La comédienne et humoriste Muriel Robin et Anne Le Nen, instructeur de self-défense, publient lundi un guide vidéo destiné aux femmes et passant en revue des techniques pour faire face à une agression physique.
Animée par Muriel Robin, une séquence est consacrée à un rappel à la loi, notamment sur la définition de la légitime défense des personnes et les conditions dans lesquelles il est possible d'y avoir recours. Les principaux textes de loi sont lus par la comédienne qui les résume ensuite en termes simples et directs.
Le guide vidéo propose aussi le détournement d'objets du quotidien (ndb: talons aiguille, sac Carla?) pour se sortir de situations délicates, imposer une distance de sécurité, faire diversion ou, en dernier recours, porter un coup sans conséquence physique grave sur l'agresseur.
"Quand j'ai appris qu'avec des techniques ultra-simples et surtout sans aucune préparation particulière et accessibles à toutes, nous pouvions, nous les femmes, nous sortir de situations critiques, j'ai pensé qu'il était de mon devoir de transmettre ces clés", explique Muriel Robin.
C'est son nouveau sketch humoristique? Il a quelque chose d'odieux et d'insultant pour les Françaises qui se font agresser par la racaille
Commentaires
Oui, chère Gaëlle, vous avez bien résumé ce petit sketch minable : odieux et insultant !
Ahhhhhhh ! Le "sac Carla",un objet contondant ;)
Bien vu,Gaëlle !
Ce n'est pas la première vedétaillonne qui s'essaie au genre, ici ou à l'étranger. J'ai lu de tels livres. Autant dire qu'à part des conseils de bon sens, ils ne sont d'aucune utilité, il vaut mieux investir dans une réelle formation martiale.
Muriel Robin, ou comment accepter la situation monstrueuse qu'on nous impose et faire semblant de s'y adapter avec du sparadrap, tout en se remplissant les poches au passage.
@Tania: elle peut le coiffer avec! Ce n'est pas un sac, c'est une case!
Merci, abad: ce que fait Muriel Robin, pour gagner trois sous, est mal par rapport aux dames trop âgées pour se défendre. Une de mes tantes, aujourd'hui décédée, a été traînée sur le trottoir par deux racailles à moto qui voulaient lui arracher son sac... Elle était frêle, âgée, ils n'ont eu aucune pitié, sa tête a heurté plusieurs fois le sol... Ils n'ont réussi leur coup, elle avait une volonté de fer... Mais le choc ensuite a été grand... Aussi quand j'ai vu ça, j'ai été révoltée! - il était midi, elle sortait ses clés pour entrer dans son immeuble... Elle vivait seule, il fallait bien qu'elle sorte (un bon quartier cependant!) pour faire ses courses...
Cher Voyageur, les personnes âgées, hommes ou femmes, ne peuvent pas se défendre face à des jeunes, qui eux se battent dans leurs cités depuis l'enfance...
Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Et qui ne veut rien entendre. Alors ! ! !
Gaëlle vous avez parfaitement raison lorsque vous écrivez que "les personnes âgées, hommes ou femmes, ne peuvent pas se défendre face à des jeunes,...". Je fais maintenant partie de ces personnes et je peux dire que nous n'avons pas été formés à nous battre ni à vivre de telles situations ! Qui dans les années 50 ou 60 aurait pu penser voir un pays dans cet état !! La violence était réprimée par nos enseignants à l'école ou au lycée comme par nos prêtres au patronnage. Je me souviens très bien d'une anecdote. C'était en 49 au cours préparatoire à l'école laïque Davin aux Chartreux. J'avais eu la "fantaisie" soudaine de prendre dans mon plumier une lame de rasoir. Je l'avais avancée vers le visage de mon petit voisin avec l'instinct bien bestial de lui taillader le visage. Notre bonne maîtresse Madame Fl.... repéra heureusement ma folle conduite et fondit sur moi pour empêcher ce malheureux geste. Elle me donna une de ces fessées !! Je me souviens avoir pissé dans mon pantalon... Quelle honte ! Bien sûr je n'ai plus jamais recommencé. Et les bagarres étaient arrêtées rapidement dans les cours de récré.
Vu l'état de violence créé par le laxisme généralisé, la disparition des frontières, la venue non empêchée et même encouragée de millions d'individus jeunes vigoureux et dont la violence n'a pas été comme chez nous éliminée ou canalisée par des règles, je pense que les gens de ma génération ont bien du souci à se faire...
Ces jeunes gens -tres peu de chez nous-font souvent un petit tour en prison
Et là -gratuitement -ils ont acces à des salles de Gym où ils font de la musculation et des sports de combat ;
Ils sortent de là tres affutés pour de nouveaux exploits .
à votre bonne gueule !
Allons mesdames,inscrivez-vous sans retard à des cours de ju jitsu/krav maga/close combat quel que soit votre âge et sus à l'ennemi!
Ce sont de très bonnes écoles pour développer le sang froid
et restaurer la confiance en soi souvent indispensables lors d'une agression.
Un bout de tuyau en acier(pour le gaz ou l'eau (30 cm) peut s'avérer une arme redoutable même manié par une dame:
il reste aussi le très efficace couteau Tanto à lame épaisse 51/2 cm) ,la dague effilée,le coutelas,le bic que l'on peut planter dans l'oeil ou l'oreille.
Mais marcel le problème c'est qu'à mon âge si je manque l'oeil ou l'oreille avec mon bic ou mon petit couteau suisse...je crains bien qu'à l'acte suivant l'agresseur lui ne me rate pas !
Non c'est décidé je préfère fuir avec mon corps ulcéré déshonoré mais encore (pour combien de temps ?) intègre.
@zelionaya:
effectivement,il est indispensable de ne pas rater sa cible
si on utilise un bic mais avec un minimum de sang froid et de ruse (féminine),cela devrait réussir.
L'agresseur n'attend jamais une résistance excessive de la part d'une "faible femme",il est donc plus facile de s'en approcher et de lui planter une banderille mortelle.
Les épingles à chapeau étaient efficaces.
Peut être pourrions nous en relancer la mode.
Bien triste,tout ça ...
J'ajoute à la liste des "armes" ,pour m'en être servi ,un jour de pluie:le parapluie .
Sinon, quand je dois aller dans un endroit peu civilisé (ils sont de plus en plus nombreux ),je demande à mon ange gardien de m'accompagner .
Oui, comme le dit Tania, c’est bien triste d’en arriver là. Et zelionaya lagouchka dit avec raison : «Qui dans les années 50 ou 60 aurait pu penser voir un pays dans cet état ». Mais dès la fin des années 1970, on a bien vu qu’avec la montée de l’immigration, le laxisme de la justice et l’inversion progressive de toutes nos valeurs, notre pays s’enfonçait dans l’insécurité, le chômage et la misère des petites gens au profit des grandes fortunes internationales. Mais pour tenir le tout, s’établissait une féroce dictature qui n’ose pas dire son nom, sur un peuple complètement anesthésié par la propagande et muselé par la répression.
Comme c'est vrai, cher abad!
Le problème, c'est que ces jeunes n'attaquent pas seuls: ils sont deux ou trois, ou plus: on est vite encerclé (j'en ai fais l'expérience avec ma fille, presque devant chez moi, un bel après-midi de mai) et il ne reste qu'à fuir, à crier, et à trouver vite un refuge: magasin en général... Il faut aussi se méfier des filles, très fortes physiquement.