Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Elodie, 15 ans, rouée de coups à la sortie de son collège

Le calvaire vécu par Elodie, une collégienne de 15 ans, à la sortie de son établissement du Tremblay-en- (Seine-Saint-Denis) vient épaissir le dossier de la violence en milieu scolaire, revenu brutalement sur le devant de l'actualité avec l'agression commise il y a un peu plus d'une semaine dans un lycée de Vitry-sur-Seine.

C'est la radio Europe 1 qui révèle ce matin cette nouvelle affaire.

 

Selon la radio, les faits se seraient produits le 18 janvier dernier. Ce jour-là, dans la cour du collège René Descartes au Tremblay-en-, Elodie voit passer une balle entre ses jambes. Ses camarades éclatent de rire. «Après, ils sont venus me voir, ils ont dit tu es morte à la sortie», raconte l'adolescente qui ne comprend pas qu'elle vient d'être désignée comme victime d'un jeu baptisé «jeu de la boule» par Europe 1 et «petit pont» par l'AFP. A la sortie du collège, elle est soudain entourée par plusieurs dizaines de collégiens qui la frappent sans retenue. Selon la mère d'Elodie, certains des élèves filment la scène. Elodie qui souffre de nombreuses contusions et de trois côtes fêlées, s’est vu notifier une ITT de 15 jours.

La jeune fille et ses parents ont porté plainte. Trois des agresseurs ont été exclus temporairement du collège et auraient depuis repris les . Elodie, elle, traumatisée, attend toujours que l'Education nationale lui trouve un nouvel établissement pour pouvoir finir son année scolaire.

Selon Europe 1, une équipe mobile de sécurité qui se trouvait à proximité au moment des faits n'est pas intervenue. Ces équipes ont été constituées par l'Education nationale, justement pour enrayer la violence scolaire.

Aujourd'hui, les enseignants de la banlieue est de Paris sont appelés à faire grève et à rejoindre une manifestation partant à 14 heures de la place de l'Odéon (Paris VIe) vers le ministère de l'Education nationale. Ils rejoindront leurs collègues de Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) qui ont cessé le travail depuis une semaine.

Le parisien - 11.02.10

Commentaires

  • Les noms de ces crevures ?????? DES NOMS !!!

  • ce n,est pas fini ce genre d,affaires, et il ne faut pas s,en étonner!seules des mesures radicales peuvent remettre de l,ordre et de la stabilité dans notre société en dégénérescence compléte , à l,instar d,ailleurs d,autres pays européens!salutations.

  • «une équipe mobile de sécurité qui se trouvait à proximité au moment des faits n'est pas intervenue» : bravo aux agents de sécurité que l’on paie très cher à ne rien foutre !
    En attendant, les merdiats nous expliquent que c’est de la faute d’Elodie qui a cherché la bagarre, seule contre tous !
    Mais il n’est pas nécessaire d’être devin pour comprendre que les agresseurs d’Elodie sont des boursiers ; à ce titre ils ont droit à tous les égards et aux prévenances du nabot et de sa dame pipi qui vont sans les doutes les recevoir, en attendant de leur donner tous les diplômes universitaires auxquels ils aspirent !
    Elodie est maintenant à la porte de son collège, tandis que ses agresseurs peuvent continuer à y aller, en toute impunité!

  • @turigol: vous savez bien que la loi interdit de donner le nom des ces jeunes mineurs. Pas besoin de noms, d'ailleurs: on a compris! Ce sont toujours les mêmes! Bonobos, babouins, etc...

  • Cher abad: Tremblez en France! - c'est plus qu'un signe!

    La France est en pleine décomposition!

    C'est un compost, du fumier pour toutes ces "cultures" étrangères!

  • @turigol: vous avez le prénom: Elodie. Il n'a pas été changé, c'est bien le sien. Ce prénom explique tout...

Les commentaires sont fermés.