Après l’agression à coups de couteau, samedi, de cinq contrôleurs dans un train régional entre Mantes-la-Jolie et Paris, deux bandes se sont encore affrontées à l’arme blanche, à la machette et avec des barres de fer hier matin dans le RER D. Huit personnes, âgées d’une vingtaine d’années, ont été blessées, certaines sérieusement.
Plusieurs ont été évacuées vers les hôpitaux du Val-d’Oise.
C’est une voyageuse qui a donné l’alerte en avertissant le conducteur. Il n’est pas tout à fait 7 heures lorsqu’elle témoigne qu’une violente rixe vient d’éclater entre des jeunes dans le wagon de queue de son train. Une vingtaine de personnes seraient impliquées dans l’affrontement qui a fait, souligne-t-elle, plusieurs blessés. La plupart des protagonistes, originaires de Seine-Saint-Denis, auraient quitté le train, en descendant à Garges-Sarcelles.
Les secours ont été alertés et sont intervenus lorsque le train est arrivé en gare de Goussainville, dans le Val-d’Oise. Ils ont pris en charge sur place cinq jeunes, blessés par arme blanche. Deux d’entre d’eux ont été gravement touchés. Leur état de santé a été jugé très préoccupant dans un premier temps. Pour l’un d’entre eux, touché à la tête, le pronostic vital a même un temps été engagé. Hier soir, ils étaient cependant considérés comme hors de danger. Les trois autres victimes ont été plus légèrement blessées. Un peu plus tard, deux autres blessés étaient accueillis aux urgences du centre hospitalier de Gonesse, qu’ils avaient rejoint par leurs propres moyens après être descendus du train à Villiers-le-Bel. Un huitième blessé a ensuite été comptabilisé au cours de la journée.
L’origine de l’affrontement restait imprécise hier soir. Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, des jeunes de Goussainville se trouvaient dans le train lorsqu’une bande d’une dizaine de personnes est montée dans le RER en gare de Saint-Denis. Des jeunes munis d’armes blanches et de bâtons. Il y avait à l’évidence un différend sérieux entre les bandes rivales, qui se sont aussitôt affrontées pendant le trajet. Quant au mobile de la rixe, il pourrait être lié à une affaire de racket, selon certaines sources. Les policiers de Seine-Saint-Denis, qui ont été saisis de l’enquête, devaient commencer dans la journée d’hier à auditionner les victimes.
Le parisien - 15.03.10
Commentaires
Ce sont des chances "premières" pour la France !
Puisque Chirac vous le dit !
Un ramassis de parasites maghribouilles s'est encore fait remarqué. Peu à peu le France se balkanise !
C’est le nabot et sa pécresse qui sont heureux de voir la vitalité dont font preuve ces boursiers ! Bientôt nous n’aurions plus rien à envier aux tribus africaines : nos coupe-coupes vaudront bien les leurs.
C'est curieux tout de même: Sarkozy semble incapable d'établir un lien entre ces bandes ethniques extrêmement violentes et les résultats des Régionales... C'est l'immigration qui le perd, qui les perdra tous, sauf le FN!
à abad: à propos de la jeune Marocaine expulsée dont il a permis le retour - on devait la marier de force au bled! - j'ai vu une vidéo très intéressante: son père, au Maroc, s'étonne de cette histoire de mariage forcé (la famillle fait partie de la bourgeoisie marocaine) et s'en indigne: pour lui, elle a menti pour retourner en France! Il lui payait déjà un lycée privé et il ne voulait pas du tout la marier de force, comme cela se passe souvent dans les familles pauvres. Ce père avait l'air très sincère.