C'est un bruit de "couloirs" du quotidien Aujourd'hui en France qui ne me laisse pas indifférent. Une brève intitulée "Les cabanes du président".
Où l'on apprend que Nicolas Sarközy raconte ces temps-ci, une anecdote qui illustre "à la perfection, la nécessité de favoriser la concurrence dans le commerce."
(Surtout ne pas oublier que la semaine prochaine, l'Assemblée Nationale entame l'examen de la loi de modernisation de l'économie.)
Donc, le chef de l'Etat raconte qu'il souhaite acheter pour ses enfants deux cabanes de jardin.
Et qu'il en a trouvé une dans une grande surface pour 309 €.
Mais, manque de pot, le supermarché n'en avait qu'une.
Alors, "notre" président s'est tourné vers un autre magasin.
Et là, stupeur du président: "la même cabane, exactement la même" coûtait 325 €.
Vous avez compris le message de Nicolas Sarközy.
Pour votre pouvoir d'achat, faites jouer la concurrence!
Où l'on apprend que Nicolas Sarközy raconte ces temps-ci, une anecdote qui illustre "à la perfection, la nécessité de favoriser la concurrence dans le commerce."
(Surtout ne pas oublier que la semaine prochaine, l'Assemblée Nationale entame l'examen de la loi de modernisation de l'économie.)
Donc, le chef de l'Etat raconte qu'il souhaite acheter pour ses enfants deux cabanes de jardin.
Et qu'il en a trouvé une dans une grande surface pour 309 €.
Mais, manque de pot, le supermarché n'en avait qu'une.
Alors, "notre" président s'est tourné vers un autre magasin.
Et là, stupeur du président: "la même cabane, exactement la même" coûtait 325 €.
Vous avez compris le message de Nicolas Sarközy.
Pour votre pouvoir d'achat, faites jouer la concurrence!
Dites, j'y pense, vous y croyez vraiment vous à cette hisoire?
Vous imaginez Nicolas Sarközy dans un hypermarché, le samedi après-midi, allant acheter sa cabane de jardin pour les mouflets, avec son caddie...
Puis la charger dans sa voiture, aidé par Carla.
Et hop, en passant, il fait le plein de gasoil, parce que c'est quand même moins cher.
Puis, il va en face, chez Jardiland pour acheter l'autre cabane.
Et là, le président de s'offusquer:
"Non, c'est pas croyable!
"Tu te rends compte, Carlita!
"Cette cabane, elle va nous coûter 16 euros de plus que l'autre!
"Les bras m'en tombent..."
Et puis vous ne trouvez pas bizarre, que personne ne se soit trouvé dans cette grande surface ou dans l'autre magasin, avec un téléphone portable pour immortaliser la scène.
Carla et Nicolas accompagnés des deux enfants en train de choisir les cabanes de jardin et de discuter du prix avec un vendeur...
Parce que là, franchement, si quelqu'un possède une photo, il faut vite l'envoyer au Post. On va faire un malheur !
(Source: Le Parisien - Aujourd'hui en France)
LePost - 23 mai 2008
Commentaires
pourtant ce ne sont pas les résidences présidentielles inutilisées qui manquent !
Mais, chère Gaëlle, ce qu’il voulait, c’était s’acheter une cabane au Canada, pour sa seconde mouquère !
Comment trouver un coin de paradis dans un supermarché ? Faut demander au gnome de L'Élysée qui connait mieux que quiconque ce type de surface, moins bien entretenue qu'un pont de yatch ou de suite de palace.
Ce texte est une véritable révélation pour moi. Je viens de découvrir que ce "président" est un vrai "homme du peuple" qui frime avec sa Rolleix achetée au marché de la porte de Saint-Ouen.
Que va dire sa compagne en découvrant la supercherie ... à moins qu'elle ne le sache déjà, ce qui exalterait son amour.
Cher christian, cette histoire n'est peut-être pas vraie, on la donne sous toutes réserves, mais elle est si malicieuse que je n'ai pas résisté à la placer sur le blog! Si c'est une "rumeur", c'est vraiment bien trouvé!
Amitiés!
il pique bien les stylos lors de la signature de traités
http://www.dailymotion.com/video/x4b1h8_sarkozy-et-le-stylo_news
@Paul-Emic: sur une vidéo, on voit Angela Merkel lui offrir un stylo dans un paquet-cadeau bleu roi: est-ce de ce stylo dont tu parles?
Piquer un stylo est moins grave que ce qu'on signe avec!
Mais de toute manière il se croit tout permis!
non non clique sur le lien