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Antoine: une enquête qui traîne beaucoup trop

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Les enquêteurs qui ont multiplié les perquisitions ces derniers jours pour retrouver le petit Antoine ont recueilli hier le témoignage inattendu d'une jeune baby-sitter.  La jeune femme affirme que l'enfant était absent du domicile familial lorsqu'elle s'est présentée le 8 septembre, vers 21 heures soit trois jours avant la date de la disparition "officielle" de l'enfant selon les explications de sa maman.

 Le témoignage de l'adolescente qui a été recueilli par les gendarmes mercredi matin relance l'enquête et oriente  de nouveau les investigations sur la mère du petit garçon et son compagnon, Sébastien R.

Selon la jeune femme, qui a parfois travaillé comme baby-sitter dans la famille, le petit Antoine était absent de son domicile vers 21 heures, soit trois jours avant la date de sa disparition avancée par sa maman. Le Procureur de Clermont-Ferrand, Jean-Yves Coquillat, déclare cependant que cette nouvelle information ne "démontrerait pas grand chose dans la mesure où Antoine avait l'habitude de jouer dehors tard le soir."

La jeune baby-sitter qui affirme en outre avoir été bousculée par le concubin de la mère  confirme d'autres témoignages évoquant un  homme au tempérament violent.

Mercredi matin, plusieurs dizaines  d'homme ont par ailleurs poursuivi leur recherche dans la commune en quête d'un vêtement ou d'un simple indice suceptible de les conduire sur la piste d'Antoine. Tandis que 25 militaires poursuivait leur porte-à-porte à travers l'entrelacs de courettes et de vieilles maisons... 

   leparisien.fr -18.09.08

Commentaires

  • Si le fait s'avère vrai, que le gamin avait disparu avant la date avancée par le mère.
    Quel monstre est elle pour aller manger au restaurant comme si tout allait bien.
    A t-elle une conscience ? Est-elle encore un être humain. Vous notez que je dis : si,

  • Il est à se demander si les explications de la mère ne sont pas directement inspirées du scénario de la disparition de la petite Maddie au Portugal : on y trouve beaucoup de points communs. Si c’est le cas, cela laisse peu d’espoir pour retrouver l’enfant vivant.

  • "...dans la mesure où Antoine avait l'habitude de jouer dehors tard le soir." Donc, il n'avait pas besoin d'une baby-sitter- sauf si sa mère était absente toute la nuit...
    Le patron du "Bon" ou du "Vieux croûton" déclare, selon un article précédent, que l'enfant passe son temps dans ce café-restaurant où travaille sa mère, qu'il regarde la télé, qu'il lui a même acheté des DVD. Il semble avoir eu une liaison avec la mère, Alexandrine.
    Qui est ce concubin, Sébastien R., qui porte une casquette de base-ball blanche? un homme violent...
    La mère raconte un scénario inspiré de "Maddie"... en effet. Elle ment. Tout le monde ment dans cette triste affaire.
    Mais la police me semble extrêmement molle, elle procède à des fouilles dans le réseau d'égouts...
    Donc, Antoine jouait tard la nuit dans la rue: y avait-il d'autres gosses avec lui?
    Il a pu être repéré par un pédophile... enlevé...
    Il faudrait un fichier Edvige justement pour les "malades" déviants sexuels!
    A issoire, on doit bien savoir qui a des goûts particuliers, qui s'intéresse trop aux petits garçons...

  • Ca donne un peu l'impression que l'on ne veut pas trouver.
    Je vais etre extrêmement sexiste mais je suis persuadée que si c'était des femmes, des mères de famille qui avaient interrogé la mère nous en saurions plus.
    J'ai toujours pensé que pour ce genre d'affaire dans la quelle la mère était impliquée les femmes arriveraient à de meilleurs résultats que les hommes. Désolée messieurs.

  • A Mélanie : vous avez peut-être raison. En tout cas, moi, je n’aimerais pas être interrogé par Ariane Obolenski ! Elle me fait peur !

Les commentaires sont fermés.