Le tribunal correctionnel de Lille a condamné mercredi à trois mois de prison avec sursis la mère qui s'était vengée de l'agression sexuelle commise contre son fils de sept ans, en attaquant son auteur à coups de matraque. Laurence Debruyne, 41 ans, s'en était prise le 24 août dernier au jeune homme de 19 ans, depuis condamné à trois ans de détention pour l'agression sexuelle du garçonnet qui avait eu lieu à Lille, deux jours plus tôt.
Elle comparaissait pour violences avec préméditation, auxquelles elle avait associé son autre fils de 14 ans, avec pour objectif de tuer 'agresseur. "Mon intention était de le frapper, même de le tuer. On ne touche pas aux enfants", a-t-elle proclamé devant la cour.
Sa victime, qui a témoigné au procès, n'avait été que légèrement blessée. Le procureur avait requis six mois de prison avec sursis et 40 heures de travail d'intérêt général.
Me Katherine Hoste, avocate de la mère vengeresse, avait souligné que la colère de sa cliente avait été déclenchée par la décision de la justice de libérer l'agresseur, qui restait néammoins sous strict contrôle judiciaire. Cette décision avait été justifiée par l'état psychiatrique du jeune homme, qui nécessitait des soins plutôt qu'un placement en détention.
TF1 News - 14.01.10
Commentaires
Bizarre ce genre de présentation des événements. Il y a toujours adéquation entre la Psychiatrie et la non divulgation
des noms ou prénoms des malfaisants lorsqu'ils ne sont pas de chez nous.
Systématiquement il y a mariage de la malhonnêteté avec le politiquement correct.
Publions les bans, dès que nous sommes renseignés.
Qui d'entre nous oserait se dire en désaccord avec cette Mère de famille, elle sait que l'Ajustice est un bide honteux et trop souvent digne de mépris mérité.
la justice n,étant plus à la hauteur des faits, ma compréhension va à cette mére de famille!salutations.
« On ne touche pas aux enfants » : cette courageuse mère de famille a parfaitement résumé la morale qui s’impose à tous. Malheureusement, notre justice inversée fait le contraire : elle s’empresse de libérer les agresseurs d’enfants et condamne ceux qui défendent les enfants. Cette justice à l'envers est, hélas, cohérente avec la politique, tout aussi inversée !
« On ne touche pas aux enfants » : cette courageuse mère de famille a parfaitement résumé la morale qui s’impose à tous. Malheureusement, notre justice inversée fait le contraire : elle s’empresse de libérer les agresseurs d’enfants et condamne ceux qui défendent les enfants. Cette justice à l'envers est, hélas, cohérente avec la politique, tout aussi inversée !