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Educatrices!

Une éducatrice âgée de 48 ans d'un centre de la fondation des Orphelins d'Auteuil, situé dans l'Oise, a porté plainte contre une de ses supérieures, également âgée de 48 ans, pour agressions sexuelles et harcèlement moral et sexuel.

Les faits, qui ont été relatés par RTL, se sont déroulés dans le centre de Cempuis, à environ 30 km de Beauvais, où sont accueillis 20 jeunes.

L'affaire ne concerne aucun de ces jeunes mais deux des soixante employés du site. Selon son avocate, Me Karine Martin-Staudohar, la plaignante, une mère de trois enfants vivant en concubinage, reprocherait notamment à sa chef de service, qui vit seule chez sa mère, de «la suivre partout», d'être «toujours derrière elle» et d'avoir eu recours au «chantage à l'emploi» pour obtenir des relations sexuelles.


Les faits les plus graves (lesquels?) se seraient déroulés en novembre et décembre 2006 et auraient notamment poussé l'éducatrice à se faire hospitaliser pendant une semaine en hôpital psychiatrique, selon son avocate.

Jointe par l'AFP, la direction du centre a confirmé avoir eu l'information d'un dépôt de plainte récent et a souligné avoir muté les deux femmes dans des établissements différents de l'Oise dès le mois de février. Il fallait les renvoyer immédiatement!

Des éducatrices! Mais quelle "éducation" peuvent-elles bien donner aux enfants? Pauvres "Orphelins d'Auteuil, si le Bienheureux Père Brottier voyait ce que l'oeuvre de sa vie est devenue!

Commentaires

  • Oui Gaëlle, curieuses éducatrices et on espère qu’aucun des enfants n’ait pâti des malsaines relations de ces éducatrices. Il est incroyable qu’on nomme responsable d’éducation d’enfants de pareilles femmes. Il faut s’en séparer, ou au moins la responsable (il se peut que la subordonnée soit vraiment victime des agissements de sa supérieure).

  • @abad: j'ai entendu parler la subordonnée sur RTL l'autre matin: elle ne me paraissait pas tellement sincère, mais plutôt voulant se rendre intéressante. C'est une histoire incroyable, mais ce genre de choses existe dans les prisons pour femmes! (comme chez les hommes). Je n'aime pas les lesbiennes.
    Il y en avait plein à mon lycée, pas laides d'aillleurs, ni forcément hommasses: mais que d'intrigues malsaines! On disait de mon prof d'Histoire (d'aileurs royaliste!) qu'elle avait fait suicider une jeune prof et qu'elle avait donc été mutée à Marseille. Mais son aspect était franchement transexuel. Elle a séduit une des mes camlarades, déjà lesbienne d'esprit à 14 ans! Quand elle m'a avoué ses tendances, si jeune, j'ai été surprise! Elle savait que je n'en étais pas, et nous avons fini pour nous fâcher. Elle était très jolie et féminine, mais les garçons la dégoûtaient, tout simplement, alors que sa soeur était une "coureuse", comme dit dans le Midi! - Ses parents étaient en plein déni, ils disait bêtement qu'elle était "sportive"! Une famille très unie, très banale... Difficile à comprendre. Il a fallu qu'elle me raconte sa "relation" - après le bac- avec la prof: elle était déçue par son "égoïsme"... Bref, elle a trouvé vite une autre "amie", celle-là franchement affreuse, grosse, vulgaire... reçue par les parents!
    C'était un nid de lesbiennes, ce lycée! mais je crois pas qu'on ne devient pas lesbienne, on l'est dès le départ, on n'est pas "pervertie" par une sapphique... Aussi je ne crois guère la subordonnée: elle s'est laissée violer? Tout est possible comme dit le Nabot!

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