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Mais ces misérables qui s’en prennent aux femmes sans aucun jugement sont des exemples de démocrates. Ah, si ces femmes avaient assassiné 3 petits bébés, elles auraient eu droit à toutes les prévenances de la part de ces ordures !
Les mêmes lâches qui se p***aient dessus en croisant des Allemands et dont une partie a essayé de se faire passer pour les "héros" qui assassinaient par surprise des soldats en permission isolés durant l'Occupation.
Leurs descendants idéologiques continuent de combattre courageusement la "Bête Immonde" (AH ! AH !) une soixante d'années après la fin de la Guerre, collaborant à une autre occupation autrement plus actuelle et mal intentionnée.
Les petites décérébrées qui couchent avec l'occupant actuel, qui n'a lui rien d'un cousin germain, seraient bien inspirées de prendre connaissance de ces images.
Cher abad et cher voyageur, vos réactions sont les miennes! Je me permets de co-signer vos excellents commentaires!
J'ai acheté au vide grenier de Manosque, dimanche dernier, un HISTORIA de septembre 204, le numéro 693.
Le ton des journalistes est plutôt honteux sur cette période, et ces évènements. Ces pauvres femmes n'avaient pas toutes couché avec l'occupant. Certaines avaient été réquisitionnées par la mairie, sur demande des allemands, pour travailler pour eux, dans les cantines, comme repasseuse, etc... C'est ce simple contact qui les a faites "collabo".
Ma grand-mère m'a dit que des soldats les avaient aidé à monter leurs bagages, et laissé une place assise dans le train. Mais elle ne les supporte pas.
Dans HISTORIA, il est écrit: "Les départements ayant le moins d'exécutions sommaires sont en majorité de tendance politique modérée ou conservatrice."
Donc, partout où le front populaire était en tête, il y eu plus d'exactions. Certains défendaient la FRANCE, d'autres faisaient la révolution...
@arauris: merci pour ton commentaire! A Marseille, c'étaient bien les Rouges qui semaient la terreur, tondaient, violaient, torturaient et exécutaient, puis vols et pillages des petits commerçants... Ils s'étaient cachés dans le maquis, crevant de trouille... C'étaient les FFI, "Forces françaises de l'Intérieur"! Tout le monde en avait peur... Ils passaient en traction avant noire, en chantant, en hurlant! Tous cocos!
Dans la région toulousaine, c'était les républicains espagnols qui faisaient la loi, semaient la terreur et réglaient leurs comptes à la "Libération".
On n'est pas vaincu deux fois par hasard.
Une chanson qui devrait les ragaillardir :
http://www.youtube.com/watch?v=a6XOLdcuhIo
@gaëlle
Attention, FTP=franc-tireur partisan=rouge
FFI=forces françaises de l'intérieur=monarchistes+patriiotes,etc...
J'ai un livre sur la milice qui dit que dans le sud-ouest, en dordogne, les ffi et l'occupant se sont associés pour nettoyer le secteur des rouges, dans une opération.
Merci à tous de ces éclairages nouveaux sur LHLPSDNH@ (les heures les plus sombres de notre histoire).
A Toulouse, c'est un des lieutenants de Pierrot le fou qui s'occupa de l'épuration..Ça en dit long!
Les FTP exécutaient, qui un noble, un maire ouvertement contre le Front Populaire, un cagoulard, etc...
Ce sont malheureusement, les vainqueurs qui écrivent l'histoire.
Merci pour votre blog si subvresif!
Un membre défunt de ma famille fut un jeune FTP de base. Naïf et sincère, et qui ne s'aperçut jamais alors de qui tirait les ficelles.
A ts'en prendre lâchement celles qui, à tort ou à raison, avaient eu des relations de jeunesse avec les cousins germains, ils nous ont préparé ce beau progrès :
"Pourvou que ça doure" peuvent se dire leurs maîtres à l'instar de Laetitia Bonaparte. Ce qui m'amuse -sardoniquement- le plus, ce sont les occupants et les collabos qui croient que la situation est irréversible et la partie déjà jouée. Laissons les le croire, le réveil va être rude.
Ma grand mère m'avait raconté que deux prisonniers français en revenant avaient trouvé leur femme tondues.
ils sont allés ensemble trouver la coiffeuse qui avait fait la chose, sur ordre Un samedi veille de fête.
Bonjour les gars , vous venez pas le bon jour le salon est plein !
Oh on vient pas pour la coupe, on en a pas pour longtemps, on vient payer nos dettes.
Vos dettes ?
On vient payer la coupe que t'a fait à nos femmes.
Ils ont regardé le tarif, ils ont laissé l'argent
T'a le pourboire en plus
Et ils sont repartis.
@arauris: non, du moins à Marseille, ils s'appelaient eux-mêmes FFI. Ma grand'mère avait une voisine qui était la mère d'un Rouge, qui dirigeait le journal "Rouge Midi" et elle disait avec fierté que son fils était un FFI. Par dérision, les gens les appelaient les "Fifis"; tout le monde connaissait leurs trafics au marché noir, sous couleurs de "résistance"... La mère du FFI en question n'a jamais manqué de rien et s'en vantait... Ils étaient communistes bon teint.
Je pense que suivant les régions, ils choisissaient ou non une appelation... Il y avait beaucoup de confusion parmi ces "résistants", le plus souvent de la dernière heure, et comme on dit, les vrais héros sont morts. Comme le jeune d'Estienne d'Orves, qui a une place et un un cours à son nom à Marseille.
Commentaires
Mais ces misérables qui s’en prennent aux femmes sans aucun jugement sont des exemples de démocrates. Ah, si ces femmes avaient assassiné 3 petits bébés, elles auraient eu droit à toutes les prévenances de la part de ces ordures !
Les mêmes lâches qui se p***aient dessus en croisant des Allemands et dont une partie a essayé de se faire passer pour les "héros" qui assassinaient par surprise des soldats en permission isolés durant l'Occupation.
Leurs descendants idéologiques continuent de combattre courageusement la "Bête Immonde" (AH ! AH !) une soixante d'années après la fin de la Guerre, collaborant à une autre occupation autrement plus actuelle et mal intentionnée.
Les petites décérébrées qui couchent avec l'occupant actuel, qui n'a lui rien d'un cousin germain, seraient bien inspirées de prendre connaissance de ces images.
Cher abad et cher voyageur, vos réactions sont les miennes! Je me permets de co-signer vos excellents commentaires!
J'ai acheté au vide grenier de Manosque, dimanche dernier, un HISTORIA de septembre 204, le numéro 693.
Le ton des journalistes est plutôt honteux sur cette période, et ces évènements. Ces pauvres femmes n'avaient pas toutes couché avec l'occupant. Certaines avaient été réquisitionnées par la mairie, sur demande des allemands, pour travailler pour eux, dans les cantines, comme repasseuse, etc... C'est ce simple contact qui les a faites "collabo".
Ma grand-mère m'a dit que des soldats les avaient aidé à monter leurs bagages, et laissé une place assise dans le train. Mais elle ne les supporte pas.
Dans HISTORIA, il est écrit: "Les départements ayant le moins d'exécutions sommaires sont en majorité de tendance politique modérée ou conservatrice."
Donc, partout où le front populaire était en tête, il y eu plus d'exactions. Certains défendaient la FRANCE, d'autres faisaient la révolution...
@arauris: merci pour ton commentaire! A Marseille, c'étaient bien les Rouges qui semaient la terreur, tondaient, violaient, torturaient et exécutaient, puis vols et pillages des petits commerçants... Ils s'étaient cachés dans le maquis, crevant de trouille... C'étaient les FFI, "Forces françaises de l'Intérieur"! Tout le monde en avait peur... Ils passaient en traction avant noire, en chantant, en hurlant! Tous cocos!
Dans la région toulousaine, c'était les républicains espagnols qui faisaient la loi, semaient la terreur et réglaient leurs comptes à la "Libération".
On n'est pas vaincu deux fois par hasard.
Une chanson qui devrait les ragaillardir :
http://www.youtube.com/watch?v=a6XOLdcuhIo
@gaëlle
Attention, FTP=franc-tireur partisan=rouge
FFI=forces françaises de l'intérieur=monarchistes+patriiotes,etc...
J'ai un livre sur la milice qui dit que dans le sud-ouest, en dordogne, les ffi et l'occupant se sont associés pour nettoyer le secteur des rouges, dans une opération.
Merci à tous de ces éclairages nouveaux sur LHLPSDNH@ (les heures les plus sombres de notre histoire).
A Toulouse, c'est un des lieutenants de Pierrot le fou qui s'occupa de l'épuration..Ça en dit long!
Les FTP exécutaient, qui un noble, un maire ouvertement contre le Front Populaire, un cagoulard, etc...
Ce sont malheureusement, les vainqueurs qui écrivent l'histoire.
Merci pour votre blog si subvresif!
Un membre défunt de ma famille fut un jeune FTP de base. Naïf et sincère, et qui ne s'aperçut jamais alors de qui tirait les ficelles.
A ts'en prendre lâchement celles qui, à tort ou à raison, avaient eu des relations de jeunesse avec les cousins germains, ils nous ont préparé ce beau progrès :
http://www.youtube.com/watch?index=1&playnext_from=PL&feature=PlayList&p=955DF4A24BCE684F&v=i5HOp_WgYNQ&playnext=1
"Pourvou que ça doure" peuvent se dire leurs maîtres à l'instar de Laetitia Bonaparte. Ce qui m'amuse -sardoniquement- le plus, ce sont les occupants et les collabos qui croient que la situation est irréversible et la partie déjà jouée. Laissons les le croire, le réveil va être rude.
Ma grand mère m'avait raconté que deux prisonniers français en revenant avaient trouvé leur femme tondues.
ils sont allés ensemble trouver la coiffeuse qui avait fait la chose, sur ordre Un samedi veille de fête.
Bonjour les gars , vous venez pas le bon jour le salon est plein !
Oh on vient pas pour la coupe, on en a pas pour longtemps, on vient payer nos dettes.
Vos dettes ?
On vient payer la coupe que t'a fait à nos femmes.
Ils ont regardé le tarif, ils ont laissé l'argent
T'a le pourboire en plus
Et ils sont repartis.
@arauris: non, du moins à Marseille, ils s'appelaient eux-mêmes FFI. Ma grand'mère avait une voisine qui était la mère d'un Rouge, qui dirigeait le journal "Rouge Midi" et elle disait avec fierté que son fils était un FFI. Par dérision, les gens les appelaient les "Fifis"; tout le monde connaissait leurs trafics au marché noir, sous couleurs de "résistance"... La mère du FFI en question n'a jamais manqué de rien et s'en vantait... Ils étaient communistes bon teint.
Je pense que suivant les régions, ils choisissaient ou non une appelation... Il y avait beaucoup de confusion parmi ces "résistants", le plus souvent de la dernière heure, et comme on dit, les vrais héros sont morts. Comme le jeune d'Estienne d'Orves, qui a une place et un un cours à son nom à Marseille.
Mais je n'en dirai pas davantage sur ce sujet .