Ce matin, la garde à vue des six personnes interpellées hier dans l’enquête sur la mort d’Aurélien Dancelme, un policier de 34 ans abattu samedi soir à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), devrait être prolongée. Agés de 25 à 30 ans, ces cinq hommes et une femme, tous Sri-Lankais, ont été arrêtés tôt hier matin dans un immeuble situé tout près du lieu où, samedi soir vers 21 h 30, ce père de deux enfants a perdu la vie.
« Il a dû intervenir en précisant sa qualité de fonctionnaire »
L’autopsie déterminera les causes exactes de sa mort, mais d’ores et déjà les premières constatations médico-légales indiquent que la victime a succombé après avoir été touchée par quatre balles.
La piste d’une rixe, dans ce quartier très passant mais pas jugé particulièrement « difficile », avec des personnes d’origine indo-pakistanaise semblait la piste privilégiée hier pour expliquer le drame. Le fonctionnaire, en poste à la brigade de sûreté urbaine (BSU) de Seine-Saint-Denis, n’était pas en service samedi soir au moment des faits.
Pour Fabien Modicom, du syndicat Alliance police nationale, Aurélien Dancelme se serait retrouvé dans une bagarre, mais, selon le syndicaliste, « on ne sait pas ni pourquoi ni comment ». « Ce qui est sûr, c’est qu’il avait son brassard de police sur lui, donc, on pense qu’il a dû intervenir en précisant sa qualité de fonctionnaire », a-t-il ajouté. Le syndicaliste a également précisé que le policier était armé. « Tout fonctionnaire de police, qui ne dépasse pas 24 heures de repos, peut rentrer chez lui avec son arme », a-t-il souligné.
Aurélien Dancelme avait été entendu en tant que témoin par l’Inspection générale des services dans le cadre d’une affaire de corruption, et lavé de tout soupçon.- Un autre policier de La Courneuve avait, lui, été placé en détention, avant d’être libéré, il y a quelques semaines. A ce stade de l’enquête, ces deux affaires n’ont rien à voir entre elles.
Le Parisien - 23.02.09
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Que s’est-il passé ? Samedi soir, vers 21 h 30, plusieurs détonations sont entendues dans un quartier pavillonnaire de La Courneuve.
Très rapidement, des passants interpellent des CRS en patrouille, en leur expliquant qu’un de leurs collègues est allongé sur la chaussée, rue Maurice-Bureau. A leur arrivée, les policiers découvrent le corps d’Aurélien Dancelme, 34 ans. Le jeune gardien de la paix a été mortellement blessé par au moins deux projectiles d’arme à feu qui l’ont atteint à la tête.
Selon les premiers éléments, le policier affecté à la brigade de sûreté urbaine de La Courneuve n’était pas en service. A proximité de son corps, son brassard de police est découvert. La victime est également retrouvée en possession de sa paire de menottes et d’un chargeur de munitions. En revanche, son arme professionnelle un Sig Sauer, calibre 9 mm a disparu.
Au moins trois témoins confient avoir assisté à une rixe entre plusieurs inconnus, membres de la communauté indo-pakistanaise avant de voir le fonctionnaire (dont on ne sait pas s’il a eu le temps de décliner sa qualité) se faire tirer dessus. Quatorze douilles de balles de calibre identique à l’arme de la victime sont récupérées sur la chaussée. Hier matin, le Sig Sauer est saisi dans le local à poubelles, à quelques mètres des lieux du meurtre. Le chargeur est vide. Outre deux importantes blessures à la tête, l’autopsie pratiquée hier a révélé la présence de deux autres plaies par balle au niveau du thorax.
Que faisait ce policier qui n’était pas en service à La Courneuve, samedi soir ? C’est une des principales questions à laquelle doivent répondre les enquêteurs. Domicilié à Massy (Essonne), Aurélien ne travaillait pas samedi. Selon plusieurs sources concordantes, le gardien de la paix aurait pu procéder à des vérifications dans une enquête dont il avait la charge.
« Vendredi, il a rencontré des employés de la mairie pour une enquête préliminaire dans une affaire de marchands de sommeil, relate un proche du dossier. Il devait vérifier des adresses de gens susceptibles d’y être impliqués. » Aurélien se serait rendu en transport en commun à La Courneuve.
Le Parisien - 22/02/09
Commentaires
ces quartiers ne sont jamais "particulièrement difficiles" les auteurs de crimes sont souvent "inconnus des forces de police" leur entourage "les apprécie" et "tout le monde l'aimait". C'est comme en Egypte, les attentats contre les touristes occidentaux sont toujours "des actes isolés".
bon sang ! Français debout !
"l'autopsie devra déterminer les causes de la mort".
Je ne suis pas médecin légiste: mais deux balles dans le tête et deux dans le thorax, la cause me paraît évidente.
"ce qui est sûr c'est qu'il avait son brassard sur lui"
"que faisait le policier qui n'était pas en service ?".
Un policier est de service 24 heures sur 24 en cas d'incident.
14 balles ont été tirées où sont les traces d'impact ? quatre dans le corps du policier....et les dix autres !!!!
"Mortellement blessé"= a été abattu.
"d'origine Indo pakistnaise", l'Inde à expulsé "11.500" terroristes pakistanais (good morning Europe).
En terre d'Islam la loi de la charia.
Mais pour eux en Europe "les droits de l'homme" Il Faut joindre l'utile au coranique !!!!
Y aura-t-il des manifestations "populaires", des marches silencieuses" pour protester contre ce meurtre ?. La réponse est simple, NON.
Les zélus vont-ils monter au créneau , Bernique!!!.
«lavé de tout soupçon» : on admire la manière subtile et subliminale du Pharisien de faire porter les soupçons sur la victime.
Après des Pakistanais, voilà des Ceylanais, dits ‘Sri-Lankais’ : on a de la chance en France d’avoir une telle variété de CPF !
Entièrement d’accord avec the goy sur son analyse de texte.
Entièrement d'accord avec vous.
Et ce n'est pas faire preuve de racisme de dire que si ces merveilles étaient restées chez elle il ny aurait pas deux orphelins en plus.
Surtout ne me dites pas que ces individus sont là par amour de notre pays ou de notre civilisation. Nous n'avons jamais "colonisé" leur terre d'origine alors par l'effet de quelle repentance nous les recevons ?
La victime n'était pas froide que déjà, elle était qualifié de flic pourri. Sa femme doit apprécier.
Les sri-lankais et autre "communautés" indo-pakistanaises n'ont absolument aucune raison légitilme de se trouver chez nous.
Ceux qui les font entrer n'ont rien à faire là où ils sont.
Les journalistes qui manipulent de façon aussi éhontée et peu subtile n'ont rien à faire là où ils sont non plus.
Faudra-t-il s'"italinaiser" pour qu'ils comprennent ?
La France et quelques autres vont connaître des événements extrêmement graves dans un navenir qui approche à grands pas. J'espère que personne ne sera oublié.
Les zélus sont en dessous de tout.
Leurs zélecteurs ne méritent pas mieux.
Nous, gardons les yeux ouverts et serrons les rangs. Sachons nous reconnaître, nous sommes bien plus nombreux que nous ne le croyons mais la force du système est de nous faire craindre d'aborder les sujets "diabolisés". En privé et en avançant avec prudence, rien n'est à redouter.
On ne peut qu'être d'accord avec vous voyageur. je crois tout de même que le mur de la diabolisation se fissure un peu. Il y a des signes.
Et si les gens qui vous entourent dans votre village savent que vous êtes contre le système , ils viennent vous parler vous demander ce que vous pensez. En arrivant dans le village j'ai tout de suite affiché que les chouans avait une très grande importance pour moi. Et je sais aujourd'hui qui fait partie des notres, je connais mes ennemis
La presse est complètement couchée... Et comme le dit Paul-Emic, à nous de nous de nous relever!
Des étrangers venant de Ceylan abattent un policier français qui ne faisait que son devoir/ Mais c'est lui est soupçonné d'êtrte un "ripoux": il y a eu un démenti très net, certes, mais on se souvient de la première information! Le mal est fait! Enfin, j'espère rétablir un peu la vérité sur ce blog: c'est une tel scandale que d'accuser aussitôt ce jeune policier courageux! Il empêchait les "fétards" (?) de tourner en rond!
Selon une autre dépêche que je viens de lire, il aurait eu 1g d'alcool dans le sang... C'est ignoble, on ne sait plus que trouver pour salir sa mémoire. Il est mort, après avoir été battu, il laisse deux orphelins...
MAM s'en fiche, apparement, quant au président, pas un mot, rien... Je suis sûre que dans n'importe quel autre pays, on ne laisserait pas passer comme ça cet assassinat.
Ce quartier de La Courneuve n'est pas tranquille, puisqu'on y joue aux quilles avec des policiers! C'est un quartier pourri, oui, et il faudrait une refle géante pour éliminer cette vermine! Ils s'y sont mis à plusieurs pour le rouer de coups, lui voler son arme, qu'il avait le droit de porter, et lui tirer dans la tête! Puis ils l'ont laissé là, sur le sol, lâchement, ils se sont tous enfuis...