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Racisme anti-blancs: le calvaire de Louisa, 59 ans

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Une Française menacée de mort par des jeunes 

Savigny-le-Temple (Seine-et-Marne)

« Si tu parles, on te bute. Comment je pourrais oublier ces mots qui résonnent à mes oreilles comme des menaces. D'autant que j'ai reçu un narguilé  en plein visage et j'ai eu vingt et un jours d'ITT.

Je vis très mal l'agression dont j'ai été victime. En fait, je n'arrive pas à reprendre le dessus. J'ai peur de tout. » Louisa*, 59 ans, conseillère juridique auprès d'une association de consommateurs à Melun (Seine-et-Marne), est toujours en arrêt maladie. Cette mère de famille de trois grands enfants réside au troisième étage d'un immeuble de Savigny-le-Temple, à quelques centaines de mètres de l'endroit où Patrice Cambron, un père de famille, avait été tué en 2004 pour un vélo volé.

Le jeudi 13 décembre, vers 22 h 30, Louisa, qui vient de donner des cours de dessin à des enfants, grimpe les escaliers extérieurs de son bâtiment pour accéder à son logement. Elle habite là depuis quinze ans. Soudain, au beau milieu des marches, des jeunes sont assis. Impossible pour elle de se faufiler sans les déranger. « Laissez-moi passer s'il vous plaît. J'habite là. » Occupés à fumer de la drogue, les jeunes ne l'écoutent pas. Du haut de son 1,60 m, elle hausse alors le ton. « Je vais appeler la police si ça continue. » Louisa est copieusement insultée puis viennent les crachats. Paniquée, elle essaye d'atteindre sa porte. Un instant, elle se retourne, c'est là qu'elle reçoit en pleine tête le narguilé. « Je ne voyais plus rien et puis il y avait la douleur. Ayant entendu des cris, mon fils qui se trouvait dans l'appartement a ouvert. Tant bien que mal, je me suis engouffrée à l'intérieur, mes agresseurs sur les talons. Ils voulaient entrer. A force de donner des coups d'épaule dans la porte, la serrure a cédé. »

 La police est alertée. Entre-temps, les agresseurs disparaissent, non sans avoir proféré des menaces à l'encontre de Louisa qui est transportée à l'hôpital. « Depuis, je suis en dépression. Je connais mes agresseurs. Ils me connaissent aussi. Ils savent très bien ou j'habite. Quoi faire ? J'ai déjà déposé plainte. Malgré tout, les jeunes ne sont pas inquiétés et moi, je ne suis pas prise au sérieux. Je vis un enfer au quotidien. J'ai écrit trois lettres au maire, restées sans réponse. » Louisa, est au bout du rouleau : « Les jeunes reviennent squatter. Ils sèment la terreur gratuitement. Je ne peux plus vivre ici. Pendant deux mois, les policiers m'ont escortée pour mes déplacements. Je n'en peux plus. » Elle ajoute : « Je ne suis pas la seule. Ma voisine s'apprête à déménager. Le voisin du dessus est parti. Pourtant, on ne demande qu'à vivre tranquillement. Ma voiture, je la gare à 2 km d'ici. Mes deux précédents véhicules ont été vandalisés. »

* Le prénom a été modifié pour préserver l'anonymat du témoin. (Source Le Parisien- 29612.07)

Est-ce aux Français de quitter la France ?

Commentaires

  • Je suis sincèrement désolée pour "louisa" et pour le calvaire qu'elle subit, mais c'est la suite logique du processus dans lequel est entrée la france (avec le consentement de nos politiques) depuis 30 ans et plus.
    Ce n'est pas faute de les avoir prévenus les français : nous le leur avons dit et répetés, des centaines et des milliers de fois, et quels en ont été les échos : racisme, fascisme, antisémitisme, nazisme, xénophobie...
    Alors, désolée "louisa" mais ma reseve de compassion est épuisée, même pour éventuelement les gens de chez "nous". (qui ne doivent pas être bien nombreux au vu des derniers résultats electoraux).

  • Fallait voter FN mes cocos, maintenant degustez votre pain noir.

  • « Est-ce aux Français de quitter la France ? » : hélas , chère Gaëlle, on connaît la réponse, et ils aimeraient que l’on quitte notre pays, de préférence, les pieds devant. C’est ce que veulent aussi nos dirigeants pour qui on a voté !
    Hier soir, on a appris que, dans l’Essonne, une femme de 84 ans était morte de faim et de froid. Cette information est quand même passée malgré l’Omerta des médiats. Pendant ce temps, on ne cesse de se lamenter sur « la grande pauvreté » des pays « émergeants », comme ils disent, alors qu’on les arrose de fric, pour le plus grand bénéfice du tourisme sexuel. La pauvreté en France, ils l’ignorent et la méprisent ! Ils sont abjects.

  • D'accord avec Emmanuelle en ce qui concerne les abrutis
    qui ont voté depuis 30 ans pour le rpr,udf,ps,pc,modem ,ils ne récolteraient que ce qu'ils ont mérité, mais imaginons que louisa ait voté pour le FN!

  • je rejoindrais l'opinion générale : histoire connue et archi-connue, j'ai habité Sevran dans les années 73-75 j'ai vu les HLM pousser et les enfants du couple infernal Giscard-Chirac arriver et les occuper, les Français puis les Portugais puis les autres se carapater et pas qu'à cause des odeurs, mais à l'époque on en parlait moins.

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