, dans ma liste des grands coupables de la médiocrité de l’enseignement, j’ai oublié les syndicats, mais cela tout le monde le sait…