Roman Polanski, libéré début décembre sous caution par la justice suisse après deux mois de détention et assigné à résidence dans son chalet de Gstaad, a demandé aujourd'hui au Tribunal de grande instance (TGI) de Paris de condamner Le Parisien, pour avoir publié des photos de lui et de sa famille.
Les photos incriminées ont toutes été publiés lors de la libération de Roman Polanski, alors qu'il se trouvait dans son chalet de Gstaad (Suisse) où il est désormais assigné à résidence dans l'attente d'une éventuelle extradition vers les Etats-Unis.
Le 5 décembre, le Parisien avait publié trois photos pour illustrer un article intitulé "Polanski a retrouvé les siens" : l'une de Polanski arrivant à Gstaad, l'autre de sa femme, Emmanuelle Seigner derrière la vitre du chalet, et la troisième du fils du réalisateur alors qu'il s'aventurait dans le jardin enneigé.
Considérant que ces clichés représentaient une atteinte à leur droit à l'image et à l'intimité de leur vie privée, le couple Polanski a assigné le quotidien en référé. Ils réclament un total de 40.000 euros de dommages et intérêts.
Le Figaro - 06.01.10
Commentaires
Bon, on a compris : il a droit à l’image. Mais a-t-il droit à une sodomie ? Voilà la question !
Quelles pourritures !
Après avoir profité de la complicité de ses congénères, ce violeur pédophile sodomite réclame 40 000 Euros !
Mais s'il était resté en prison, il n'aurait pas été photographié !!!!
En quoi ces photos portent-ils atteinte à l'image de ce couple de tarés , eux , qui avant que le pédophile ne soit arrêté, recherchaient les flashs des photographes !!!!!
Bon allez, c'est bien fait pour ce "journal" qui n'est pas de notre bord.