Dans un entretien à paraître dans l'Express jeudi 21 février, le ministre du Travail, Xavier Bertrand, annonce qu'il est franc-maçon (sans dire son grade) depuis 1995 à la Loge du Grand Orient, généralement classée à gauche.
Il explique que le choix de cette loge n'est pas dû "au hasard: je viens de la droite et ma logique d'ouverture aux autres et à leurs idées m'a porté vers le Grand Orient". "J'étais alors au RPR, on ne pourra pas dire que j'ai fait ce choix pour faciliter mon ascension politique", souligne-t-il.
"Un espace de liberté de parole"
Toutefois, il explique s'être "mis en retrait" depuis son entrée au gouvernement en 2004. “Attiré par le travail sur soi et sur les idées des autres“, il avoue n'avoir participé à aucune réunion depuis 2004, même si cette année là, il est “intervenu deux fois en tant que conférencier“. La franc-maçonnerie lui a apporté, dit-il, "un espace de grande liberté de parole, de plus grand respect où l'on donne davantage de sens aux choses".
Interrogé sur la raison de la publication de cette information, il explique que, selon lui, "un ministre ne doit pas mentir. Sinon, son action publique perd toute crédibilité“. De plus, l'idée n'est pas de lui: “certains l'ont fait pour moi“. Enfin, il assure n'avoir jamais révélé au président de la République son appartenance à la franc-maçonnerie.
Il explique que le choix de cette loge n'est pas dû "au hasard: je viens de la droite et ma logique d'ouverture aux autres et à leurs idées m'a porté vers le Grand Orient". "J'étais alors au RPR, on ne pourra pas dire que j'ai fait ce choix pour faciliter mon ascension politique", souligne-t-il.
"Un espace de liberté de parole"
Toutefois, il explique s'être "mis en retrait" depuis son entrée au gouvernement en 2004. “Attiré par le travail sur soi et sur les idées des autres“, il avoue n'avoir participé à aucune réunion depuis 2004, même si cette année là, il est “intervenu deux fois en tant que conférencier“. La franc-maçonnerie lui a apporté, dit-il, "un espace de grande liberté de parole, de plus grand respect où l'on donne davantage de sens aux choses".
Interrogé sur la raison de la publication de cette information, il explique que, selon lui, "un ministre ne doit pas mentir. Sinon, son action publique perd toute crédibilité“. De plus, l'idée n'est pas de lui: “certains l'ont fait pour moi“. Enfin, il assure n'avoir jamais révélé au président de la République son appartenance à la franc-maçonnerie.
Il n'est pas le seul à être à faire partie des "frères"... Darcos en est un autre... On sait que les FM doivent se porter secours, s'entraider au moins, c'est-à-dire se rendre des services mutuels, quelle que soit leur appartenance politique.
(Le Parisien 20.02.08)
Commentaires
Dans la longue et terrible nuit maçonnique,les deux piliers sont : l'avortement et l'euthanasie.
Très juste, JLA. On peut ajouter le troisième pilier, ou sommet du triangle : la haine des chrétiens.