En 2002
L'enquête sur l'attentat de Karachi en 2002 contre des salariés des arsenaux d'Etat DCN, dans lequel onze ingénieurs français sont morts, s'oriente, selon l'avocat de sept familles de victimes, vers une "affaire d'Etats" et non plus vers Al-Qaïda. Le dossier serait lié à un contrat d'armement négocié en 1994, sous le gouvernement Balladur dont Nicolas Sarkozy était le lieutenant.
Le contrat lié à l'attentat de 2002 a été négocié sous le gouvernement Balladur. (Reuters) Un attentat au Pakistan n'a pas toujours le terrorisme comme mobile. Celui de Karachi en 2002 pourrait même se transformer en "affaire d'Etats" selon les juges antiterroristes en charge du dossier, Marc Trévidic et Yves Jannier. Le 8 mai 2002, onze techniciens français de la Direction des constructions navales (DCN) de Cherbourg avaient été tués dans l'explosion d'une voiture kamikaze à Karachi. Selon l'avocat de sept familles de victimes, la piste Al-Qaïda a été totalement abandonnée. "Le mobile de l'attentat apparaît lié à un arrêt des versements de commissions" de la France au Pakistan dans le cadre de la vente de sous-marins Agosta, a expliqué Me Olivier Morice.
Le JDD - 19 juin 2009
Commentaires
On croirait une blague !
Sarkozy ne cesse de répéter "c'est ridicule"; ses mimiques , ses rires nerveux, ses répliques sont ridicules ; IL est ridicule .
C'est à peine croyable .
Le joueur de flûte élyséen doit rapidement envoyer la bravitude Royale faire des excuses à Al-Quaïda.