Sitôt rentré de Chine, Nicolas Sarközy a annoncé mercredi 28 aux familles des deux adolescents tués à Villiers-le-Bel l'ouverture d'une information judiciaire pour élucider les circonstances de leur mort, a rapporté à la presse Jean-Pierre Mignard, l'avocat des familles qui venaient d'être reçues à l'Elysée.
Le chef de l'Etat a "partagé le souci que nous avons exprimé que toute la vérité soit faite dans cette affaire et il a notamment indiqué qu'une information judiciaire serait ouverte et qu'un juge d'instruction serait désigné", a déclaré Me Mignard à l'issue de la rencontre qui a réuni autour de M. Sarkozy les parents des victimes et leurs avocats.
"C'est donc une décision juste que nous saluons comme telle de la part du président de la République, puisqu'elle permettra aux victimes, aux parents des victimes, à leurs avocats de participer activement à la connaissance de la vérité", a-t-il poursuivi.
Dès son retour de Pékin, Nicolas Sarkozy a souhaité reprendre l'initiative. A 07H30, il s'est rendu au chevet du commissaire blessé avant de présider à l'Elysée "une réunion sur la sécurité" en présence de françois Fillon.
Il a affirmé mercredi à Eaubonne (Val-d'Oise) que ceux qui ont "pris la responsabilité de tirer sur des fonctionnaires se retrouveront devant la cour d'assises", dans une déclaration à la presse retransmise par France Inter.
"Ceux qui ont pris la responsabilité de tirer sur des fonctionnaires se retrouveront devant la cour d'assises". Les faits commis "portent un nom, c'est tentative d'assassinat", a déclaré le chef de l'Etat à sa sortie de l'hôpital d'Eaubonne, où il s'est rendu au chevet du commissaire divisionnaire grièvement blessé lors de la première nuit de violences à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise).
"Tirer sur des fonctionnaires, c'est parfaitement inacceptable", a martelé M. Sarkozy. "Nous retrouverons les tireurs. On mettra les moyens qu'il faut, mais ceux qui en ont pris la responsabilité auront à en rendre compte devant la justice de notre pays", a-t-il promis. "
Le chef de l'Etat a "partagé le souci que nous avons exprimé que toute la vérité soit faite dans cette affaire et il a notamment indiqué qu'une information judiciaire serait ouverte et qu'un juge d'instruction serait désigné", a déclaré Me Mignard à l'issue de la rencontre qui a réuni autour de M. Sarkozy les parents des victimes et leurs avocats.
"C'est donc une décision juste que nous saluons comme telle de la part du président de la République, puisqu'elle permettra aux victimes, aux parents des victimes, à leurs avocats de participer activement à la connaissance de la vérité", a-t-il poursuivi.
Dès son retour de Pékin, Nicolas Sarkozy a souhaité reprendre l'initiative. A 07H30, il s'est rendu au chevet du commissaire blessé avant de présider à l'Elysée "une réunion sur la sécurité" en présence de françois Fillon.
Il a affirmé mercredi à Eaubonne (Val-d'Oise) que ceux qui ont "pris la responsabilité de tirer sur des fonctionnaires se retrouveront devant la cour d'assises", dans une déclaration à la presse retransmise par France Inter.
"Ceux qui ont pris la responsabilité de tirer sur des fonctionnaires se retrouveront devant la cour d'assises". Les faits commis "portent un nom, c'est tentative d'assassinat", a déclaré le chef de l'Etat à sa sortie de l'hôpital d'Eaubonne, où il s'est rendu au chevet du commissaire divisionnaire grièvement blessé lors de la première nuit de violences à Villiers-le-Bel (Val-d'Oise).
"Tirer sur des fonctionnaires, c'est parfaitement inacceptable", a martelé M. Sarkozy. "Nous retrouverons les tireurs. On mettra les moyens qu'il faut, mais ceux qui en ont pris la responsabilité auront à en rendre compte devant la justice de notre pays", a-t-il promis. "
Sur des centaines d'émeutiers armés, il y a eu seulement 22 arrestations...
Commentaires
Ca y est : ils se sont dépêchés pour s’aplatir devant les familles de ces voyous.
Et ils sont très satisfaits d’eux, fiers et heureux de rendre hommage à des voyous.
Mais pas un mot, pas une pensée, pour Anne-Lorraine, alors qu’ils sont responsables de sa mort horrible.
Le poisson pourrit par la tête…
Devant la "grande fermeté"(verbale) du nain,les tireurs vont trembler!
Le Sherlock Holmes des banlieues va entrer en action,alors gare à vos abattis.(sic)
Cher abad, c'est si infect ce qui se passe que je suis sans voix... -
Pour le titre de la vidéo Rap, R. Fiorini l'a changé déjà deux fois: pour des raisons de droit d'auteur. Mais les "ex-futurs électeurs" de M. Le Pen ont un peu changé depuis: ils ont tiré au fusil sur des policiers (l'un d'eux est castré ou presque) et on n'a plus envie de sourire d'une certaine naïveté féminine.
La vidéo commence avec cette phrase ignoble, d'ailleurs écrite sur le dos d'un t-shirt! - pourquoi la cacher dans le titre? Le titre initial était 93 Hardcore - Roberto Fiorini a coupé un peu dans ce clip, mais il y en encore assez! Puis il a pensé à une autre titre, que je trouve un peu dépassé après les émeutes sanglantes de Villiers-le-bel. Le FN a mal mesuré la haine de ces immigrés, qui eux ne plaisentent pas! On vient de le voir...
Amitiés!
Cher Marcel: tu me fais toujours rire, c'est vrai! Oui, une grande fermeté (verbale)! Oui, c'est ça, exactement! - mais il y a une certaine saloperie dans l'air élyséen que je n'aime pas du tout...
Amitiés!
fait peur !
D'ailleurs comme le rappelait ces derniers jours un blogueur, les assassins de ce petit père assassiné il y a deux ans alors qu'il tentait d'éteindre un feu de poubelle au bas de son immeuble lors des émeutes déclenchées par Sarkozy, courent toujours.
Je faisais d'ailleurs remarquer que probablement ils ne courraient même pas.
Cher Paul-Emic, oui, il y a ce pauvre homme, assassiné lui aussi par les racailles: on ne cherche même pas le ou les meurtriers, les dégueulasses... qui n'ont pas besoin de courir, ni de se cacher... Seigneur, quelle honte, ce pays!
Amitiés