Un juge de Los Angeles a rejeté jeudi une requête du cinéaste franco-polonais Roman Polanski de voir abandonner les poursuites qui le visent depuis trois décennies pour avoir eu des relations sexuelles avec une mineure de 13 ans, en raison de l'absence du réalisateur à l'audience.
Les avocats de Polanski avaient indiqué lundi que la présence du cinéaste à cette audience n'est "ni nécessaire ni utile".
En décembre dernier, les avocats du réalisateur de "Rosemary's baby" avaient déposé une demande pour obtenir l'abandon des poursuites.
Ils affirmaient avoir mis au jour de nouvelles preuves montrant que le réalisateur, aujourd'hui âgé de 75 ans, n'avait pas bénéficié à l'époque d'une procédure pénale équitable.
Envoyé en "évaluation" en prison pendant trois mois, M. Polanski y avait passé 47 jours. Fin janvier 1978, au lendemain d'une réunion entre ses avocats et un juge lors de laquelle ce dernier avait laissé entendre qu'il allait le renvoyer sous les verrous, Roman Polanski avait pris un avion pour la France d'où il ne peut être extradé, étant de nationalité française selon le droit du sol.
La procédure courant contre lui à Los Angeles n'a jamais été annulée et le cinéaste n'a pas remis les pieds depuis plus de 30 ans sur le sol américain. AFP. 07/05/09
En 1977, Polanski est accusé de viol sur une jeune fille de treize ans : Samantha Geimer. Cette dernière avait été choisie par le cinéaste pour une campagne de photos sur les adolescentes commandée par l'édition française du magazine Vogue. Pendant la séance, sur les hauteurs de Los Angeles, aux abords de la propriété de Jack Nicholson, le 10 mars, il l'aurait saoulée avec de l'alcool et droguée avec un anxiolytique. Il aurait ensuite procédé à des pénétrations sexuelles vaginales et anales de l'adolescente malgré le refus de cette dernière. À la suite d'un procès extrêmement médiatique, il plaide coupable aux principaux chefs d'accusation retenus contre lui par le tribunal californien où il était assigné à comparaître. (Wikipedia)
Commentaires
ça doit bien le faire rigoler, ces moeurs d'antan où il fallait saouler et droguer des gamines de treize ans....
aujourdh'ui ils en ont à profusion, russes, hongroises etc...
et ils se servent tranquillement...
Vous vous étonnez qu'il ait pu pondre une horreur comme "Rosemary's baby" avec une telle mentalité.
Comme le suggère Boris le Lay, il faut lire son oeuvre avec un miroir : ce sont ses propres turpitudes qu'il livre en public... après transfert sur les abominables goyhim, of course.
Une mignonne jeune fille goy prise en main par des adorateurs de Satan répondant au doux nom de Castevet, engrossée dans son sommeil à son insu par on ne sait qui (mais on devine). Son compagnon, ayant un irrepressible besoin de gloire et de reconnaissance, connaît une ascension fulgurante (merci les fils de Satan !). Pour ce faire, on a utilisé le sang du bébé goy. Il semble bien qu'il y ait une malédiction millénaire. Souvenirs, souvenirs...
Lire "les Paques Sanglantes" d'Ariel Toaff. Il a eu assez d'ennuis avec pour avoir osé l'écrire.
@voyageur :
amateur de bons films d'épouvante et SF , j'ai vu ce film sans grille de lecture ethnique et je l'ai trouvé bon.
Par contre, vos propos seraient plus adaptés à un David Cronenberg (scanners,...) nettement plus propagandiste
N'oublions pas que l'amie de Polanski a té assassinée par
Charles Bronson comme dirait l'autre .
Ca, Marcel, on peut dire que ça m'a fiche une sacré frousse quand je l'ai vu. Je ne voulais pas dire qu'il était mauvais. Les "scanners" de Cronenberg, plus "sciencefictionnesque", sont encore plus aussi transparents en effet.
Et dire que c’est ce genre d’ordure que l’on donne en exemple à nos enfants !
J'ai revu il y a peu rosemary's baby.
Lorsque l'on connait le film on fait beaucoup plus attention a chaque parole, chaque geste, situation en bref à chaque détail. et chaque détail est abject. La scène dans laquelle le diable vient "prendre" la jeune femme l'est particuliérement.
Je déconseillerai à des parents de laisser des jeunes filles le regarder. Ce sont les fantasmes démoniaques d'un pervers
A moins qu'effectivement il mette en scène ses propres turpitudes. .