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"Il nous aurait tous tués"

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La maison du professeur à Juvignac

Que s’est-il passé lundi soir ?

Vers 22h30, le professeur a entendu que quelqu’un essayait d’actionner la poignée de sa porte d’entrée. Il est sorti et a aperçu, dans le jardin, un homme cagoulé et armé.

Ce dernier a foncé sur lui en criant: "Bouge pas!" Il l’a poussé dans la maison et lui a dit, ainsi qu'à sa femme, de se coucher au sol, face contre terre, selon MidiLibre.

Il a répété à la femme de se coucher complètement et d’écarter les jambes. "J’ai tout de suite pensé qu’il voulait la violer", raconte le professeur au Midi Libre.

Toujours selon le témoignage du professeur, l'agresseur a ensuite fait descendre le fils de 11 ans du couple qui se trouvait à l'étage. "L'homme n'arrêtait pas d'insulter ma femme", précise t-il encore au MidiLibre.

L'agresseur voulait de l'argent. Il a aspergé d'essence les trois membres de la famille et a menacé: "J’ai un briquet. Si vous bougez, je vous brûle." Puis, il a commencé à sortir des cordes de son sac.

La femme s'est alors relevée, mais l'individu lui a envoyé un violent coup de pied dans la tête, toujours selon MidiLibre.

Le professeur s'est rué sur lui, a saisi le poignet droit dans lequel il avait son arme. "Je l’ai fait tomber et je l’ai immobilisé. Dans la lutte, son pull est remonté sur sa tête, par-dessus sa cagoule. Il n’y voyait plus rien. Je l’ai maintenu à terre, allongé sur le dos", précise encore le professeur au journal.

A cet instant précis, sa femme en a profité pour appeller de l'aide.

L'homme s'est débattu et a appelé à plusieurs reprises le professeur par son nom.

"Je commencais à perdre prise, le sol couvert d'essence était glissant. Contrairement à ce qu’on a pu dire, je ne l’ai pas étranglé: à aucun moment je n’ai serré sa gorge avec mes mains. Je n'ai pas voulu le tuer", affirme le professeur au MidiLibre.

"Ensuite, les gendarmes sont arrivés, mais ils ne sont pas intervenus tout de suite car ils ne savaient pas qui, de nous deux, était l’agresseur. Puis ils sont rentrés, m’ont mis face à terre, m’ont menotté. J'ai expliqué que j'étais le propriétaire. Et là, les gendarmes m’ont dit que l’homme était mort" confie-t-il au MidiLibre.

Avant d'ajouter: "Je pense qu'il nous aurait tué tous les trois. Il était extrêmement déterminé ".

Pourquoi l'agresseur a-t-il fait ça?

Concernant leur agresseur, le professeur pense qu'il peut s’agir d'un étudiant qui était venu le voir en 2008.

A l’époque, l'enseignant était responsable d'un diplôme de licence. L'étudiant voulait qu'il lui valide une ou plusieurs disciplines pour lesquelles il avait eu des notes médiocres.

"J'ai refusé. Alors, il m’a posé alors la main dans le dos en disant : 'Mon ami, on peut toujours trouver une solution.' Je lui ai répondu : 'Oui il faut repasser l'examen.' Il m’avait paru énervé et menaçant", raconte t-il.

Contrairement à ce que nous a déclaré le procureur-adjoint de Montpellier, qui nous rapportait que cet élève "n'avait pas eu de réaction particulière."

Depuis l'agression, le professeur confie au journal: "Depuis cette nuit-là, cet homme hante notre vie et notre maison. Nous ne sommes plus trois, mais quatre."

 Le Post- 22 octobre 2009

Commentaires

  • ----Ce professeur s'est livré à un odieux crime raciste ; mais que fait le MRAP, la LICRA, SOS Racisme, Touche pas à mon pote. A quand une marche silencieuse, avec des pancartes "plus jamais çà". Adieu Said, tu es mort au combat contre l'infidèle et te voilà bientôt au paradis où t'attendent environ 72 verges, non pardon, vierges.

  • Et tout cela se terminera par la pose d'une plaque commémorative C'est la nouvelle tradition .
    Chaque rue doit etre marquée par le nom d'un martyr de l'immigration .

  • Je me disais aussi que la thèse de l'étrnglement (shime waza) effectué par un professeur en sociologie censé être un freluquet démocratique était curieuse .
    Placé dans les mêmes circonstances et sans être présomptueux , je lui aurais fait un étranglement de judo jusqu'à ce que la mort s'en suive : c'est mon tarif pour une attaque à main armée .

  • Des Français chez eux, molestés par l'Etat complice de cette fange qui empoisonne notre vie. Un voyou de moins, c'est de la propreté en plus.

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