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Carla n'a pas connu de crétins auparavant...

Carla se confie.....gif
Un peu tristounet, malgré tout?
 Elle n'a pas beaucoup parlé depuis son mariage, hormis un entretien accordé à « l'Express » en février. Plutôt discrète dans son rôle de "première dame", un peu en retrait même dans le sillage de son mari lors de ses voyages officiels, Carla Bruni-Sarközy se livre longuement dans un ouvrage à paraître jeudi aux Editions du Moment et dont « le Parisien - Aujourd'hui en France » s'est procuré un exemplaire.

Elle confirme que sa première rencontre avec le chef de l'Etat a eu lieu lors d'un dîner chez le publicitaire Jacques Séguéla en novembre 2007.
« En arrivant, j'ai compris que c'était un blind date (NDLR : un rendez-vous arrangé). Il y avait trois couples et nous deux, deux célibataires. Cela a été immédiat. Je ne m'attendais pas à quelqu'un de si drôle, de si vivant. Son physique, son charme, son intelligence m'ont séduite. Il a cinq ou six cerveaux remarquablement irrigués. Je n'ai pas connu de crétins auparavant, ce n'est pas mon genre. Mais lui, ça va très, très vite. »

Depuis, la "première dame" est toujours en admiration : « C'est inimaginable ce qu'il travaille. Il est comme nous tous, un peu comme Sisyphe, il aime porter la pierre. Mais il est de bonne composition. Trois rayons de soleil et il trouve la vie magnifique. »

Quel rôle jouera-t-elle dans le futur ? « Aujourd'hui j'y vois un peu plus clair, répond Carla. J'ai deux priorités : agir globalement sur la pauvreté dans le monde et lutter contre l'ignorance. » Pas question pour autant de mettre un terme à sa carrière artistique : « Je n'ai aucune intention de changer de métier. J'ai une fonction (NDLR : première dame), mais ce n'est pas un métier. Je ne suis qu'une chanteuse folk. Je raconte des petites histoires qui sont les mêmes que les vôtres. Il n'y a rien de subversif. Ce qui va changer, c'est que je ne vais pas faire de scène. Le temps que mon mari reste président de la République. Je suis consciente que c'est une première. Il va falloir s'y habituer. Comme à d'autres choses d'ailleurs. » Mais, là, Carla Bruni -Sarkozy ne précise pas quoi.

Commentaires

  • Pauvre Carlita, première dame pipi. Vous vous rendez compte : elle a épousé le premier crétin qu’elle a rencontré et maintenant en lutant contre l’ignorance elle doit luter contre elle même !
    On lui souhaite tout de même : bon courage !

  • Cher abad, comme premier titre, j'avais pensé à "Mieux vaut en rire!" ... mais les crétins...!
    Je crois q'elle s'ennuie ferme, et qu'elle n'est pas très intelligente: juste à sa mesure... Mais d'une femme qui s'ennuie et "qui veut lutter contre l'ignorance", il devrait se méfier!

  • Les charmes du premier homme de France ne m'avaient pas autant crevé les yeux, mais je ne suis qu'un homme après tout. Les ambitions de Carla sont amusantes, en effet. On lui signalera aussi que Sisyphe faisait rouler la pierre en haut de la colline et qu'il n'aimait pas du tout ça si ma maîtresse de CP m'a dit la vérité. Et c'était un brigand réputé pour ses tours pendables.
    Je comprends qu'il trouve la vie magnifique, mais certainement pas à cause des trois rayons de soleil que sort de son chapeau le mannequin-guitariste multi-millionnaire.
    Tu as raison Gaëlle, et ça m'avait échappé, je crois que Carla pousse sa propre pierre sur sa petite colline. Pianissimo tout de même. Ah, ces plans-médias qui foirent selon la loi de Murphy...

  • Oui, voyageur, vous avez raison d’avoir relevé le contre sens qu’a fait la première Dame pipi à propos de Sisyphe ! Cela prouve non seulement son ignorance mais sa bêtise. Une parfaite idiote qui a rencontré son crétin !

  • oui, elle se croit cultivée, mais elle emploie des mots dont elle ne connaît que très mal le sens, ou bien est-ce de l'ironie à propos de Sisyphe? On ne sait jamais... - mais je pense qu'elle a fait certainement un contre-sens, et au sujet de Sisyphe, elle n'a pas l'excuse d'être italienne, de mal connaître les nuances du français. Qu'elle cesse de jacter!
    Dans un sens , en effet, ils sont faits l'un pour l'autre: no culture! (mais beaucoup de prétention!)

  • Chère Gaëlle, vous êtes bien gentille de qualifier son contre-sens de ‘très léger’. En fait elle dit qu’il aime porter la pierre, comme Sisyphe. Or pour Sisyphe c’était un châtiment, un supplice dont il souffrait beaucoup. Le contre sens n’est pas mince ! A moins qu’il ne soit sado-maso, en plus d’être crétin ! Pourquoi pas, après tout ?
    Je crois que le fameux dicton s’applique parfaitement à notre première Dame pipi : la culture, c’est comme la confiture : moins on en a, plus on l’étale !

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