AFP. La piste explorée à Brie-Comte-Robert par les policiers enquêtant sur la disparition d'Estelle Mouzin, s'est dégonflée vendredi, après avoir laissé entrevoir pour la première fois depuis longtemps la possibilité d'une avancée significative, et mobilisé d'importants moyens judiciaires.
Jeudi et vendredi, sur la foi de renseignements communiqués par un journaliste indépendant, Mohamed Sifaoui, les policiers de la Direction régionale de la police judiciaire de Versailles (Yvelines) ont conduit des fouilles dans un restaurant asiatique, le "Royal Wok", à la recherche d'éventuelles traces d'un cadavre qui y aurait été retrouvé et enlevé en juillet 2007.
Trois fragments d'os, trouvés jeudi soir, ont fait l'objet vendredi matin d'une expertise médicolégale qui a démontré qu'il s'agissait de restes d'origine animale.
Vers 13H00 vendredi, des ouvriers ont remonté sur un camion les pelleteuses ayant servi à creuser le sol du restaurant. Les fouilles se sont achevées peu après.
Dix personnes dont les entrepreneurs, les employés et le responsable du restaurant, avaient été placées jeudi en garde à vue. Vendredi matin, six ont été relâchées "car il n'y a rien à leur reprocher", selon la police. Trois autres devaient l'être dans l'après-midi.
Il semble que les renseignements qui ont conduit les enquêteurs à mener perquisition et interpellations se soient révélés inexactes.
"Ceux qui ont donné ces renseignements se sont pris à leur propre jeu: ce sont des affabulateurs", a affirmé la source policière, ajoutant: "Il y a ceux qui ont vu les ossements qui l'ont raconté à d'autres qui ont déformé la réalité".
Des poursuites pénales pour dénonciation de délits imaginaires pourraient être engagées, selon une source proche du dossier.
Mohamed Sifaoui, joint par l'AFP, a expliqué avoir transmis en début d'année à la Police judiciaire la cassette d'une interview. L'homme interviewé y racontait, selon M. Sifaoui, avoir appris qu'un corps avait été retrouvé au "Royal Wok", lors de travaux réalisés à l'été 2007.
La PJ de Versailles n'a pu être jointe pour infirmer ou confirmer ces informations.
L'opération devrait en tout cas coûter cher à la justice. "La justice paie la démolition. Il va falloir payer le propriétaire pour la construction", a souligné une source proche du dossier.
Après avoir démonté le décor du restaurant, des ouvriers ont vidé un bassin rempli d'eau, et en ont défoncé la dalle de béton à l'aide de deux pelleteuses.
Le moins surpris de cette déconvenue était peut-être le père d'Estelle, Eric Mouzin: "Je m'interdis de me laisser aller. Je suis peut-être moins déçu que ce qu'on peut le penser", a-t-il déclaré après qu'un policier eut évoqué une "fausse piste".
Le procureur de la République de Meaux, René Pech, devrait s'exprimer dans la soirée.
Estelle Mouzin, 9 ans, a disparu il y a 5 ans, le 9 janvier 2003, sur le chemin entre l'école et son domicile, à Guermantes, à 25km de Brie-Comte-Robert.
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S'il ne s'est pas emballé, Eric Mouzin, qui est persuadé que sa fille n'est plus en vie, n'a pas pour autant abandonné le souhait "que l'on trouve" son ravisseur. "Que la personne qui a fait ça puisse être jugée. La personne qui a enlevé Estelle est encore dans la nature. Il n'y a pas de raison qu'elle ne recommence pas demain matin. A ce titre-là je pense qu'il y a une obligation de la mettre hors d'état de nuire".
Quant au journaliste à l'origine du renseignement qui a déclenché ces nouvelles investigations, il explique avoir simplement transmis "une information brute", à charge pour les enquêteurs de la vérifier. Mohamed Sifaoui, journaliste indépendant, affirme avoir recueilli, dans le cadre d'une enquête sur le milieu asiatique pour l'émission de TF1 Le droit de savoir, un témoignage "troublant". Selon lui, un homme d'affaires cambodgien qui a déjà eu maille à partir avec la justice, lui aurait raconté "qu'il avait l'intention de faire chanter le patron d'un restaurant asiatique car un ouvrier ayant travaillé pour lui a expliqué à cet homme d'affaires avoir découvert, lors de travaux en juillet, le corps d'une petite fille dans les murs de l'établissement". Aujourd'hui, le journaliste explique : "J'ai décidé moi-même de ne pas médiatiser ces informations pas recoupables". En revanche, sur les conseils du procureur général de Paris, Laurent Le Mesle, il a contacté la police judiciaire.
(Source: LCI.fr 01.02.08)
Commentaires
N'y aurait-il pas du Fourniret là-dessous?
@marcel: c'est bien possible... On connaît la perversité de cet être... Mais les policiers n'y penseront jamais...
Objet : Cadavre Brie Comte Robert
Boîte à Pandore N° 41 : Echec et Mat.
Le cadavre de Brie Comte Robert
Le corps d’ Estelle Mouzin aurait (plutôt avait) été retrouvé fin 2006 : voir Boîte à Pandore N° 2 sur www.editionsliberte.com... Je sais à présent que la fuite était de source policière.
En réalité : ‘ cadavre sorti des placards’
Il leur fallait impérativement bidouiller un fait divers pour que le cadavre de cet enfant soit découvert : (Il y a longtemps que j’attendais cela.)
Ceci afin de pouvoir contredire définitivement mon appel téléphonique du 09 janvier 2004 à Guermantes … : (preuves chez huissier). 09 Janvier 2004 : Jour où je retrouve et parle au téléphone dans ce village de Guermantes, à mon ancien voisin portugais contre qui j’avais déjà déposé au SRPJ Toulouse en 1997 pour la disparition de la petite Marion à Agen. (L’enfoiré d’inspecteur du SRPJ Toulouse qui, sur rendez-vous, m’avait pris la déposition sur un brouillon et ne m’avait rien fait signer, devait tremper dans les soirées des notables toulousains.) Quant au SRPJ Versailles ‘ Cellule Estelle’, au Parquet de Meaux et au juge d’instruction d’Estelle Mouzin, malgré moult LR/AR, fax, etc… en quatre ans : je ne les ai jamais vu !
Mi 2007 : travaux au Royal Wok, restaurant chinois de Brie Comte Robert (77)
Y a du être très certainement déposé (quand ?) le corps de cet enfant* … ? * (Note personnelle : Prudence ils sont tellement vicieux qu’il se peut qu’il y ait embrouille dans l’embrouille)
Le hic : c’est que les chinois, en situation pas très régulière qui trouvent ce corps (cheveux long et bout de vêtement rouge), le jette dans une benne et n’en parlent pas…
Donc : ‘gros problème’ pour ceux qui ont monté l’embrouille…Il devrait bien rester sur zone tout de même quelques fragments d’ossements…
Comment pouvoir faire éclater cette affaire ?
C’est à partir de la que les choses vont légèrement se compliquer et que peut-être l’un des protagonistes à venir a été plus ou moins téléguidé. (A vous de deviner qui ?)
Rentrent en scène : Le patron du restaurant (et sa horde de clandestins).Suite à une fuite cela arrive aux oreilles de l’exotique Alexandre Lebrun, qui comme son nom ne l’indique pas est cambodgien. (vous découvrirez ce sulfureux personnage sur les vidéos qui lui sont consacrées sur internet.) Alexandre Lebrun, comme de bien entendu ayant un sens aigu des affaires, voulait en profiter pour faire chanter ce patron de restaurant pour dissimulation de cadavre en lui demandant au passage 300.000 € pour acheter son silence. Puis au cours d’un reportage sur la ‘mafia chinoise’ au profit de l’émission ‘ Droit de savoir’ de TF1 Alexandre Lebrun (sous caméras cachées, donc à son insu) raconte, entre autre, tout sur la découverte de ce cadavre au journaliste indépendant d’investigation Mohamed Sifaoui . Interrogation sur ce qu’aurait pu éventuellement être le rôle de Roman WU, fondateur et rédacteur du journal gratuit ’Le canard laqué’ et plus ou moins instigateur de ce projet de reportage fin 2006 et du contact Lebrun/Sifaoui ?
Le droit de savoir et TF1 censurent la partie ‘Estelle’(?). Mohamed Sifaoui, sur conseil avisé du procureur Général de Paris Laurent Le Mesle (qui, peut-être atteint d’amnésie foudroyante nie cela) passe, ce qui est normal, la patate chaude au SRPJ Versailles … Personnellement j’appellerai cela : un retour à l’envoyeur. Nous sommes en novembre…décembre 2007.
Le 09 janvier 2008, jour du 5° anniversaire de la disparition de la petite Estelle, Monsieur Jean Espitalier Directeur régional du SRPJ nous annonce devant les caméras de télévisions une nouvelle piste. Le 30 janvier 2008 le SRPJ Versailles nous débloque la grosse artillerie avec fanfare, mais…. faute de majorettes, débarque avec pelle mécanique dans ce restaurant chinois.
Effectivement on y trouve quelques fragments d’os… (Devinez la suite…)
Seulement, entre temps, il y a eu un deuxième ‘Hic’ auxquels ils ne s’attendaient pas et il était de taille ! :
Venait de sortir le 12 janvier 2008 sur www.editionsliberte.com le Boîte à Pandore’ N° 40 concernant les magouilles des cadavres de Cap Canaille et dénonçant en LR/AR au juge d’instruction marseillais Laetitia Ugolini ainsi qu’au Président de la Cour d’Assises de Draguignan les méthodes employées par ‘la chose’ pour transformer certains cas d’enlèvements de ce scandaleux trafic commandité d’êtres humains* en banal fait divers. *(voir ‘Lettre ouverte aux familles …’ sur le même site.)
Bien entendu, immédiatement par e-mails et courriers, diffusion à grande échelle : (Politiques, Procureurs, Avocats Généraux, Juges, Substituts, médias et bien entendu tout le ‘fan-club…’). En ce qui concerne Brie Comte Robert, Monsieur Mohamed Sifaoui a été averti par mes soins le 05 février 2008.
Ceux qui tirent les ficelles pouvaient-ils prendre le risque d’un nouveau camouflet et de se ridiculiser une énième fois ?... M’est avis que ‘certains’ on fait ce qu’il faut pour faire stopper et étouffer la fin de ces investigations.
Ces affaires commencent à me courir sur le haricot : Il faudrait peut-être demander à Monsieur Nicolas Sarkozy : Qui était ministre de l’intérieur le 09 janvier 2004 ? Qui a mis ce jour là, police gendarmerie et magistrature française au ‘garde à vous’ ? Et sur ordre de qui ?
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