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Les différences psychoraciales selon des études américaines

Réfléchir & Agir n°28 Hiver 2008, extrait de l’article "Science & Race" d’Edouard Rix:

“L’on dispose de nombreuses études sur la répartition raciale de l’intelligence, en particulier aux USA. La plus célèbre a été publiée en 1969, par Arthur R. Jensen.  Pour ce professeur de psychologie à l’Université de Berkeley, le QI des Noirs américains se situe en moyenne quinze points en dessous de celui des Blancs, des facteurs génétiques, plus que socio-économiques, expliquant ces différences psychoraciales.

Dernière grande étude, publiée en 1994, The Bell Curve est un pavé de 845 pages, écrit par le psychologue Richard Herrnstein et le sociologue Charles Murray. Les auteurs confirment l’existence d’une différence de QI entre Blancs et Noirs de quinze points en faveur des premiers. Ils en concluent que les programmes d’affirmative action en faveur des minorités ethniques sont vouées à l’échec, et que les USA se diviseront à l’avenir entre une “élite cognitive”, d’origine européenne et asiatique, et un sous-prolétariat de couleur, financièrement et intellectuellement défavorisé.

En réponse à la campagne de diabolisation dont ils ont été victimes, Herrnstein et Murray ont reçu l’appui de cinquante-deux universitaires, signataires d’un manifeste publié le 15 décembre 1994 dans l’édition européenne du Wall Street Journal.

On peut y lire: “Comme le montrent toujours de vastes enquêtes réalisées à l’échelle nationale aux Etats-Unis, les résultats obtenus par les Noirs de dix-sept ans, pour les mathématiques, les sciences et la lecture, se rapprochent en moyenne de ceux obtenus par les Blancs de treize ans”. De même, “les étudiants noirs issus de familles aisées n’obtiennent pas de meilleurs résultats en moyenne que les Blancs issus de familles pauvres”.

Leur conclusion rejoint celle de The Bell Curve: “Il n’existe pas de données convaincantes donnant à penser que les courbes de QI des différents groupes ethniques et raciaux soient en train de converger”.

Plus récemment encore, dans IQ and Global Inequality, deux universitaires, Richard Lynn et Tatu Vanhanen, établissent une étroite corrélation entre les mesures du QI des populations et le degré de développement d’un pays.”

(Source: entre guillemets,via franceblanche)

EUROPA NOSTRA - 04.02.09

Commentaires

  • Maintenant, il faudrait renouveler cette étude.On serait sans doute surpris de constater à quel point une majorité de jeunes de 17 ans sont abêtis, surtout en ville, et rejoignent sans problème, ou atteignent des niveaux moindres que les noirs des familles aisées au niveau du QI, si toutefois celui-ci est bien alimenté et rehaussé par les connaissances et la gymnastique intellectuelle.
    Cela dit, l'étude du QI ne prend peut-être pas en considération l'imagination ni la créativité, ni sans doute l'intuition proche de l'instinct dont sont douées les femmes. Ce qui expliquerait les bons résultats de QI des Asiates, alors que leur inventivité n'est pas extraordinaire, inférieure en tout cas historiquement à celle des blancs. Et aussi les résultats légèrement inférieurs des femmes par rapport aux hommes (étude britannique récente sur le QI).

  • @ LENI, Message (mets sage: nourriture bonne pour l'esprit). Si tu le désire je peut t'envoyer par internet quelques livres numérisés explicites. Les informations qu'ils contiennent sont toutes avérées,historiques et tutti quanti.

  • ne cherchez pas un rapport, pour le plaisir dans ce monde de brutes
    http://www.dailymotion.com/fckrap/video/x7cspz_le-pen-sentimental_news

  • franceblanche ne répond plus depuis un moment, auriez vous son adresse? Merci

  • toutes ces études sont des mythes,il faut lutter contre ,s'y opposer,je suis anti ces mythes.

  • Tous ces résultats sont désormais caducs : les législateurs ont fait des lois qui imposent le contraire et interdisent ces travaux. Le Professeur Watson, prix Nobel pour la découverte de la structure de l’ADN, l’a appris à ses dépends pour l’avoir oublié l’an dernier : il est désormais interdit de paroles. Ce qui me fait encore penser à Galilée : il me semble qu’à l’issue de son procès il y a 400 ans, il avait été consigné (symboliquement !) chez lui mais n’avait pas été interdit de paroles.

  • Tout le monde sait ce qu'il en est et depuis très longtemps.
    Nous sommes tous égaux (en droits), mais pour le seul facteur qui fâche, celui qui sépare l'homme de l'animal, et les hommes entre eux, il faut des lois et des persécutions pour imposer le dogme et nier la réalité. En attendant, l'"hyperclasse" encourage le métissage qui devrait créer le fantasme dont elle rêve. Elle risque de prendre une hyperclaque, plus tôt qu'elle ne le croit.
    Le QI exploite surtout le repérage rapide de schémas connus, selon le principe aberrant que quelqu'un qui peut résoudre très vite de nombreux problèmes simples sera également capable de résoudre un problème compliqué ; mais, comme le souligne très finement Luz, il ne prend pas en compte la créativité, qui distingue les Européens des autres. Hors la créativité consiste justement à savoir sortir des cadres pré-établis et des catégories du connu.
    Voilà la différence réelle qu'il y a entre nous et les Asiatiques du point de vue de l'intelligence.
    Si on devait mesurer le degré de résistance nerveuse, en revanche, je ne parierais pas forcément sur nous. C'est une qualité mentale avec laquelle compter.
    Chaque race a son génie propre. Qu'elles le gardent et ne se suicident pas dans la bouillasse grisâtre dont d'aucun rêvent pour les dominer.

  • vive la politique anti-mythes !
    je crois quand même qu'il faut relativiser ce genre d'études . Comme le dit Luz, la même étude conduite aujourd'hui nous réserverait peut-être de désagréables surprises.

  • Elle est bien la petite vidéo envoyée par l'abbé !

  • Paul-Emic, on peut abêtir les gens momentanément, mais l'éducation ne peut rien contre les gènes qu'ils trasmettront. Dès que l'éductaion, au sens large, sera redevenu normale, ainsi redeviendra le QI. Il n'y a que le métissage qui peut tuer l'intelligence blanche, en tuant du même coup la race blanche et toutes ses branches cousines.

  • admettre que l'intelligence est irrémédiablement liée aux gènes, cela voudrait dire qu'un peuple donné est définitivement et de toute éternité les premier de tous les autres.
    D'ailleurs c'est une thèse que l'on nous ressert souvent sous la dénomination de peuple élu ...

  • «admettre que l'intelligence est irrémédiablement liée aux gènes, cela voudrait dire qu'un peuple donné est définitivement et de toute éternité les premier de tous les autres» Pas tout à fait d’accord.
    D’abord, cher Paul-Emic, je préfère ne pas parler de ‘gènes’ car rien ne prouve que toute l’information génétique se trouve dans les gènes qui ne représentent qu’une faible partie de l’ADN et ne définissent que les protéines, soit les briques de base de la matière vivante et non l’organisation (les ‘plans de fabrication’) de chaque être. L’essentiel ne serait donc pas dans les gènes. Alors disons plus simplement que l’intelligence est ‘innée’.
    Pour moi cela est évident car on n’acquiert pas de l’intelligence, on ne sait pas ‘l’apprendre’, on ne sait pas l’enseigner : le meilleur des enseignants peut ‘ouvrir’ une intelligence et non la créer.
    Mais comme vous le dites, cela ne garantit pas qu’un même peuple gardera indéfiniment les mêmes caractères innés, puisqu’à chaque génération il y des modifications de l’ADN et donc les caractères innés se modifient aussi, même si la plus grande part se conserve.
    Par contre les éléments essentiels d’une civilisation, d’une culture, peuvent se perdre très rapidement puisqu’ils sont le résultats d’un enseignement, d’un apprentissage, élaborés au sein d’une même communauté, d’un même peuple apte à apprendre ces éléments car correspondants justement aux caractères intellectuels innés communs, partagés, par l’ensemble de ce peuple.

  • C'est peut-être le cas, Paul-Emic. Qui marche sur la Lune et sur Mars ?
    Méfiez vous des contrefaçons et des marchands de tapis. la vérité si je mens ! ;)

  • @voyageur

    "qui marche sur la Lune et sur Mars"?

    pardonnez mon ignorance, mais je ne comprends pas l'allusion.

  • Je voulais désigner les Blancs, inventeurs de (presque) tout malgré les mensonges d'état destinés à rehausser artificiellement les autres peuples et abaisser le nôtre pour faire paraître crédible le grand mythe de l'"égalité", sauce à laquelle nous sommes en train d'être lentement dévorés.
    D'ailleurs, nous ne marchons pas sur Mars, inutile, nous y envoyons des robots à notre image -ou presque.

  • mais cher abad je ne crois pas dire quelque chose de très différent de vous.
    C'est voyageur et pas moi qui dit que les gènes seraient le support exclusif de l'intelligence. La conséquence génétique directe à tirer de cette affirmation est bien qu'il y a des lignées intelligentes et d'autres non exclusivement. L'intelligence est-elle un caractère récessif ou non voilà une question d'importance ? c'est à dire se dilue-t-elle dans le mélange ou se transmet-elle ?
    Je ne pose pas d'autre question . Je constate seulement qu'il y a eu d'autres grandes civilisations antérieurement à la notre et que probablement d'autres nous succèderont quand leur tour sera venu et personne ne peut affirmer de manière péremptoire qu'elles seront le fait d'Indo-européens blancs.

  • Pour le moment, ce sont bien les Blancs qui "marchent" sur la Lune, sur Mars, qui envoient des sondes dans l'univers, autour de Saturne.

    Je partage entièrement l'avis de Voyageur.

    La notion de "Peuple élu" est d'origine purement religieuse.

  • @Voyageur: si ON veut métisser à ce point, avec cet acharnement, les Blancs, c'est bien pour détruire ce qu'ils peuvent transmettre à leurs descendants.

    On juge une civilisation aux oeuvres réalisées.

    Pour le moment, le fossé se creuse... Et ce n'est pas seulement une question économique.

    Il faut voir ce que des Blancs ont fait de l'Australie!

  • Merci, cher abbé, pour cette vidéo!

  • Sujet passionnant, celui de l'intelligence.
    Au sujet de l'intelligence des noirs, tous les programmes visant à corriger les « handicaps sociaux » ont échoué à long cours.
    Pour les asiatiques, étant plus homogènes génétiquement, la déviation standard est probablement plus petite. Autrement dit, moins de gens d'une intelligence faible, mais aussi moins de génies.
    Pour les juifs(ashkénazes), les études sont peu nombreuses et parfois contradictoires. Le seul que j'aie trouvé et qui tienne (même avec beaucoup de limites), est celui de Lynn de 2004, qui trouvait un QI de 107 pour les juifs de Grande Bretagne. Le nombre des Nobels etc..., ce n'est pas scientifique.

  • la notion de peuple élu est loin de n'être que religieuse il faudrait que je retrouve ce lien ou une blogueuse justifiait les opérations dans la bande da Gaza en établissant deux camps, celui des sauvages, les Palestiniens, et celui du Bien de la civilisation et de l'intelligence, les Juifs, en se basant sur le nombre de prix Nobels accordés aux deux camps depuis sa création.
    le voilà :

    http://puteaux-libre.over-blog.com/article-26846436.html

  • Les Nobels, ce n'est pas scientifique: le gold standard de l'étude scientifique, c'est le double aveugle; on en est loin, avec les Nobels. Et puis, pensez à l'hypothétique profil ethnique des nobelisables pendant la Renaissance, ou pendant l'antiquité.

    Pour avoir une réponse définitive, il faudrait faire une étude sur un grand échantillon représentatif de la population juive mondiale. Dommage que cela ne s'ait jamais fait.

  • Quand on sait qui exerce une influence prédominante dans le monde universitaire et le monde de l'édition, on ne s'étonnera pas que des résultats "scientifiques" corroborrent heureusement le Pentateuque. Ha, ha, ha ! Et Einstein a découvert la relativité.
    Vous avez raison de corriger mes propos, abad, je devrais parler d'hérédité plutôt que simplement de gènes. Il reste qu'ils restent la localisation pour le moment la plus probable de ce qui sépare véritablement les hommes entre eux. Je serais également très curieux de savoir à quoi sert le l'"ADN poubelle". On aura peut-être des surprises.
    Il y a probablement eu des civilisations avancées antérieures à la nôtre, mais pour le moment les mythes de toutes les races indiquent qu'elles étaient constituées de blancs. On n'en sera que peu surpris quand on voit ce que font les blancs une fois qu'il ont réussi à se dégager des contraintes naturelles et peuvent laisser libre cours à leur intelligence créative.
    Enfin, et étant donné ce que je crois de l'inné, je ne pense pas qu'aucune civilisation qui nous succède soit non-blanche et nous soit également supérieure... à moins de disparition des Blancs par submersion ou métissage, hypothèse hélas fort crédible actuellement si nous ne réagissons pas.
    On ne peut faire d'un âne un cheval de course, mais on peut facilement faire d'un pur-sang un tocard en le nourrissant mal et en le maltraitant.
    Soyons fier de ce que nous sommes collectivement. Ni plus, ni moins.

  • @Voyageur : Je partage votre point de vue, net et clair !

  • Blanc ça ne veut pas dire grand chose pas plus que Noir ou Jaune, Les Perses, les Juifs, les Bretons sont Blancs ou apparentés, les Aztèques, les Incas, les Chinois sont Jaunes ou apparentés, Les Egyptiens on ne sait pas trop. Il y a eu de grands empires Noirs avant la colonisation, mais est-ce que les Maures sont Noirs ou Blancs ou 50-50 ?
    Bref c'est un raisonnement trop simpliste. Je crois que le degré de civilisation est plus lié à une volonté de maitriser son environnement qu'autre chose. Un environnement trop hostile ou trop doux tue toute velléité de progrès qui ne se développe efficacement que dans un environnement fluctuant comme celui des zones tempérées ou tropicales. Mais je vous laisse à vos certitudes génétiques, ce qui ne m'empêche nullement d'être fier de ma race et de ses réalisations .

  • A Paul-Emic : « Mais je vous laisse à vos certitudes génétiques » : je ne comprend pas ce que vous voulez dire. Pourriez-vous développer et préciser ?

    Vous semblez attribuer à l’environnement l’explication principale de la différence de développement des civilisations. Sans nier ce facteur, je pense qu’il n’est pas du tout primordial. Ce point est très bien discuté dans l’ouvrage de Louis Rougier : « Le génie de l’occident » au chapitre 16, §4. Il montre que le facteur principal expliquant les différences des civilisations est ce qu’il appelle la « mentalité » des peuples, que Senghor résumait ainsi : « l’émotion est nègre, la raison est héllène ». Tout le reste en découle.

  • @ Paul-Emic

    Quelle différence faites-vous entre climat "trop doux" et climat "tempéré".
    "le degré de civilisation est plus lié à une volonté de maîtriser son environnement qu'autre chose"; cette volonté est liée à quoi, d'après vous?

    Des peuples ont réussi à développer une civilisation dans des climats assez hostiles (Algérie ou usa, par exemple)là où les indigènes ne l'avaient pas fait; inversement des populations , issues d'un milieu "trop hostile", transplantées dans un environnement "tempéré", ont tendance à reproduire leur mode de vie antérieur.

  • @abad : ce n'est pas à moi de développer ce que sont ces certitudes génétiques de la supériorité du Blanc sur le Noir ou le Jaune, il y a ICI quelques personnes qui l'ont amplement affirmé. Moi je ne sais pas ce que ça signifie ni qui est vraiment blanc qui est vraiment noir ou jaune. C'est une histoire de pigmentation qui me semble bien loin de l'intelligence. Par contre si l'on me parle du génie de la race je comprends parfaitement, mais il ne s'agit pas de la race au sens vétérinaire du mot. Certains ont ainsi à bon escient parlé de la race française, une race de l'esprit en quelque sorte.

    Pour Catherine, un petit cours de météo : climat tempéré ne veut pas dire doux, mais alternant le froid et le chaud.

    Pour préciser mon propos sur la théorie de l'influence des climats sur l'évolution et le comportement des peuples, on constate tout simplement que les climats désertiques et hostiles obligent à concentrer tous les efforts vers la survie et qu'il n'y à plus de place pour le reste. Ainsi Lapons blancs et Esquimaux jaunes, Patagons jaunes, en étaient au même point d'évolution.
    Quand le climat est trop doux, trop favorable, cela n'incite pas à faire travailler ses méninges pour survivre. Il suffit de se baisser pour se nourrir et on peut bailler aux corneilles le reste du temps. Par contre quand il y a alternance de froid et de chaud, ou de pluie et sécheresse, il faut faire des réserves, penser à quand labourer quand planter quand récolter comment se protéger et du froid et du chaud et de l'humidité et de l'aridité tout cela dans le même espace, et ça pousse au progrès. Ainsi le point de départ de la civilisation Egyptienne (blanche, noire ou grise ?) ce sont les crues du Nil et les efforts faits pour les gérer.

    Pour en revenir à la raison des Hellènes et à l'émotion des Nègres, de la part de Senghor, il ne s'agit pas d'une explication raciale, mais d'un constat, qui correspond exactement à ce que je viens de dire plus haut.
    Si demain les glaciers venaient à se jeter pendant des millénaires dans la Méditerranée, les rives du fleuve Sénégal seraient peut-être un temple de la raison.

  • Paul-Emic, j'utilise sciemment le terme "Blanc" en raison justement de sa simplicité et de son caractère immédiatement évocateur. On se demandera peut-être si les Arméniens pris en globalité le sont ou pas (si on ne connaît pas leur histoire), mais on ne se posera nullement la question pour les Français ou les Polonais.
    Si tout cela ne se réduisait qu'à un pourcentage de pigmentation, cela serait amusant en effet, mais la pigmentation n'est qu'un indice extérieur immédiatement visible.
    Je ne reviendrai pas sur l'argumentation de Catherine que j'approuve en tout point.

    "Il y a eu de grands empires Noirs avant la colonisation, mais est-ce que les Maures sont Noirs ou Blancs ou 50-50 ? "
    Ni l’un ni l’autre ou les deux à la fois, c'est-à-dire pas blancs. Maures (= «noirs »).
    Les informations concernant l’Egypte sont plus nombreuses et plus faciles à interpréter qu’il n’est politiquement autorisé de le faire. Pourquoi la momie de Ramsès II mesure-t-elle 1,80 m et a-t-elle les cheveux roux, détails qui perturbent terriblement les chantres de la pigmentation élevée ? Joignez ce que l’on sait des sociétés où les Européïdes se sont imposé comme classe supérieure, telle que l’Inde, aux récits historiques et aux traces archéologiques relatives aux invasions des Peuples de la Mer » et vous verrez qu’il n’y a pas besoin de chercher midi à 14 heures.
    Je n’ai pas de certitudes dans l’absolu, mais suffisamment d’indices solides tous convergents (à moins que n’apparaissent d’éléments contraires, ce qui me contrarierait, je l’avoue volontiers, mais m’obligerait puisque je m’incline devant la réalité) pour m’être fait mon opinion.
    Les accomplissements des « grands empires noirs » sont risibles si l’on les compare à leurs équivalents de tous les autres « degrés de pigmentation ».
    Comme abad et Catherine, je crois que l’environnement est un facteur second. Pouvant faire la différence entre la vie et la mort certes, mais en forçant délibérément le trait c’est comme si on établissait l’incapacité des Terriens à survivre parce qu’une comète venait à percuter la planète la semaine prochaine.
    Vous observerez que si (officiellement) l’agriculture est apparue dans le Croissant Fertile, c’est parce qu’effectivement la géographie et les circonstances s’y prêtaient, en plus du fait soigneusement tu mais secret de polichinelle, que de nombreux peuples étaient d’origine européenne ou dirigées par des Européens pas encore trop métissés. La maîtrise de l’agriculture était la condition sine qua non de l’apparition des villes et des concentrations urbaines. Dès que l’impératif agricole n’a plus constitué un barrage épuisant les énergies, le centre visible de la civilisation s’est déplacé vers le sud de l’Europe. Je ne veux pas pousser le bouchon, mais dès que les Germaniques à leur tour ont pu s’extraire des dures conditions de vie du nord de l’Europe, le centre de gravité d’icelle s’est déplacé dans leur direction.
    Je partage sinon votre vision de l’importance déterminante du climat, mais c’est à mon sens faire bon marché de ce sur quoi il agit. Si les glaciers venaient un jour à se déverser dans la Méditerranée, je pense que la seule réaction des Noirs serait de fuir au plus vite et certainement pas de muter pour survivre.
    L'émotion trouve son siège dans le cerveau limbique, que nous partageosn avec tous les mammifères, la raison dans le néo-cortex, dont nous sommes les seuls dotés (à l'exception des grands singes qui en ont un embryon)
    Je suis un grand admirateur de Senghor, ce qui me fait penser que je ne suis peut-être pas aussi raciste que je le pense (c’est grave Herr Doktor ?). Ce qui est statistiquement valable sur les grands nombres trouve autant d’exceptions qu’on veut sur les unités. Si le niveau de réflexion moyen français pouvait un jour atteindre celui de Senghor, nous vivrions au paradis.
    Même si j’apprécie beaucoup Evola, je ne crois pas trop au concept de « race de l’esprit », facteur réel mais n’émergent que de l’inné. Je crois sincèrement que tout cela a pour fondement la biologie, l’homme étant un animal presque comme les autres, aussi vexant cela puisse paraître. Ca ne me fait ni chaud ni froid. J’aime bien les bêtes.

  • Paul-Emic: « Moi je ne sais pas ce que ça signifie ni qui est vraiment blanc qui est vraiment noir ou jaune. »
    Autrement dit, l'existence d'un continuum entre les noirs, blancs ou asiatiques feraient que « les races n'existent pas ».
    C'est un peu comme affirmer que l'existence du gris ferait que le noir et le blanc n'existeraient pas.
    Oui, il y a des individus (ou des peuples) intermédiaires, mais il ne sont pas la majorité.
    Soyez honnête, si vous voyez un noir, vous allez le reconnaître comme tel.
    Et d'ailleurs, si les races n'existent pas, alors le métissage n'existe pas non plus, n'est-ce pas?

    Voyageur: « Ce qui est statistiquement valable sur les grands nombres trouve autant d’exceptions qu’on veut sur les unités ».
    Exactement. Je pense avoir plus de respect pour certains de noirs que j'ai pu rencontrer que des professionnels de l'antiracisme. Des noirs très intelligents, ça existe, c'est juste qu'ils sont plus rares.
    « Je crois sincèrement que tout cela a pour fondement la biologie »
    Moi aussi; et je vous assure avoir lu tout ce que j'ai pu trouver sur le sujet.

  • @Paul-Emic

    "c'est une histoire de pigmentation qui me semble bien loin de l'intelligence".

    Réduire la différence des races à un degré de pigmentation est stupéfiant, surtout qu'à l'intérieur d'une même race il y a des degrés différents de pigmentation.

    Je proposerais bien aux coureurs de 100m sur piste d'origine européenne de faire des séances de bronzage sur la plage ou en institut; c'est certain, ils gagneront les compétitions.

  • Cher Paul-Emic merci d’avoir pris la peine de préciser votre pensée sur cette question : à vrai dire elle confirme ce que j’avais cru comprendre. Pour l’essentiel, gm et voyageur vous ont répondu, en particulier sur ce qu’est une race humaine : quand vous croisez dans la rue un Noir ou un Jaune, est-ce que vous dites : « Tiens, voilà un Blanc ! » ? J’ajouterai que l’idée de l’influence du climat sur le développement des civilisations est ancienne (Strabon) et reprise plus tard par Fontenelle. Mais une analyse sérieuse montre qu’elle est négligeable : c’est comme si un professeur disait « les élèves au fond de la classe près des radiateurs sont mauvais à cause de la chaleur des radiateurs ». Mais cette question est très bien traitée, comme je le disais dans un message précédent par Rougier dans son « Génie de l’occident », en particulier tout le chapitre 17 (et non 16, comme je l’ai dit par erreur précédemment).

  • Si les races n'étaient qu'une question de pigmentation de la peau, comme le prétendent les gens de goche, il n'y aurait pas de problèmes...

    Les Noirs albinos n'ont aucun pigment, mais ce sont toujours des personnes de race noire.

  • constatons que nous ne sommes pas d'accord et interrogeons nous sur la perénité de cette merveilleuse civilisation technologique qui fait notre fierté à tous (?) et nous permet de tirer des arguments définitifs sur la supériorité de tel ou tel groupe humain, le notre en l'occurrence.

  • Constatons le, Paul-Emic, ça n'a rien de grave.
    Notre supériorité technologique est avant tout une supériorité scientifique, elle concerne la connaissance du monde. Le terme science au sens premier était quasiment synonyme de connaissance au sens large et a longtemps concerné tous les domaines de l'intellect. Science sans conscience n'est que ruine de l'âme, nous en aurons été avertis.
    Le problème fondamental du moment n'a rien de "génétique", il est dû à nos zélites visibles et invisibles et à l'interaction qu'elles ont sur l'éternelle masse de la populace qui a toujours compté instinctivement sur elles.

  • A Paul-Emic a écrit: «nous permet de tirer des arguments définitifs sur la supériorité de tel ou tel groupe humain » : pas d’accord, nous ne parlons que de la supériorité de notre civilisation, c’est tout. Et la supériorité de notre civilisation est tellement évidente qu’il est complètement inutile de la justifier.

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