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L'Espagne de Zapatero veut renier son histoire

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Militants franquistes
(Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)
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L'abbé de la basilique Santa Cruz del Valle de los Caidos, le mausolée où repose Francisco Franco près de , a annoncé lundi sa décision de ne plus y célébrer de messe de funérailles chaque 20 novembre, à la date anniversaire de la du dictateur espagnol (20 novembre 1975).
Cette messe, coïncidant aussi avec la date de la mort de José Antonio Primo de Rivera (20 novembre 1936), le fondateur de la phalange espagnole (extrême-droite) et mentor idéologique de Franco à côté duquel il repose, donnait lieu chaque année à un rassemblement de "nostalgiques" du franquisme.

Ces rassemblements sont toutefois interdits depuis l'entrée en vigueur fin 2007 de la loi de réhabilitation des victimes du franquisme, dite de "Mémoire historique", votée en 2007 à l'initiative du gouvernement socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero, et qui prévoit de "dépolitiser" ce lieu.

Dans un article publié lundi par le quotidien conservateur et catholique ABC, Anselmo Alvarez, le responsable de l'abbaye bénédictine voisine du mausolée où reposent sous une immense crypte les restes de 40.000 à 60.000 victimes de la guerre civile (1936-39) explique longuement sa décision.

Une messe de funérailles en mémoire de toutes les victimes de la guerre civile, de portée "exclusivement religieuse et ouverte à tous", sera désormais célébrée chaque 3 novembre et non plus le 20 novembre.

Ce changement de date vise à "contribuer à préserver la signification" de cet office religieux, souligne l'abbé.
La mémoire liturgique correspondant aux anniversaires de la mort de Franco et de Primo de Rivera, continuera d'être célébrée le 20 novembre, mais lors de la messe quotidienne ordinaire des moines bénédictins de l'abbaye.

Les associations de victimes républicaines du franquisme ont réclamé en vain que la dépouille de Franco soit déplacée vers un cimetière privé et que la Valle de los Caidos abrite à l'avenir un centre de mémoire historique sur la guerre civile.
Le parisien - 14 septembre 2009

 

Commentaires

  • Une saloperie de plus. Sans Franco, l'Espagne tombait sous le joug du communisme le plus répugnant (n'oublions pas ses origines, ses pères, tous de la même "ethnie")
    Franco n'a fait que prendre conscience de la mort inévitable de sa Patrie, sa réaction fut saine, les républicains n'étaient que des tueurs (sans compter un nombre d'églises et monastères détruits, de religieuses violées, déterrées même etc..)
    Pio Moa communiste Espagnol fut pris de dégoût en fouillant les archives auxquelles il avait libre accès, et il publia un ouvrage dénonçant le parti communiste qu'il quitta et dont il devint l'ennemi.
    Son livre en Espagnol : (de mémoire) "Los mitos de la guerra civila".
    Le "Chef" actuel APACHTERO , est un nouveau destructeur de ce Pays, il a fait détruire les statues de Franco, mais avec courage, comme les lâches, LA NUIT.

  • Il faut ajouter que l'Apache, a fait retoucher les manuels d'Histoire Espagnole, vous devinez dans quel sens.

    Et c'est un ordre.

  • Voilà du vrai révisionnisme ! On invente de toute pièce une histoire fantasmée ! Pauvre Espagne soumise à ces faussaires ! Les forces anti-nationales soumises au lobby qui n’existe pas tente de détruire tous les pays européens, jusqu’à leur mémoire !

    A turigol : merci pour ces informations. Il est pour le moins piquant d’apprendre que les mêmes qui se sont indignés de la destruction des statues du Boudha, détruisent les statues des héros historiques de leur pays. Mais, c’est vrai qu’ils le font de nuit !

  • @turigol
    J'ignorais que les statues de Franco avaient été détruites !
    Franco a en effet sauvé son pays du communisme, ce que la bande ne lui pardonne pas .
    En tout état de cause , on ne détruit pas des statues : elles font partie du patrimoine national ; on peut les retirer, mais pas les détruire .
    Que les forces antieuropéennes et antichrétiennes payent au centuple leurs ignominies.

  • @ Catherine

    C'est de nuit que les statues de Franco étaient "deboulonnées", ce que j'ai traduit par détruites.
    Le fait de les retirer ainsi, c'est ôter de la vue de tous ,des objets familiers auxquels on ne fait pas toujours attention. Or les dites statues ne risquent pas d'être replacées, je pense qu'avec le temps tout le monde les oubliera, il sera facile, après les avoir détruites dans les esprits de les faire disparaître pour du bon.

  • @turigol
    La roue tourne ; il faut espérer ; Franco était aimé de la majorité des espagnols , quoique l'on dise .
    Merci pour votre précision.

  • @ Catherine

    Plus surprenant encore, des Espagnols qui haîssaient Franco, se réjouissant de sa mort, le regrettèrent vivement plus tard, en voyant désormais s'installer le désordre, l'immoralité (pas ciné porno avant), une certaine violence, puis le démantèlement du Pays recherché par deux importantes régions d'Espagne.
    Donc ces gens prenaient conscience d'un grand danger, maitrisé par Franco, et hélàs de plus en plus grand en Espagne maintenant. Une guerre civile n'est pas improbable, certains la désirent pour détruire cette Grande Nation.

    Apachtero représente la dictature gauchiste désirant affaiblir ce Grand Pays.

  • @Catherine: "Franco a en effet sauvé son pays du communisme": absolument! - et n'oublions pas la Légion Azul, sur le front de l'est, en Russie, se battant comme des démons! Les Espagnols étaient très admirés par leurs camarades de la LVF! Lire Marc Augier (Saint-Loup)!

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