Le Point l'avait écrit dans son numéro en kiosque le 25 mars. Intitulé "Les gorilles sont partis", notre article vous dévoilait que, "par un coup de fil du ministère de l'Intérieur", Rachida Dati "a appris, le 14 mars, qu'on lui retirait sur-le-champ ses gardes du corps". "Nouvelle disgrâce ?, ajoutions-nous. Pas sûr, puisque le cabinet de Brice Hortefeux aurait aussi prévu d'alléger la protection de Jean-François Copé, président du groupe UMP de l'Assemblée, de Gérard Larcher, président du Sénat, et du ministre de l'Agriculture, Bruno Le Maire."
Cette information a été reprise mercredi par Le Canard enchaîné , qui croit savoir pourquoi l'ancienne garde des Sceaux a connu pareille déconvenue.
Ce soir du 14 mars, raconte l'hebdomadaire satirique, Sarkozy suivait la soirée électorale avec quelques proches et découvrit, stupéfait, Rachida Dati sur le plateau de la chaîne publique, tirant à sa manière les conséquences du premier tour, alors que ses petits camarades de la majorité s'évertuaient à relativiser les premiers résultats du scrutin. Selon elle, les électeurs de droite ont eu "le sentiment d'être abandonnés" : la majorité doit "reprendre ses fondamentaux".
"Mais qu'est-ce qu'elle fait là, celle-là ? On ne l'a pas vue pendant la campagne, et la voilà devant les caméras !", se serait alors exclamé le chef de l'État. Ni une ni deux, Nicolas Sarkozy, furieux, aurait ensuite décroché son téléphone pour appeler Frédéric Péchenard, directeur général de la police nationale. Sa consigne ? Retirer illico à Rachida Dati sa 607 Peugeot et son escorte personnelle composée de quatre policiers.
Cette information a été reprise mercredi par Le Canard enchaîné , qui croit savoir pourquoi l'ancienne garde des Sceaux a connu pareille déconvenue.
Ce soir du 14 mars, raconte l'hebdomadaire satirique, Sarkozy suivait la soirée électorale avec quelques proches et découvrit, stupéfait, Rachida Dati sur le plateau de la chaîne publique, tirant à sa manière les conséquences du premier tour, alors que ses petits camarades de la majorité s'évertuaient à relativiser les premiers résultats du scrutin. Selon elle, les électeurs de droite ont eu "le sentiment d'être abandonnés" : la majorité doit "reprendre ses fondamentaux".
"Mais qu'est-ce qu'elle fait là, celle-là ? On ne l'a pas vue pendant la campagne, et la voilà devant les caméras !", se serait alors exclamé le chef de l'État. Ni une ni deux, Nicolas Sarkozy, furieux, aurait ensuite décroché son téléphone pour appeler Frédéric Péchenard, directeur général de la police nationale. Sa consigne ? Retirer illico à Rachida Dati sa 607 Peugeot et son escorte personnelle composée de quatre policiers.
La nouvelle, l'ex-ministre l'apprend quasiment en direct, de la bouche même de ses agents de sécurité. Elle obtient finalement le droit de les conserver avec elle jusqu'à son retour à domicile, mais pas un jour de plus... Le lendemain, elle sera même contrainte de rendre son téléphone portable, gracieusement prêté par le ministère de l'Intérieur.
Par chance, en tant que maire du VIIe arrondissement de Paris, elle s'évite la marche à pied puisqu'elle dispose, à ce titre, d'une seconde voiture de fonction.
L'ancienne égérie du gouvernement, dont l'entourage a confirmé les informations de l'hebdomadaire satirique, aurait donc prononcé la phrase de trop. Le Canard enchaîné avance une hypothèse supplémentaire : Nicolas Sarkozy soupçonnerait, en outre, Rachida Dati d'être à l'origine de rumeurs qui circulent sur sa vie privée depuis plusieurs semaines.
Sollicité par l'AFP, l'entourage de Rachida Dati a partiellement reconnu les faits, en nuançant d'où venait l'ordre. "Ce n'est pas si évident que ce soit une décision du Président, l'article du Canard est quand même très romancé.
L'ancienne égérie du gouvernement, dont l'entourage a confirmé les informations de l'hebdomadaire satirique, aurait donc prononcé la phrase de trop. Le Canard enchaîné avance une hypothèse supplémentaire : Nicolas Sarkozy soupçonnerait, en outre, Rachida Dati d'être à l'origine de rumeurs qui circulent sur sa vie privée depuis plusieurs semaines.
Sollicité par l'AFP, l'entourage de Rachida Dati a partiellement reconnu les faits, en nuançant d'où venait l'ordre. "Ce n'est pas si évident que ce soit une décision du Président, l'article du Canard est quand même très romancé.
Ce qui est sûr, c'est que c'est une décision du ministre de l'Intérieur", selon l'entourage de l'ex-ministre. "Il s'agit essentiellement de trois officiers de police du SPHP (Service de protection des hautes personnalités) à qui on a demandé d'arrêter la mission du jour au lendemain, le 14 mars", selon cette même source.
Le Point- 31 mars 2010
Commentaires
« Mais qu'est-ce qu'elle fait là, celle-là » : très confidentiellement et sous couvert d’anonymat, on oppose le démenti le plus ferme à cette déclaration. En réalité le nabot aurait dit : « Casse-toi, pauvre conne ! ».
Elle ne s'est quand même pas retrouvée en haillons dans la rue.Cendrillon se sentant ainsi discriminée, il faut de ce pas saisir la Zieg Halde.
d,ou le film : les gorilles vous salue bien!! salutations.
Une photo bien serrée dit mieux qu'un long discours.
Dire qu'on nous présente ça, comme une irrésistible beauté...
Voilà qui n'est pas faire preuve de beaucoup d' égards aux gorilles de Dati dans le chef du nain maléfique.
@ l'abbé Tymon: c'est pour cela que je l'ai choisie! Mais elle a un joli corps, il faut le reconnaître. Elle pourra toujours se reconvertir!
@ marcel: il l'a jetée comme un Kleenex!
S'il a couché avec elle, il ne fait pas preuve de la moindre galanterie... Il faut dire qu'il est assez énervé avec Bio-Lait!