Liza Minnelli est actuellement à Paris, où elle doit se produire samedi soir pour le public du Palais des Congrès. Mais avant son récital, la chanteuse américaine a fait une rapide apparition, qui n'était pas annoncée, au départ du cortège de la Gay Pride.
L'artiste a été accueillie par le maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë, un fidèle de ce rassemblement, ainsi que par Jean-Paul Huchon, président PS de la région Ile-de-France et Harlem Désir, membre de la direction du PS et député européen.
Environ 200.000 personnes selon la police et 700.00 selon les organisateurs ont participé à cette Marche des Fiertés fiertés lesbiennes, gay, bi et transsexuelles. Cette foule immense est partie vers 14H00 de Montparnasse pour converger au son de musiques pop ou techno vers la place de la Bastille (XIe), dans un cortège haut en couleur et observé par des milliers de badauds.
Le slogan «1969-2009 : fier(e)s de nos luttes, à quand l'égalité réelle ?» revient sur 40 années de combat pour la reconnaissance et les droits de ces personnes.
«Il nous manque toujours le droit au mariage, à l'adoption, à la procréation médicalement assistée pour les couples de lesbiennes, et la mise en oeuvre de la dépsychiatrisation des transsexuels promise par la ministre de la Santé en mai», a déclaré avant le début de la manifestation Philippe Castel, porte-parole de l'Inter LGBT (interassociative lesbienne, gay, bi et transsexuelle, regroupant une cinquantaine d'associations)
Le Parisien - 27 juin 2009
Commentaires
Le pd qui s’appelle Liza Minelli, il couche avec Delanoë ou Huchon ? Les merdiats doivent se faire les choux gras de ce genre de ragots ! Comme ces gens là sont intéressants !
Vu un commentaire rigolo sur un forum :
"la Minelli, elle a vite oublié son Michael Jackson, pour se jeter dans les bras de Delanoe".
Du pain, des jeux et de la gaypride !
La décadence s'accélère; paradoxalement, c'est bon signe; le chaos semble être la seule solution pour renaître.
Plusieurs organisations et personnalités avaient annoncé leur intention de défiler: Amnesty International, Act Up-Paris, CFDT, le collectif "Démocratie et courage" regroupant notamment l'Union nationale lycéenne et l'UNEF, et le délégué interministériel pour l'égalité des chances des Français d'Outre-mer Patrick Karam
Autour du maire de Paris Bertrand Delanoë, sa première adjointe Anne Hidalgo, mais aussi Alain Krivine, ancien candidat de la LCR à la présidentielle, Jean Luc Roméro (ex-UMP), ou encore Bruno Julliard, président du syndicat étudiant UNEF.
Exprimant de "profonds désaccords" avec le nouveau gouvernement, notamment en matière d'homoparentalité et des droits qui en découlent, comme ceux liés à la filiation, l'Inter-LGBT avait fédéré autour du thème de l'égalité (entre couples de même sexe et couples hétérosexuels) la soixantaine d'associations qu'elle représente en France.
"Au niveau européen, il reste encore fort à faire", confiait à l'AP dans le cortège Harlem Désir, eurodéputé PS et fondateur de SOS Racisme. "N'oublions pas que pour certains pays de l'UE, dont la Pologne, l'homosexualité est encore considérée comme une maladie".
Ils veulent donner leur sang! Mais c'est encore interdit... jusqu'à quand?
Pourrir notre jeunesse et notre civilisation ne leur suffit pas. Ils veulent la corrompre physiquement. Quand le monde entier est devenu un asile psychiatrique, les malades ont l'impression de ne plus être névrosés. Plus de point de comparaison douloureux, ils ne sont plus seuls, tout le monde est comme eux.
On notera la récurrence systématique, obsessionnelle des mots "encore" et "toujours", qui essaie de faire accroire que ceci fait partie d'une avancée imaginaire, avancée dont on essaie de persuader du caractère inéluctable à force de la répétition de ces mantras.
Névrosés.
Ils ne se rendent même plus compte qu'ils nuisent à ceux qui ont trouvé un équilibre viable et qui aimeraient rester discrets au lieu de se voir assimilés à ces perturbés égocentriques et méprisant complètement le droit des autres à ne pas vouloir subir leur influence et les idées qu'ils tentent de leur imposer d'une façon apparemment victorieuse mais qui va bientôt leur exploser à la figure. Qu'ils ne viennent pas pleurnicher ce jour-là.
A Voyageur : permettez-moi de co-signer votre excellent commentaire.
Delafiotte , le temps t'use !
D'accord avec Voyageur sur la publicité négative que ces exhibitions provocatrices font à l'homo discret et respectable et sur les conséquences futures pour les homos .
Liza Minelli ou Anthony "Gouine" ?
God no save the gouines and gouins