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Dominique Strauss-Kahn, le parfait mondialiste

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Dans un cortège socialiste
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DSK est né le 26 avril 1949 à Neuilly-sur-Seine

Issu d'une famille juive ashkénaze, il passe son enfance au Maroc mais doit quitter le pays à la suite du tremblement de terre d'Agadir.

 Il étudie alors à HEC et à l'Institut d'études politiques de Paris. Il est licencié en droit public, docteur en sciences économiques et professeur agrégé de sciences économiques. Il devient professeur d'économie à l'Université de Nancy 2 (1977-1980) puis à l'université de Nanterre (à partir de 1981) et à l'École nationale d'administration. Après un passage comme professeur à HEC, il a aussi enseigné la microéconomie et la macroéconomie à Institut d'études politiques de Paris.

En 1971, il travaille au Centre de recherche sur l’épargne, où il se lie d’amitié avec Denis Kessler (futur vice-président du MEDEF et à l'époque membre de l'extrême gauche). Ce dernier devient son assistant à Nanterre et ils écrivent ensemble, en 1982, L’épargne et la retraite.

 

A l'image de sa pensée très favorable à la mondialisation, Dominique Strauss-Kahn voit en l'Europe une chance, et non un handicap. Elle doit permettre de défendre les Européens et donc les Français. Il s'est prononcé en faveur du « oui » au traité établissant une constitution pour l'UE. Toutefois, il a tenu compte du choix des Français et entend leur proposer de nouvelles solutions.

Dominique Strauss-Kahn estime que le pacte de stabilité doit être réformé afin de limiter les politiques budgétaires contracycliques. Le mandat de la Banque centrale européenne doit être élargi pour mieux prendre en compte les objectifs de croissance et d'emploi. Il s'agit de mettre en place un mélange de politiques (policy mix) budgétaire et monétaire plus efficace. Il souhaite l'augmentation du budget européen, pour conduire une véritable politique industrielle européenne et financer l'innovation. les règles communautaires en matière de concurrence devraient être repensées.

Il pense par ailleurs que l’Europe doit aller jusqu’à inclure l’ensemble du bassin méditerranéen, notamment la Turquie, le Maghreb et Israël. C'est en facilitant le développement du bassin méditerranéen qu'il sera notamment possible d'apporter des solutions aux problèmes liés à l'immigration...

Commentaires

  • Chère Gaëlle merci de nous informer sur tous ces gens là : DSK, Copé, Sarko, La première Dame pipi, la mère maquerelle, etc…Mais je dois vous faire un aveu : après avoir lu tous ces CV, j’en suis à regretter notre chère Nullitude ! Heureusement elle semblé décidée à nous revenir : un très divertissant combat de dames en perspective au PS !

  • Ils sont beaux tous et toutes mais .... hélas très intéressés.
    Heureusement, ils m'indiffèrent. Usés par les jeux de pouvoirs et d'affaires, l'avenir n'est pas là.

  • Cher abad, je vais vous faire un aveu, je n'ai pas voté pour elle, mais j'en viens parfois à la regretter avec son tailleur BLANC!
    Elle va finir par passer pour une "identitaire"! Par comparaison!

    Amitiés!

  • Il pense par ailleurs que l’Europe doit aller jusqu’à inclure l’ensemble du bassin méditerranéen, notamment la Turquie, le Maghreb et Israël. C'est en facilitant le développement du bassin méditerranéen qu'il sera notamment possible d'apporter des solutions aux problèmes liés à l'immigration...

    DSK est un radoteur mais il y a une autre méthode:

    ces pays ne s'en sortiront ou du moins n'atténueront leurs souffrances qu'en initiant sans retard des programmes draconiens de maîtrise et contrôle démographiques couplés au développement de l'éducation/enseignement pour les femmes.
    Hors cela,point de salut!

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