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Un Mémorial contre le mur du silence

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Le Mémorial - Mur des Disparus va être édifié dans l'enceinte du Couvent Ste-Claire à Perpignan où le Cercle algérianiste installera le Centre de l'œuvre française en Algérie, Centre de la Mémoire des Français d'Afrique du Nord, à la fois Musée et Centre de Documentation.

En octobre 2004, un olivier a été planté à Perpignan à la mémoire des Disparus et promesse a été faite par le sénateur-maire de Perpignan Jean-Paul Alduy et par Suzy Simon-Nicaise, présidente du Cercle algérianiste des Pyrénées-Orientales d'ériger dans la ville le MEMORIAL DES DISPARUS D'ALGERIE où seront inscrits les noms de toutes les personnes disparues entre 1954 et 1963 sans distinction de sexe, d'âge, d'origine ou de confession.

Nouvelle étape de la transmission de la mémoire et de l'enseignement de la guerre d'Algérie, ce Mémorial sera là pour dire au Monde l'injustice de ce drame si savamment occulté et souvent ignoré.

Comité de pilotage du Mur : Suzy-Simon-Nicaise, Présidente du Cercle algérianiste des Pyrénées-Orientales, vice-présidente nationale de la fédération des Cercles algérianistes; pour les familles de disparus : Colette Ducos-Ader, Josette Gonzales, Claude Lions, Monique Viguier; pour la Ville de Perpignan : les maires-adjoints Jean-Marc Pujol, Maurice Halimi; les historiens : Geneviève de Ternant, Jean Monneret; le sculpteur Gérard Vié; pour le cercle algérianiste : Laurent Marchioni, Raphaël Passarelli, Yves Sarthe, Jean Scotto di Vettimo, Marcel Simonet.

 

Commentaires

  • Merci, chère Gaëlle, pour cette information. Il commence à être temps de rétablir les vérités historiques.

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