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L'Afrique noire bombe à sida

STOP AU SIDA

STOP A L'IMMIGRATION/CONTAGION

Dire "Stop au sida" et s'impliquer dans la lutte contre la pandémie qui continue à tuer plus de 5.700 personnes chaque jour: c'est le mot d'ordre de la Journée mondiale de samedi, alors que plus de 6.800 nouvelles contaminations quotidiennes sont enregistrées, selon l'Onusida. Evénement

Il n'est pas question de baisser la garde, selon l'agence de l'ONU, qui a revu ses chiffres à la baisse à la suite d'un changement dans ses méthodes de calcul.

Dans le monde, quelque 33,2 millions de personnes sont séropositives ou malades du sida, selon le dernier bilan publié en novembre par l'Onusida qui avait, un an plus tôt, estimé leur nombre à plus de 39 millions.

Le sida (syndrome immuno-déficitaire acquis), qui a tué plus de 25 millions de personnes depuis l'apparition de la maladie en 1981, continue de faire des ravages, particulièrement en Afrique subsaharienne où les femmes paient un tribut démesuré à la pandémie.

L'Afrique subsaharienne concentre les deux-tiers des nouvelles contaminations, même si leur nombre a diminué à 1,7 million contre 2,2 millions en 2001. Dans cette région où plus de 22 millions de personnes vivent avec le VIH/sida, près de 61% des adultes infectés sont des femmes.

En 2007, 2,5 millions de personnes, dont 420.000 enfants de moins de 15 ans, ont été infectées par le virus du sida (VIH) et 2,1 millions de malades - dont 330.000 de moins de 15 ans - sont morts du sida dans le monde , selon l'Onusida. L'agence de l'ONU a souligné que les nouveaux calculs, révisant les estimations à la baisse, "ne changent rien à la nécessité d'une action immédiate et de financements accrus".

"Stop sida. Tenons nos promesses": le slogan pour la journée mondiale contre le sida met plus précisément cette année l'accent sur la nécessité d'un "leadership".

"Depuis le début de l'épidémie, l'expérience démontre clairement que les avancées significatives de la réponse au VIH ont été accomplies sous les auspices d'un leadership fort et engagé", souligne la World Aids Campaign (WAC) dont le comité directeur définit les thèmes de la Journée mondiale de lutte contre le sida.

Faisant état de progrès et de signes d'espoir, l'Onusida a relevé dans son récent rapport que la prévalence de l'infection par le VIH chez les jeunes femmes enceintes a reculé dans 11 des 15 pays du monde les plus touchés. Elle a aussi fait état de "changements favorables" dans les comportements des jeunes de plusieurs pays d'Afrique (Botswana, Cameroun, Tchad, Kenya, Malawi, Togo, Zambie, Zimbabwe), signe d'une efficacité des campagnes de prévention.

La réduction depuis deux ans de la mortalité due au sida est attribuable "partiellement" aux progrès dans l'accès aux traitements antirétroviraux (ARV), souligne aussi l'Onusida.

Dans les pays "à revenu faible ou intermédiaire", le nombre de malades bénéficiant d'une trithérapie a augmenté de 54% entre fin 2005 et fin 2006, passant de 1,3 à 2,015 millions. En Afrique subsaharienne, plus de 1,3 million de malades du sida étaient sous ARV fin 2006, contre seulement 100.000 en 2003.

Malgré ces progrès, seulement 28% des malades ayant besoin d'un traitement d'urgence pour survivre y avaient accès dans les pays pauvres, selon un bilan publié en avril par l'Onusida, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef).

D'importants obstacles sont à surmonter, selon les experts, pour atteindre l'objectif mondial d'accès universel, d'ici à 2010, à la prévention, au traitement et aux soins: cela impliquerait d'assurer une trithérapie à 9,8 millions de personnes dans les pays en développement d'ici trois ans.

Il faut savoir qu'il n'existe plus aucune contrôle sanitaire aux frontières, ni dans les ports ni dans les aéroports.

Or, parmi les immigrés africains du "regroupement familial" se trouve forcément une certain nombre d'hommes, de femmes et d'enfants séropositifs qui soit ignorent qu'ils sont malades, soit le cachent.

Le sujet est tabou.  

Commentaires

  • Il est déjà étonnant que ONUSIDA puisse donner des chiffres aussi précis de morts et contaminés alors que le recensement démographique n'existe pas en Afrique.
    Il faut toujours se méfier des statistiques issues de ca machin mondialiste et de l'avis de leurs experts en chambre.
    L'action du SIDA est cruelle mais indispensable en Afrique et Asie :elle relève les taux de mortalité que des inconscients occidentaux tentent obstinément de faire décliner alors que ces imbéciles ne font rien pour limiter les taux de natalité effrayants et destructeurs de ces 2 continents.
    Tarés d'occidentaux

  • Oui, tous ces chiffres sont sujets à caution ; ce sont des extrapolations très difficiles à vérifier. Ils sont destinés à faire pleurer dans les chaumières pour inciter les gogos à donner toujours plus de fric aux mondialistes ! D’ailleurs les individus donnent de moins en moins (le « pouvoir d’achat », n’est-ce pas !) et ce sont les institutions qui donnent ou les grandes entreprises, en général d’état. Il faut se poser la question : de quel droit ces entreprises se permettent-elles de disposer ainsi de l’argent de ses actionnaires et de ses salariés, et pour les institutions ou les entreprises d’état c’est l’argent du contribuable ! Cela, c’est un autre scandale !

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