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Un enfant de 5 ans seul dans le Jardin du Luxembourg

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Le jardin du Luxembourg
© TARO NAKAJIMA/amanaimages/Corbis/TARO NAKAJIMA

Hier, vers 13 heures, le gardien du jardin du Luxembourg, situé en plein coeur de Paris, découvre un enfant de 5 ans tout seul. Mathieu répond aux questions: son père l'a laissé là pour la journée, avec pour tout bagage une trottinette et un portable pour appeler en cas d'urgence. Le père lui a dit de se tenir sage jusqu'à la fin de sa journée de travail. Et ce n'était pas la première fois que son père, un chauffeur livreur de 37 ans, faisait ça pour "travailler tranquillement", selon RTL, qui révèle l'histoire.

Le jeune garçon a été confié à la brigade de protection des mineurs. Le père s'y est rendu ensuite, à l'issue de sa journée de travail. Il a été placé en garde à vue pour "mise en péril de mineur". Les deux parents sont divorcés, mais l'homme assure pouvoir passer du temps avec son fils pendant la période des vacances. C'est terminé: Mathieu a été rendu à sa mère.

(Source: RTL)

Commentaires

  • Et qu'en est-t-il de cet enfant trouvé à Marseille et que personne ne réclame ,depuis le 5 août ? La brigade des mineurs lance un "appel" ...

  • Décidément beaucoup de parents n’ont aucune conscience de parents : ils considèrent leurs enfants comme des meubles. Cet enfant a été rendu à sa mère. Tant mieux, mais a-t-on vérifié ses droits : il me semble que cette décision a été bien rapide.

  • Il fut un temps pas si lointain où la voisine aurait dit à ce monsieur, ne vous en faites pas, vous me le laissez votre gamin. Il va jouer avec les miens ! Entre voisin il faut bien s'aider.
    Aujourd'hui c'est chacun sa merde ! L'entraide on ne connait plus. et les assurances ne sont pas innocentes dans l'affaire réflechissez . La voisine par gentillesse garde le gamin, dans la journée il descend avec ses enfants dans la cour devant l'immeuble. Il monte sur un tout petit muret et tombe se blesse. eh bien la sécurité sociale, la mutuelle vont retomber à bras raccourci sur la brave voisine. qui avait confié un enfant qui n'était pas le sien à ses enfants qui vu leur âge n'avait pas le Bafa. Donc c'est elle la fautive, elle doit payer. et ceci même si le père trouve que ce n'est pas du tout de la faute de sa voisine.

  • Très finement perçu Mélanie. Tout est là : la toile d'araignée dans laquelle nous nous sommes laissés engluer en une génération, la disparition des solidarités humaines naturelles en même temps que la promotion des "libertés individuelles", autre nom pour l'irresponsabilité encouragée. Un monde de nombres et de chiffres, de retour sur investissements et d'échanges commerciaux, une égalité de petits pois dans une boîte, une para-religion de fer aux dogmes inscutables coiffant le tout. Pour les siècles des siècles... mais la messe n'est pas encore tout à fait dite.

  • @Mélanie et Voyageur : je partage entièrement vos avis.
    Tout à fait, la messe n'est pas encore dite.

  • nous sommes tout de même mûrs pour une prise en main de l'enfant par l'État dès son plus jeune âge et même avant.
    Il y a parait-il une loi qui impose désormais en plus des visites médicales obligatoires, une ou des visites sociales prénatales pour juger de la capacité des parents à assumer la venue de l'enfant (je dis parait-il non pas que je doute de son existence mais parce que je ne l'ai pas lue personnellement).

    Au vu des histoires de cet été on pourrait penser qu'on prépare l'opinion à une espèce de permis d'accoucher.
    Permis de naître , puis à court terme viendra le permis de mourir, tout cela par agents de l'État interposés.

    Franchement je suis le premier à condamner ces parents indignes, mais des parents indignes il y en a toujours eu et je me demande vraiment ce qu'on nous prépare.

  • @Paul-Emic : Intéressante réflexion, car souvent quand "on" nous envahit le mental avec une propagande (répétition de nouvelles qui affectent) c'est qu'il y a une raison et qu'il s'agit d'une préparation à faire accepter un décret ou une loi liberticide.

  • D’accord avec Paul-Emic et Philippe : ces faits divers dont on nous rabat les oreilles, sont volontairement amplifiés pour nous préparer à accepter de nouvelles lois liberticides.

  • En effet, Paul-Emic, je lis depuis assez longtemps des articles qui prédisent la réalisation de ce rêve de l'état totalitaire. En voyant certains parents, j'avais moi-même préconisé ce genre de permis de faire des enfants, seulement voilà : j'avais encore la naïveté de croire que l'état était là pour défendre le bien commun.

  • Je partage entièrement vos inquiétudes. Etant de nature spectique l'idée parfois m'éfleure que des situations pourrait même être créé pour amener certaines décisions.
    Mais il est vrai qu'en faisant beaucoup de battages ça sur un cas cela suffit.
    J'ai eu un de mes enfants qui était gros, mais pas obèse pour autant.
    Bizarement dans la famille de mon mari les enfants étaient gros jusque la puberté cela faisait des générations qu'il en était ainsi. Puis ils devenaient filiformes. J'ai eu beaucoup d'ennuis à l'école parce que je ne faisais pas suivre à notre fils un régime sévére. L'on m'a même menacé de me le retirer et de le confier à la dass si ne je prenais pas immédiatement un rendez vous avec un nutrisioniste. C'était il y a quinze ans. J'ai pris le rendez vous, je ne l'ai pas fait suivre le régime sévére recommandé. A chaque interrogatoire de la nutrisioniste nous mentions, et..... mon fils est filiforme. Je pense que la société a avancé depuis. Alors pourquoi pas un permis pour éléver des enfants.

  • Chère Mélanie, vous avez raison, hélas ! L’ingérence de « l’état » dans les affaires de famille et dans la conduite de chacun s’est considérablement accentuée depuis quelques années sous les prétextes les plus divers, mais le plus fréquemment invoqué étant la «sécurité» (sic !). Cela va depuis «l’éducation» collectiviste des enfants jusqu’à la dénonciation des parents par leurs propres enfants. C’est un aspect du mondialisme directement inspiré du communisme, avec une autre justification.

  • Tous, nous pourrions citer des évenements de ce genre nous pourrions certainement en faire un petit livret qui peut être pourrait ouvrir quelques yeux.
    Je sais que si vous avez des ennuis et que vous allez rencontrer une assistante sociale pour avoir une aide ; celle ci peut venir chez vous, et si elle juge que votre maison est mal tenue qu'il y a une tache sur votre évier elle peut ne pas vous accorder l'aide. Si votre réfrigérateur n'est pas impéccable elle peut juger que vous mettez votre vie en danger et celle des votres etc.... C'est un aspect du mondialisme auquel on ne fait pas assez attention et qui petit à petit va restreindre notre manière de vivre. Je suis entièrement d'accord avec vous sur la dénonciation par les enfants de leur parenté, car les grands parents y passent, mais aussi de leur voisin. Et c'est fait sur forme de jeux ou d'apprentissage de la citoyenneté.
    (J'ai eu des remontrances de la part d'un petit fils pour mon tri des déchets). Tu ne fais pas un tri citoyen m'a t-il dit. Nous en arrivons à l'URSS

  • « Tu ne fais pas un tri citoyen m'a t-il dit » : j’espère, chère Mélanie que vous lui avez expliqué que ses enseignants lui faisaient faire une faute de français et que, le fait qu’on lui fasse faire cette faute de français n’était pas innocent.

  • Je n'ai pas grande estime pour les enseignants et nous passons beaucoup de temps afin de rectifier ce qui peut être dit. C'est un gros travail pour les grands parents.

    Un peu different mais dans le but de tuer toutes manifestations l'état veut que chaque participant actif à une fête ai sa feuille de paye.
    Ce qui est bien sûr impossible. Sont visé les festivals style Lorient, Quimper Fête des filets bleus à Concarneau pour la Bretagne mais aussi bien d'autre. Et certainement le puy du fou. Bien soviétoïde comme manière afin de tuer la joie simple, le petit bonheur à la portée de tous.
    Bientôt seront interdit les repas organisés par les clubs sportifs afin d'avoir un peu d'argent, de vendre de la nourriture dans les kermesses et autres fêtes champêtres. Que du bonheur !

  • chère mélanie, avant, on défendait aux enfants de "rapporter"! C'était jugé infâme! et maintenant on apprend aux gosses à dénoncer leurs familles! Ignoble et goulaguien!

    Je ne fais aucun tri, je n'y crois pas, et il se trouve que je sais qui à Marseile gagne beaucoup d'argent avec le verre des bouteilles pieusement déposées dans d'horribles containers à hublots!

    Quant aux assistantes sociales, je pourrais écrire un petit livre sur elles et leur sottise veule.

    Vu mes idées, et celles de mon mari, j'avais défendu à ma fille de parler de ses parents à l'école. Elle a très bien compris, presque d'instinct, et il n'y a jamais eu de problèmes.

    Il faut parler carrément aux enfants et leur dire tout le mépris que l'on a pour ces méthodes
    d'investigation inadmissibles. Les parents, savent-ils comment vivent les profs de leurs enfants?
    Je n'ai jamais hésité à critiquer librement les enseignants, et même à en rire avec ma fille!J'ai eu la chance qu'elle adhère à mes idées et soit rebelle à toutes ces sottises de gauche!

  • Chère Gaëlle, comme vous avez raison ! Mais il faut reconnaître que c’est difficile et pénible de dénigrer les professeurs de ses enfants. Au contraire on voudrait les valoriser, afin qu’ils écoutent mieux leurs cours. C’est lamentable d’en arriver là ! Je crois qu’aujourd’hui le problème ne se pose plus beaucoup dans la plupart des lycées et collèges : il n’y a plus d’enseignement, en dehors du rap et des tags !

  • A Mélanie : oui, le coup des feuilles de paye, c’est bien pour empêcher ce qui ne leur plait pas. Parce que les associations bidons, mais mondialistes, elles, peuvent faire ce qu’elles veulent. Au contraire, on les arrose de subventions pour leurs actions malfaisantes.

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