http://www.youtube.com/watch?v=p5dfkMmdmCI
Le 21 janvier 2009, la chaîne suédoise SVT1 montrait dans son émission Uppdrag Granskning [devoir recherche] un interview avec l'évêque britannique Richard Williamson de la Fraternité Saint-Pie X.
Apparemment cette interview fut enregistrée près de Ratisbonne en Bavière. L'évêque exprime son opinion sur les chambres à gaz et l'holocauste.
Commentaires
Très courageux cet évêque : oser affirmer son opinion contre toutes les forces mondialistes réunies, il faut le faire !
Ah mais il précise : "Là vous citez des mots que j'ai prononcé au Canada, oui, il y a de nombreuses années". Quelle habileté !
Il cite même les noms permettant à ceux qui veulent se faire leur opinion par eux-mêmes de le faire, comme Leuchter, cet ingénieur-chimiste, ce que nos journalistes et ceux qui leur donnent leurs ordres ont malencontreusement oublié de rapporter dans leur bienveillant résumé du scandaleux entretien à notre usage.
Après sa citation des arguments rendant improbable l’existence de ces chambres à gaz, le journaliste, qui ne peut visiblement rien lui répondre sur le plan de l’argumentation, et ne le fait d’ailleurs pas, change d’angle d’attaque et revient à la charge avec le pathos et la vieille antienne menaçante : « Si ce n’est pas de l’antisémitisme, alors qu’est-ce que l’antisémitisme ? » (l’évêque parlait de détails techniques sur les chambres à gaz, et absolument pas de ses sentiments personnels sur les Juifs, mais c’est là et uniquement là qu’on veut le ramener, c’est un terrain connu). Il perçoit immédiatement la vieille tactique usée et sans aucune imagination, et s’en extrait sans difficulté. Il souligne l’exploitation qui a été faite des 6 millions de morts de l’extorsion de milliards de marks faite aux Allemands culpabilisés par ce qui selon lui est un mensonge . Je ne saurais dire ce qui l’emporte, du courage ou de l’intelligence lorsqu’il conclue : « Mais attention, je vous en conjure, ce que je vous dis est contraire à la loi en Allemagne. » Il se retourne d’un air un peu inquiet et ajoute : « S’il y avait un Allemand à proximité, vous pourriez me faire mettre en prison avant que je quitte l’Allemagne. » Petit sourire charmant. « J’espère que telle n’est pas votre intention.»
J’ai failli éclater de rire.