Il a grandi? Elle mesure 1m77
Dans la foulée de ses vacances très "people", Nicolas Sarközy prolonge dimanche son séjour en Egypte par une visite un peu plus officielle qui doit marquer ses premiers pas attendus de président sur la scène diplomatique du Proche-Orient.
Le chef de l'Etat français joue depuis mardi au pays des Pharaons les touristes fortunés au bras de l'ex-mannequin et chanteuse Carla Bruni, faisant fi d'une nouvelle polémique sur la générosité de son ami milliardaire Vincent Bolloré, qui lui a prêté son jet privé.
Mais, alors qu'à Louxor (sud) les photographes avaient pu prendre des clichés du couple en toute liberté, à Charm el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge, ils ont été tenus à distance.
Les forces de sécurité égyptiennes ont même tiré en l'air vendredi pour empêcher des paparazzis de s'approcher du bateau où se trouvaient M. Sarkozy et Mme Bruni au large de la station balnéaire, selon un responsable égyptien de la sécurité.
Vendredi matin, M. Sarkozy a rencontré son homologue égyptien Hosni Moubarak, évoquant notamment la situation au Pakistan après l'assassinat de Benazir Bhutto, selon l'Elysée.
Les deux chefs d'Etat se retrouveront dimanche matin au Caire pour une visite officielle et express -24 heures- de M. Sarkozy, qui sera accompagné de son ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
Pièce incontournable de l'échiquier moyen-oriental, le "raïs" égyptien, qui avait noué des liens très étroits avec les présidents François Mitterrand et Jacques Chirac, a déjà croisé par deux fois la route de leur successeur cette année, à Paris, juste avant et après son élection en mai.
Et même si, lors de ces deux rencontres, les deux dirigeants se sont promis de perpétuer "l'excellence" de la relation franco-égyptienne, Nicolas Sarkozy devrait une nouvelle fois s'employer, lors de son passage au Caire, à réaffirmer la continuité de la politique française au Moyen-Orient.
M. Sarkozy devrait ainsi proposer à Hosni Moubarak l'expertise française en matière d'énergie nucléaire civile, comme il vient de le faire aux Algériens et aux Libyens.
Paris est prêt à "collaborer avec l'Egypte dans le domaine du nucléaire à des fins civiles si l'Egypte le souhaite", a affirmé M. Sarkozy dans un entretien à paraître samedi dans le quotidien égyptien pro-gouvernemental Al-Ahram.
L'Egypte a récemment annoncé sa décision de relancer son programme nucléaire civil en se dotant de quatre centrales.
Depuis son élection, le nouveau locataire de l'Elysée est régulièrement brocardé dans la presse du Caire comme pro-américain et pro-israélien.
"J'ai souvent dit que j'étais l'ami des Etats-Unis et d'Israël, mais cela ne veut pas dire que je partage toujours leur avis", a souligné M. Sarkozy dans l'interview à Al-Ahram.
Comme l'a redit son porte-parole, le chef de l'Etat français doit aussi profiter de sa visite pour pousser les feux de son chantier d'Union méditerranéenne, dont la première pierre doit être officiellement posée à Paris l'été prochain.
Accueilli dans un premier temps avec circonspection, ce projet, qui doit rassembler tous les pays du pourtour méditerranéen, bénéficie aujourd'hui d'un soutien de principe du Caire.
Selon l'Elysée, les deux présidents devraient enfin largement afficher leurs convergences de vues sur les grands dossiers régionaux de l'heure, de la crise institutionnelle au Liban au processus de paix israélo-palestinien, en passant par la crise du Darfour et la lutte contre le terrorisme.
Outre Hosni Moubarak, Nicolas Sarkozy doit profiter de son séjour au Caire pour rencontrer d'autres "personnalités égyptiennes", avant de rentrer à Paris dans la journée du 31 décembre.
Le chef de l'Etat français joue depuis mardi au pays des Pharaons les touristes fortunés au bras de l'ex-mannequin et chanteuse Carla Bruni, faisant fi d'une nouvelle polémique sur la générosité de son ami milliardaire Vincent Bolloré, qui lui a prêté son jet privé.
Mais, alors qu'à Louxor (sud) les photographes avaient pu prendre des clichés du couple en toute liberté, à Charm el-Cheikh, sur les bords de la mer Rouge, ils ont été tenus à distance.
Les forces de sécurité égyptiennes ont même tiré en l'air vendredi pour empêcher des paparazzis de s'approcher du bateau où se trouvaient M. Sarkozy et Mme Bruni au large de la station balnéaire, selon un responsable égyptien de la sécurité.
Vendredi matin, M. Sarkozy a rencontré son homologue égyptien Hosni Moubarak, évoquant notamment la situation au Pakistan après l'assassinat de Benazir Bhutto, selon l'Elysée.
Les deux chefs d'Etat se retrouveront dimanche matin au Caire pour une visite officielle et express -24 heures- de M. Sarkozy, qui sera accompagné de son ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner.
Pièce incontournable de l'échiquier moyen-oriental, le "raïs" égyptien, qui avait noué des liens très étroits avec les présidents François Mitterrand et Jacques Chirac, a déjà croisé par deux fois la route de leur successeur cette année, à Paris, juste avant et après son élection en mai.
Et même si, lors de ces deux rencontres, les deux dirigeants se sont promis de perpétuer "l'excellence" de la relation franco-égyptienne, Nicolas Sarkozy devrait une nouvelle fois s'employer, lors de son passage au Caire, à réaffirmer la continuité de la politique française au Moyen-Orient.
M. Sarkozy devrait ainsi proposer à Hosni Moubarak l'expertise française en matière d'énergie nucléaire civile, comme il vient de le faire aux Algériens et aux Libyens.
Paris est prêt à "collaborer avec l'Egypte dans le domaine du nucléaire à des fins civiles si l'Egypte le souhaite", a affirmé M. Sarkozy dans un entretien à paraître samedi dans le quotidien égyptien pro-gouvernemental Al-Ahram.
L'Egypte a récemment annoncé sa décision de relancer son programme nucléaire civil en se dotant de quatre centrales.
Depuis son élection, le nouveau locataire de l'Elysée est régulièrement brocardé dans la presse du Caire comme pro-américain et pro-israélien.
"J'ai souvent dit que j'étais l'ami des Etats-Unis et d'Israël, mais cela ne veut pas dire que je partage toujours leur avis", a souligné M. Sarkozy dans l'interview à Al-Ahram.
Comme l'a redit son porte-parole, le chef de l'Etat français doit aussi profiter de sa visite pour pousser les feux de son chantier d'Union méditerranéenne, dont la première pierre doit être officiellement posée à Paris l'été prochain.
Accueilli dans un premier temps avec circonspection, ce projet, qui doit rassembler tous les pays du pourtour méditerranéen, bénéficie aujourd'hui d'un soutien de principe du Caire.
Selon l'Elysée, les deux présidents devraient enfin largement afficher leurs convergences de vues sur les grands dossiers régionaux de l'heure, de la crise institutionnelle au Liban au processus de paix israélo-palestinien, en passant par la crise du Darfour et la lutte contre le terrorisme.
Outre Hosni Moubarak, Nicolas Sarkozy doit profiter de son séjour au Caire pour rencontrer d'autres "personnalités égyptiennes", avant de rentrer à Paris dans la journée du 31 décembre.
Commentaires
« Il a grandi? Elle mesure 1m77 » : soit, c’est lui qui s’est fait greffé un bout d’os dans le fémur, soit, c’est elle qui s’est fait scié un bout d’os dans le fémur. Ils ont peut-être fait les deux ! A votre avis, Gaëlle, qu’ont-ils fait ?
Cher abad, vraiment, je m'interroge depuis ce matin! Je suppose qu'elle se penche et se tourne sur le côté pour diminuer la différence de taille sur la photo. Un top model doit connaître des trucs de ce genre! Mais si l'idylle dure trop longtemps, elle va devenir bossue!
Amitié!
les baskets avec talonnette ça existe ?