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VIDEO Une école pour jeunes bisexuels, gays et lesbiennes aux USA - La décadence organisée n'a pas de limites...

http://www.youtube.com/watch?v=8GfiXcrw2TY

Cette vidéo ayant été supprimée sur Youtube, la voir en cliquant sur ce lien:

http://fr.altermedia.info/general/communautarisme-decadence-toujours-plus-loin_21515.html

Elle en vaut la peine...

 

 

Commentaires

  • Pitié, Gaëlle : je n’ai pas eu le courage d’aller au bout de cette …. nuit ! L’horreur ! Et ce sont les impôts des honnêtes contribuables qui financent ces entreprises de perversion, qui s’attaquent à des enfants d’une douzaine d’années : à cet âge, il s’agit ni plus ni moins que de viols d’enfants, de détournements de mineurs. Qui va protéger ces enfants ? La police des mœurs ne fait rien ? Les pédophiles ce sont eux et c’est subventionné par le gouvernement. Les limites de l’abjection sont dépassées !

  • Quelle s.....rie!!
    Impossible de regarder sans vomir
    je signe le comm. d'abad

  • Evidemment, nous nous en doutions, Julie Bloch, psychiatre américaine, fait partie de ceux à l'origine de cette nouvelle forme de dégradation morale...
    Et le lieu n'est pas anodin : à Milwaukee, a sévi le sérial killer Jeffrey Dahmer, homosexuel, un des plus abominables tueurs en série de tous les temps...

    Tout comme vous, je n'ai pas pu tenir jusqu'à la fin, j'ai arrêté, c'est répugnant !

  • @Abad, l'Abbé Quimonte et LENI: oui, c'est une horreur, à vomir! mais il faut le voir et le savoir!

    Je me souviens de ce serial killer de Milwaukee, homosexuel, qui mangeait ses victimes (des homos aussi) après en avoir mis des morceaux au réfrigérateur... Les policiers ont reculé d'épouvante et de dégoût devant ces bouts de charogne humaine surgelés...
    On atteint les tréfonds de la folie engendrée par l'inversion, l'anormalité, qui n'est pas à encourager comme on le fait dans cette ignoble école!
    Très métissée, cette école... pluriethnique... la "diversité"... - la diversité cache bien des choses, sans doute...

  • aux USA, heureusement, il semble qu'il existent des groupes de résistance qui sont constitués; la liberté d'expression permet de mieux combattre les dégénérés haineux .

  • Nous sommes englués dans un monde répugnant.
    et il faut lutter sans cesse et dans tous les domaines.

  • Homo/bi/lesbo/transexuel métissés et anthropophages,il ne
    manque plus que les hermaphrodites et le tableau est complet.

    Ceux qui pratiquent l'athlétisme dans ces écoles sont surnommés "coureurs de fion".

  • Pourquoi pas après tout, à titre expérimental, mais on se demande pourquoi reconnaître le droit à se protéger aux seuls homosexuels, et pas aux Blancs par exemple, qui pour une par d’entre eux voudraient également échapper à la violence en se retrouvant entre eux mais ne le peuvent pas. Evidemment puisque cette violence colorée et chiffrée du monde adulte (aux USA) n’existe pas dans les dépotoirs que sont devenus les lycées publics américains.
    Cela n’a pas l’air de troubler Julie Bloch (Hervé Ryssen trouverait encore à persifler…), qui comme tout narcissique auto-centré, ne se préoccupe que d’elle-même et de ceux qui lui ressemblent.
    Charlee se plaint d’être discriminée parce qu’elle est bissexuelle. Rien ne la forçait à en faire étalage publiquement, mais comme beaucoup d’entre eux, l’avis et la pudeur des autres ne leur importent guère. On se doit de les accepter, bon gré mal gré. Sinon, mise en route de toute la panoplie soigneusement mise au point pour eux : intolérance, etc.
    « On me discriminait parce que j’étais bissexuelle ».
    On ne saura pas qui est exactement « on », et en quoi exactement consistait la « discrimination », et on n’aura qu’un son de cloche. Qu’importe, le téléspectateur a de l’imagination, soigneusement formaté par les médias, et par le ton du reportage lui-même. Je n’ose imaginer que Charlee ait fait des avances incongrues à une jeune fille qui ait été choquée et ait osé la repousser.
    Le principal lui-même suggère une des objections opposée par ceux qui n’aiment pas l’école pour homosexuels : le retour de la ségrégation, autrement dit le droit de rester entre soi. Nous y voici.
    On se demande bien pourquoi les homosexuels quittent trois fois plus le système scolaire que les gens normaux (qu’on appelle « hétérosexuels » pour faire paraître les deux groupes sur un plan de similarité). Le harcèlement, que je crois bien réel dans le monde d’aujourd’hui, n’explique pas tout, on s’en doute bien. Le comportement du jeune désaxé qui provoque l’ire de la lesbienne « de base » en allant dans les toilettes des filles parce qu’il se prend pour une donne un indice sûr quant au fond de l’explication. La brave camionneuse semble presque équilibrée en comparaison. Le travesti a bien appris sa leçon. Il récite consciencieusement. Ca évite de penser.
    On se demande aussi ce qu’Alfonso a pu faire pour être « viré de trois lycées ». Le reportage taiera là encore pudiquement les raisons. On a envie de démontrer quelque chose, pas de parler de la réalité. C'est-à-dire toute la réalité.
    On profite de la manifestation bonhomme « anti-homo » de la poignée de vieillards (je m’attendais par anticipation à une horde de skinheads vociférants - je regarde trop la télévision) pour montrer le sempiternel hystérique analphabète qui donne des leçons de christianisme aux chrétiens.
    « We’re just as equal as you are » (on est tout aussi égaux que vous). Le slogan dit tout.
    Mais « égalité » ne veut dire ni similarité ni identité ni acceptation obligatoire par les autres. Le désir diffus et inconscient de l’être se devine tout de même. Mais au sein de la société moderne, on les encourage à vouloir que la société change pour eux, et à ne surtout pas se remettre en cause eux-mêmes, ce qui est autrement plus difficile, ceci dit sans ironie. Ce sont des jeunes gens qui souffrent, et ça se voit, mais les idéologies stupides, voire criminelles, les empêchent de voir ce qui ne va pas en les encourageant plutôt à transformer la société à leur image, pour le plus grand profit de l’oligarchie au sommet. Quand tout le monde extérieur ressemble à l’hôpital psychiatrique, les malades ont l’impression de ne pas l’être et ont l’illusion d’un mieux-être.
    Le principal se plaint de la reaction virulente des élèves du lycée voisin à l’encontre des siens. L’audace journalistique n’ira pas jusqu’à nous montrer la trombine des élèves du dit lycée. Les statistiques de la violence aux USA m’engageraient à faire un pari que j’ai toutes les chances de gagner.
    Mais le coupable « intolérant, « bigot » (comme disent les Américains), le téléspectateur imagine bien que c’est un abominable WASP blond aux yeux bleus plein de bible chrétienne, par association d’images et d’idées.
    Les journalistes ne peuvent l’ignorer. Sales racistes intolérants !
    Tout ça baignant dans toute cette idéologie pédagogiste sirupeuse féminoïde (et non pas féminine) qui commence à gangrener notre propre système scolaire : refus des rapports hiérarchiques visibles, refus de la verticalité, refus de l’idée l’autorité assumée, priorités autres que la transmission du savoir réel, négociations à n’en plus finir.
    Heureusement qu’il reste des soldats et des gens normaux garants des idées totalement opposées aux vôtres qui vous assurent l’existence et la tranquillité dans votre petite bulle hygiénique.
    Priez pour qu’ils durent longtemps au lieu de leur cracher dessus.

  • Cher voyageur, vous êtes bien bon de dire ‘elle’ en parlant de charlee ; en fait c’est un petit garçon (qui veut se faire passer pour une fille et ainsi aller dans les WC des filles : il a oublié d’être bête celui-là!).

  • J'ai regardé toute la vidéo, et l'adolescent dont vous parlez semble être "Nacindia"?(), orthographe non-garantie, les méchants blancs racistes se moquant de ce genre de noms typiques qu'inventent les Noirs.
    A la réflexion, Charlee, qui le précède, pourrait bien être un garçon aussi, bien qu'aux traits plus fins. Il est de bon ton à la télé de se plier complaisamment aux névroses de ces malades en versant dans leurs délires. On ne sait plus très bien.

  • Merci, voyageur, pour cette remarquable analyse des franges et des fanges de la société américaine.

    Tous ces jeunes invertis finiront dans la prostitution.

  • Exactement, chère Gaëlle : cette école est une école de prostitution. C’est pour cela qu’elle plait aux merdiats , aux politichiens, au show-bizz, etc..

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