Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

De petits "débris" dont un siège d'avion repérés hors de la route de l'Airbus

Des avions brésiliens ont repéré des débris à 650 km au nord-est du Brésil, sans pouvoir confirmer qu'ils proviennent de l'Airbus A330 d'Air France porté disparu..

 » Quatre numéros d'urgence pour les familles ont été ouverts : un numéro vert pour la France 0.800.800.812. un pour le Brésil 0 800 881 20 20 et un autre pour l'étranger 00.33.1.57.02.10.55. Le ministère des Affaires étrangères a mis en place un autre numéro vert : 0 800 174 174.

16h18 : les débris découverts hors de la route normale de l'Airbus. Les pilotes de l'armée brésilienne qui ont découvert des débris flottants expliquent qu'ils ont été repérés à 60 km de distance et à droite de la route qu'aurait dû suivre l'avion. «Cela suggère qu'il pourrait avoir essayé de faire un virage, peut-être pour retourner à Fernando de Noronha, mais c'est juste une hypothèse», selon Jorge Amaral, porte-parole de l'armée de l'air brésilienne. Les pilotes n'ont vu aucune trace de vie.

15h50 : l'Airbus disparu «au-dessus de l'équivalent sous-marin de la Cordillère des Andes». Le capitaine de vaisseau Christophe Prazuck, porte-parole de l'état-major des armées, explique : «Il faut quand même bien avoir en tête que la zone dans laquelle nous faisons ces recherches surplombe la dorsale médio-atlantique, c'est-à-dire cette chaîne de montagnes -l'équivalent de la Cordillère des Andes- qui prend naissance au fond de l'Atlantique». Selon lui, «la recherche ultérieure d'éléments qui seraient posés au fond de l'océan sera très difficile car le relief sous-marin est très abrupt, et il est surplombé par 4.000 mètres de fond».

15h25 : «pas de piste privilégiée» (Fillon) : Le premier ministre a assuré, lors des questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale, qu' «aucune hypothèse n'est pour l'heure privilégiée». «Notre seule certitude, c'est qu'il n'y a pas eu d'appel de détresse envoyé par l'avion, mais des alertes automatiques régulières pendant trois minutes indiquant la mise hors service de tous les systèmes», selon lui. Outre les trois avions de patrouille maritime mobilisés, «un Awacs (avion radar, ndlr) doit décoller dans quelques instants»

14h54 : Un siège d'avion trouvé à 650 km du Brésil. Les autorités brésiliennes confirment avoir trouvé des débris, dont un siège d'avion, mais aussi de petits débris blancs, qui pourraient être métalliques, et des taches de kérosène, dans l'océan, à 650 km au nord-est de l'archipel de Fernando de Noronha. On ne peut pour l'instant pas confirmer qu'ils proviennent de l'Airbus porté disparu.

13h23: Pas de confirmation des lueurs orange vues par le pilote. Les Forces aériennes du Brésil précisent dans un communiqué qu'un cargo français, le Douce France, a mené des recherches dans la zone indiquée par le pilote, «mais sans identifier de traces» de l'A330 d'Air France. De son côté, le ministre de la Défense Hervé Morin explique que pour l'instant, «il s'agit d'une hypothèse mais qui, pour nous, n'est pas confirmée».

13h12 : «Les recherches n'ont encore rien donné» (militaire). Les recherches menées par des avions brésiliens et français au-dessus de «la zone supposée du crash» de l'Airbus A330 «n'ont encore rien donné», annonce le commandant de la base aérienne de l'armée française à Dakar.Ces recherches sont menées dans une zone de l'océan Atlantique située «à environ 1.000 km des côtes brésiliennes» et «environ 2.000 km des côtes sénégalaises», selon le colonel Mathou.

12h21 : 72 Français, 59 Brésiliens, 26 Allemands (officiel). Des passagers de 32 nationalités dont 72 Français, 59 Brésiliens et 26 Allemands se trouvaient à bord du Rio-Paris d'Air France disparu au-dessus de l'Atlantique, selon le ministère en charge des Transports et la compagnie Air France.

Le Figaro - 2 juin 2009

Les commentaires sont fermés.