Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Frêche: le CRIF s'inquiète...

Les propos de Georges Frêche, président sortant du Languedoc-Roussillon, déclarant que Laurent Fabius "a une tronche pas catholique", ont suscité des réactions de plusieurs associations.


Le Conseil Représentatif des Institutions Juives de France (CRIF) "déplore que dans sa récente déclaration au sujet de Laurent Fabius, Monsieur Georges Frêche prenne le risque de réveiller des stéréotypes antisémites qu'il importe d'effacer du débat public".
"Le passé de monsieur Frêche témoigne de son rejet de l'antisémitisme, mais une telle déclaration n'en reste pas moins inacceptable", ajoute le CRIF dans un communiqué.

La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) estime que "ces nouvelles exactions le jour de l'anniversaire de la libération d'Auschwitz et le lendemain de la visite du président de la République au cimetière militaire de Notre-Dame-de-Lorette sont de nouvelles preuves de la vitalité et de la vivacité des courants racistes, antisémites et nazis dans notre pays". "Ceci n'est pas une coïncidence, c'est une véritable provocation et un défi lancés aux autorités de la République", ajoute la LICRA dans un communiqué.

Le Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) se déclare "scandalisé par ces propos, qu'il faut bien qualifier d'antisémites, et les condamne sans aucune réserve.

Le Figaro - 28.01.10

Commentaires

  • Qu'il soit antisémite ou non, m'est totalement égal, l'essentiel c'est de lutter contre tous ceux qui insultent et emmerdent la France.
    CRIF + CRAN , où sommes nous, Nous Français, dans tous ces trucs, inconnus autrefois, quand la FRANCE était une grande Nation ?
    Là, pour cette fois, je suis vraiment scandalisé, je vais adhérer au CRAIE " Conseil Représentatif Auxiliaire des Intérêts Exclusifs" des Français, les Seuls.

  • Excellent,le CRIF a un autre os à ronger que celui du F.N,il auront du mal à le faire passer à la caisse le languedocien.

  • A JLA : je crois que c’est plutôt Frêche qui tient la caisse !
    Le crif fait semblant de s’indigner. En fait, ils sont très satisfaits : avec la fête du 65ème anniversaire, le cimetière de Kronenbourg et Frêche, ils ont du grain à moudre pour plusieurs jours!

  • ILS sont en train d'essayer de bannir de la langue française toutes les expressions qui ne leur conviennent pas ; "pas catholique " ne leur convient pas ; c'est normal , ils haissent le catholicisme ; j'en connais d'autres !
    Frêche est leur complice , et ce d'autant plus qu'il n'est pas au mieux de sa forme ; mais ça marche , à en lire certains commentaires .

  • Qui n'est pas lassé du CRIF et de son hégémonie à vouloir tout régenter et diriger?

    Qu'ils soignent leurs névroses et arrêtent d'enquiquiner le monde avec leurs éternelles lamentations et autres ritournelles facétieuses.

    Ces nantis financièrement bien assis par leurs attitudes rancunières et revendicatrices deviennent les fossoyeurs de la liberté.

  • Qu'en pense la Mère de Frêche ??

  • sacré Fréche ! pourtant il tient bien sa région,il n,a besoin de pub supplémentaire pour étre connu et réélu!ne parlant pas des associations qui sont dans leur role! mais de voir certains élus du PS qui font mine grise, ç,est plutot cocasse!salutations.

  • Bravo turigol ! J’avoue qu’il m’a fallu plusieurs secondes pour comprendre ! Chapeau bas ! J’en ris encore !

  • En réaction à "Le passant ordinaire"

    Bonjour,

    Nous vous serions reconnaissants de ne pas utiliser ce pseudonyme « Le Passant Ordinaire » qui est le nom depuis 1994 d’une revue de pensée critique, d’une maison d’édition et la signature de l’éditorial de notre rédaction.

    Thomas Lacoste

  • En réaction à "Le passant ordinaire"

    Bonjour,

    Nous vous serions reconnaissants de ne pas utiliser ce pseudonyme « Le Passant Ordinaire » qui est le nom depuis 1994 d’une revue de pensée critique, d’une maison d’édition et la signature de l’éditorial de notre rédaction.

    Thomas Lacoste

Les commentaires sont fermés.