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Une carpette... mais anglaise

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C'est parce qu'elle a tendance à s'adresser dans la langue de Shakespeare à ses collaborateurs, que Christine Lagarde s'est vue décerner le prix 2007 de la «carpette anglaise».

Pour sa défense, la ministre de l'Economie était, il y a peu encore, à la tête du cabinet d’avocats international Baker & McKenzie, à Chicago.

Peut-être l’«Académie de la carpette anglaise», qui compte dans ses rangs les écrivains Claude Duneton, Yves Frémion et Dominique Noguez, et le député européen Paul-Marie Couteaux, aurait-elle pu faire preuve d'indulgence ?

Décernée à «un membre des élites françaises» qui privilégie l'anglais au détriment de la langue de Molière, la récompense avait été attribuée l'année précédente au Conseil constitutionnel pour «ses nombreux manquements à l’article 2 de la Constitution qui dispose que “la langue de la République est le français”».
Christine Lagarde (dont on n'a jamais vu le mari) est née Lallouette, le 1er janvier 1956 à Paris (IXème)

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