Meeting du 7 mars 2010 à Marseille - Palais des Congrès
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Le 07/03/2010 à 17h54
MARSEILLE (Reuters) - A une semaine du premier tour des élections régionales, Jean-Marie Le Pen dénonce "la présence islamiste en France", affirmant que les mosquées y "poussent comme des champignons".
Le président du Front national, tête de liste en Provence-Alpes-Côte d'Azur, tenait à Marseille son dernier meeting avant le premier tour.
"Les minarets sont comme la burqa le symbole de la présence islamiste en France", a lancé Jean-Marie Le Pen devant plusieurs centaines de militants.
"Les mosquées poussent comme des champignons et le chant du muezzin ne tardera pas à retentir dans nos rues", a-t-il poursuivi.
Dans la salle du Palais des Congrès de Marseille, les militants du Front National de la jeunesse brandissaient leurs affiches "Non à l'islamisme", représentant une femme portant un niqab noir devant une carte de France aux couleurs algériennes et cernée de minarets.
La justice doit statuer lundi sur la demande d'interdiction de cette affiche formulée par plusieurs associations antiracistes, dont la Licra et le Mrap.
"Cette affiche qui montre le drapeau algérien sur la carte de France n'est qu'une reprise du motif du tee-shirt porté par des jeunes Français de papier", a justifié Jean-Marie Le Pen.
"Ce drapeau algérien fait aussi référence aux hordes de supporters qui ont défilé par milliers derrière le drapeau fellagha", a-t-il ajouté, en référence à la qualification de l'Algérie pour la Coupe du Monde de football 2010 en novembre dernier.
Durant plus de deux heures de meeting, consacrées pour une bonne part à l'immigration et à l'islamisme, Jean-Marie Le Pen s'en est pris également à la politique de Nicolas Sarkozy.
"Ce qui va arriver, ce n'est pas la reprise, mais la re-crise", a-t-il dit.
"Seule une politique rationnelle de patriotisme économique permettra de remettre la France sur les rails. Mais il ne faut pas compter pour cela sur Nicolas Sarkozy qui est au service de ses amis du Fouquet's Club ", a-t-il ajouté.
Il a également dénoncé un échec sur la sécurité.
"Les Français sont floués, on maquille les statistiques à tour de bras. Les causes profondes de l'insécurité ne sont pas traitées par celui qui prétendait nettoyer les racailles au 'Kärcher'", a-t-il dit.
"Vous êtes un grand diseur et un petit faiseur", a-t-il lancé à l'adresse du président de la République.
François Revilla, édité par Sophie Louet
RMC.fr - 07.03.10
Commentaires
On peut renverser la phrase et dire "les amanites phalloïdes poussent comme des mosquées".
Deux poisons mortels .
L’ insécurité et le chômage sont les conséquences directes de l’immigration que subit la France et qui entraîne peu à peu la substitution de population. C’est voulu et organisé par les mondialistes. Il est urgent que le peuple de France se réveille !
@ turigol: la seule différence, c'est que les amanites phalloïdes sont silencieuses! Pas de muezzin dans les forêts!
A Marseille, la mosquée-cathédrale émettra en permanence un jet lumineux (laser)! Chiffre OFFICIEL pour Marseille: 300.000... sur 800.000 habitants. Il y en a bien davantage...
@Gaelle
La dose létale est largement dépassée, ce qui démontrerait que Marseille est une ville plus solide qu'on ne le croit.
Les Marseillais pourraient , par exemple, lorsque les hémorroïdes sont exposées dans la rue (les rues) aux heures de "allah akbar", ouvrirent les fenêtres et mettre en marche leur (s) poste (s) de radio à tue-tête pour couvrir les murmuzz et les gueulantes du" muésinge", ainsi , peut-être foutraient-ils le camp dans leur Pays aux dites heures de prières.
Jean-Marie Le Pen est le seul à en parler, que les "veaux" se réveillent et vite !
@ turigol: le problème est qu'il n'y a plus de Marseillais de souche dans les quartiers et cités où ils habitent... ou alors des personnes âgées trop pauvres pour aller se loger ailleurs. Elles supportent et vont voter discrètement pour le FN. Il y a beaucoup de peur ici dans certains quartiers, même au centre ville ou dans les "beaux quartiers".
Ce n'est pas du tout la même situation qu'à Paris.
Les appartements dans certains zones ont perdu presque toute valeur.