Loin d’être réservée aux seules enceintes de justice, la fameuse « lutte contre les discriminations » est devenue un outil tendance pour qui veut se débarrasser facilement d’un salarié ou d’un collègue de travail en période de crise… Certains employeurs l’ont bien compris et n’hésitent pas à se faire les supplétifs de la HALDE, comme le confirme le licenciement qui sera jugé le 15 Juin prochain devant le Conseil des Prud’hommes de Clermont-Ferrand, évoqué sur le blog du magazine Modergnat.
Une ancienne salariée d’un foyer de jeunes travailleurs de la capitale auvergnate, le foyer Home Dôme, a été licenciée pour faute grave pour avoir cherché, selon ses employeurs, à servir du porc à des stagiaires tunisiens en prononçant cette phrase devant le personnel du foyer, au sujet de l’un des pensionnaires musulmans : « vous êtes témoins, il mange du porc », ce qui serait, selon les responsables du foyer, une atteinte à l’honneur et à la considération dus aux résidants…
Cette version est formellement contestée par la salariée incriminée qui, en tant que commis de cuisine, préparait différents plats pour le repas de midi quand elle s’est retrouvée dans l’obligation de venir en aide à ses collègues pour servir les clients. « Quand les stagiaires tunisiens sont arrivés, il y avait déjà beaucoup de monde et une autre salariée était précisément en train de préparer des pizzas pour eux » explique Me ROESCH, l’avocat de la plaignante. « Cette personne, maîtrisant parfaitement la langue arabe, discutait avec les stagiaires tunisiens. Puis, concomitamment, elle devait, cette fois-ci en français, demander à ma cliente de bien vouloir leur servir deux assiettes de frites. Les stagiaires ont manifesté leur souhait de ne pas être servis par ma cliente qui est retournée en cuisine. Elle ne leur a jamais servi de porc, pas plus qu’elle ne le leur en a proposé. »
Au vu des attestations produites, il semble que les stagiaires en question aient simplement pris en grippe l’employée, estimant qu’elle s’était mis en tête de leur servir du porc en adoptant un ton agressif. Pour l’avocat, les vraies raisons de ce licenciement résulteraient en réalité de considérations économiques, liées à l’effrondrement récent du chiffre d’affaires du foyer. L’avocat du foyer, quant à lui, n’a pas souhaité réagir…
Le Front National de Haute-Loire apporte tout son soutien à cette énième victime de l’antiracisme prétendu, obsessionnel et totalitaire, qui pousse chaque jour des millions de français à se sentir étrangers dans leur propre pays.
Pierre Cheynet, Secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire
Source: NPI - 25 avril 2009
Commentaires
Toujours aussi complexés, ces gens là!
Ils ont dû rendre l'employée, en grippe porcine...
Que d'ennuis nous vaut d'avoir à supporter contre notre gré la présence de ces gens ! En plus, nous pesant faibles, ils doivent nous mépriser. Un comble.
Jusqu’à présent, en matière d’emploi, l’immigration créait du chômage par licenciements. Mais les salariés pouvaient bénéficier des indemnités conventionnelles. Maintenant, grâce à la Halde, les employeurs peuvent se dispenser de donner ces indemnités : il suffit d’avancer un argument tendant à faire croire que ces salariés licenciés ont une attitude prétendument discriminatoire et le tour est joué. Bien sûr, cela ne marche que si les salariés sont des Français de souche, des raciniens. Ca tombe bien car ce sont justement ceux qu’on veut mettre à la porte pour faire la place aux immigrés (qui veulent bien travailler) !
J’espère que le FN pourra défendre efficacement cette nouvelle victime du racisme anti-blanc et anti-Français.
Cher abad, il faudrait que le FN le fasse! En auront-ils l'idée? J'en suis moins sûre...