Réfléchir & Agir n°28 Hiver 2008, extrait de l’article Science & Race d’Edouard Rix:
“L’on dispose de nombreuses études sur la répartition raciale de l’intelligence, en particulier aux USA. La plus célèbre a été publiée en 1969, par Arthur R. Jensen. Pour ce professeur de psychologie à l’Université de Berkeley, le QI des Noirs américains se situe en moyenne quinze points en dessous de celui des Blancs, des facteurs génétiques, plus que socio-économiques, expliquant ces différences psychoraciales.
Dernière grande étude, publiée en 1994, The Bell Curve est un pavé de 845 pages, écrit par le psychologue Richard Herrnstein et le sociologue Charles Murray. Les auteurs confirment l’existence d’une différence de QI entre Blancs et Noirs de quinze points en faveur des premiers. Ils en concluent que les programmes d’affirmative action en faveur des minorités ethniques sont vouées à l’échec, et que les USA se diviseront à l’avenir entre une “élite cognitive”, d’origine européenne et asiatique, et un sous-prolétariat de couleur, financièrement et intellectuellement défavorisé.
En réponse à la campagne de diabolisation dont ils ont été victimes, Herrnstein et Murray ont reçu l’appui de cinquante-deux universitaires, signataires d’un manifeste publié le 15 décembre 1994 dans l’édition européenne du Wall Street Journal. On peut y lire: “Comme le montrent toujours de vastes enquêtes réalisées à l’échelle nationale aux Etats-Unis, les résultats obtenus par les Noirs de dix-sept ans, pour les mathématiques, les sciences et la lecture, se rapprochent en moyenne de ceux obtenus par les Blancs de treize ans”. De même, “les étudiants noirs issus de familles aisées n’obtiennent pas de meilleurs résultats en moyenne que les Blancs issus de familles pauvres”. Leur conclusion rejoint celle de The Bell Curve: “Il n’existe pas de données convaincantes donnant à penser que les courbes de QI des différents groupes ethniques et raciaux soient en train de converger”.
Plus récemment encore, dans IQ and Global Inequality, deux universitaires, Richard Lynn et Tatu Vanhanen, établissent une étroite corrélation entre les mesures du QI des populations et le degré de développement d’un pays.”
Source:Europa Nostra
Commentaires
Des tabous énormes sont en train de sauter. Ces scientifiques courageux, mais pas naïfs, sentent que le vent est en train de tourner. Cela augure bien de l'avenir. Verrou après verrou vont sauter.
Ce que c'est que le bourrage de crane /j'ai connu une jeune enseignante débarquant en cote d'ivoire et qui me demandaii non sans appréhension avant d'affronter ses premiers élèves :" C'est il vrai qu'ils sont plus intelligents que nous."
je ne parle pas de ceux qui ont fait mariage d'amour mais ceux qui ont fait mariage métis pour etre au gout du jour auront bien des déceptions avec leurs enfants.
Dernière étude à ce sujet :
http://fr.novopress.info/?p=13505
Rien à voir, mais comme cela en passant :
Il y a 38 ans la mort de Jean Giono à Manosque.
Merci à Ns de nous rappeler un de nos grands anciens.